Didier - Voix Et Images De 4p735b

° Ui’ CUC CSt 5Ur I« ^ u depuis longt em ps, m ais

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5. ■

On m a dit qu a la derniere réunion sportive, Paul avait sauté plus de 7 mètres en longueur. Est-ce vrai? — Mais n o n ,..................................

6. — Tu fumes trop. Tu as fumé deux paquets de cigarettes aujourd’hui. — Ah! n o n , ......... 7. — — — —

Ce devoir était assez long; vous avez répondu aux six questions, Jacques? N o n ,.............. E t vous, Paul? M oi,....

8. — C’est toi qui a mangé tous les gâteaux, Suzanne? — Oh! non, m a m a n ,................

Exercice 3.

Vous entendez les paroles suivantes. Imaginez celles qui les ont précédées au cours d’une conversation. 1. — Non, non, je n’ai qu’un enfant, une fille. 2. — Mais non, il n ’est resté que trois jours à Paris. 3. — Oh! n ’exagérez rien; dans ce repas, je n ’ai fait que le dessert. 4. — Oui, vous avez raison, cette usine produit seulement des pièces détachées. 5. — Non* vraim ent, merci, pas ce soir; je ne bois du café qu’à midi. 6. — Mais non, le chien l’a mordu aussi à la main droite.

Lecture. Oscar prétend qu’il a fait le tour du monde à pied. Cela paraît bien impossible, car il n ’a pu traverser les mers a pied. En realite, il ne connaît que 1 Europe et il n a voyagé ni en Afrique, ni en Amérique. Il n a peut-etre meme jamais pris 1 avion, ni le bateau. Pensez-vous que Max sait monter a cheval? Je ne le crois pas; il ne sait peutêtre même pas aller à bicyclette!

21 vjui ici u ic u uy u u in o u u i n ici 11wi i i 11uoiy ,oui 11

LEÇON 2. — LES MARIONNETTES B. — Le Retour d’Oscar

Personnages : La propriétaire, Oscar, Max

L a propriétaire : Ah! Je vous trouve enfin, Monsieur Oscar. Vous ne m ’avez pas prévenue de votre retour. Oscar : Je suis arrivé ce m atin. Mais excusez-m oi, je sors. Je dois être chez un am i dans cinq m inutes. L a propriétaire : N on, non, je v eu x vous voir une m inute. Vous ne m ’avez pas payé votre chambre depuis' votre départ. Depuis un an, exactem ent. Oscar : Vous voulez dire depuis un m ois ? N ’est-ce pas, Max, j ai paye Madame il y a un mois ? M a x : Bien sûr, rappelez-vous, M adame, il vous a payée il y a u mois. ^ L a propriétaire : Pas du to u t : il y a un m ois, vous n’étiez paS Payez-m oi, j ’ai besoin de m on argent. Oscar ; Vous l’aurez demain, je vous le prom ets.

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La propriétaire : Je ne le veux ni demain, ni dans une heure, ni même dans cinq m inutes : je le veux to u t de suite. Oscar : Mais bien sûr, chère Madame. Mon ami va s’occuper de vous. M ax : Mais oui, certainem ent. Qu’est-ce que je dois faire? Oscar : Vous voyez, il a envie de payer ma chambre. Merci, mon vieux Max. Excusez-moi tous les deux, je dois m ’en aller pour la journée. Au revoir, Madame, au revoir mon cher Max, à dem ain, et merci encore.

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Où se e la scène? Max et Oscar sont-ils dans la chambre depuis longtemps? Qui est cette femme? A qui vient-elle parler, à Max ou à Oscar? Oscar sait-il ce qu’elle vient lui demander? Oscar n’a pas payé sa chambre depuis combien de temps?

7. Il prétend qu’il a payé sa chambre le mois dernier. Est-ce possible? Où était-il, il y a un mois ? 8. Oscar dit qu’il est obligé de sortir pour aller chez un ami. Pensez-vous que c’est vrai? 9. Oscar s’en va pour combien de temps? 10. Après le départ d’Oscar, qu’est-ce que la propriétaire demandera à Max? Qu’est-ce que celui-ci lui répondra?

Répondez par écrit aux questions : l - 2 - 5 - 7 - 9 .

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Q uand

Pour

»

e m p lo y é -

in te r r o g e r

sur le tem ps, (la d atation, l ’epoque, le moment).

E xem ples : Quand p a rtez-v o u s? (p r é se n t) Quand p a r tirez-v o u s? (fu tu r ) Quand e st-il p a rti? (p a sse ) Si on désire plu s de p r é c isio n , o n d it :

Quel jour...? A quelle heure...?

D e p u is :

Depuis quand? — Depuis longtem ps? — D epuis combien de temps? а) Oscar n’a pas payé sa chambre depuis son départ. б) « Depuis )) quand? Depuis le 23 février 1967. c) Vous ne fumez plus? — Non. — D epuis com bien de temps? — Depuis un an. « Depuis » est utilisé pour marquer : le point de départ dans le é (date ou événem ent qui fait date) d’une action qui dure encore. (E x. a et b) ou : la durée qui s’est écoulée depuis le début de cette action. (Ex. c)

Il y a. Il y a longtemps? Il y a co m b ien de tem ps?

a) Paul est arrivé à Paris. — Il y a longtem ps? — Il y a trois jours. \ 0Us fumiez autrefois, je crois. — Oui, il y a cinq ans, je fumais eau C) L est vous qui avez peint ce tableau? — Oui, j ’ai fait cela il y a dlX an ‘ y « » situe un fait dans le é ; il ne m arque pas la durée.

A tte n tio n :

*0 II y a tÎ* ?n.û ^ scar n ’a pas payé sa chambre. Il y l ry vrols J°urs que je ne fum e plus. x ta durée, COm^ n^( ^°*s'fema*nes-jours-lieures-mmutes-secondes) <ï


*****

P en d an t.

P endant com bien de tem ps?

Exemples : a)

A quinze ans, j ’ai eu un grave accident. On n ’a pas pu me soigner chez moi. J ’ai été à l ’hôpital. — P en dan t com bien de tem ps? — P endant deux m ois. b) — J ’ai habité cette ville autrefois. — P en dan t com bien de tem ps? — P en dan t tou te ma jeunesse. c) — Vous continuerez à faire du bruit pendant combien de tem ps? « P endant » exprim e la durée d’une période détachée du m om ent présent.

Dans. D ans com bien de tem ps? E xem ples : — R endez-m oi l ’argent que vous me devez. — Je vous le rendrai bientôt. — D ans com bien de tem ps? — D ans trois jours. « D ans » exprim e la lim itation, dans le futur, d’une durée dont le point de départ est le présent.

En. E n com bien de tem ps? E xem ples : — Vous avez fait ce travail en com bien de tem ps? — E n cinq m inutes seulem ent. — Alors je com prends pourquoi il est si m al fait. « E n » exprim e la durée mise à l ’accom plissem ent d ’une action.

Pour. Pour com bien de tem ps? — Pour longtem ps? E xem ples : a) — Vous sortez? — Oui, je dois m ’en aller pour la journée. b) — Vous finirez b ien tôt ce travail? — Je n ’cn ai plus que pour cinq m inutes. c) — Vous croyez que le concierge va revenir bientôt? — Oh! oui, il ne s’absente jam ais pour longtem ps. d) — A h! votre père vien t (est venu-viendra) à Paris. Pour longtem ps? — Il v ien t (est venu-viendra) seulem ent pour trois jours. « P our » m arque une durée et ne s’em ploie qu’avec un p etit nombre de verbes.

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Exercice 6. Voila des phrases qui ont toutes été urononp* nnr i.n .!•

, j

la situation au cours de laquelle chacune d^ces p h r t s a t é

,

^

Apportez-m oi le café tout de suite, s’il vous plaît.

Exemple : M. Dubois dejeune au restaurant, et aujourd’hui il a l’air pressé. Il vient de finir son roti. — Vous voulez du fromage? lui dit le garçon. Non, merci, je n’ai pas le temps; apportez-moi le café tout de suite, s’il vous plaît. 2. — Non, non, immédiatement, je suis pressé. 3- — Non, merci, j’en ai déjà pris un tout à l’heure. 4. Pas maintenant, merci, j’en prendrai un dans un moment.

Exercice 7.

Imaginez des dialogues au cours desquels un personnage prononce la phrase donnée : 1 . — Si, je reviendrai dans une heure.

Exemple : Madame Lepic : Tu sors maintenant? Il est déjà 11 heures. Monsieur Lepic : Tu sais bien que je dois voir Fernand; nous avons pris ce rendez-vous il y a trois jours. Madame Lepic : Alors tu ne seras pas là pour déjeuner? Monsieur Lepic : Si. Je n’en ai pas pour longtemps, je reviendrai dans une heure. 2. — Non, je ne crois pas qu’il pleuvra avant ce soir.

Lecture. Les deux amis sont rentrés ce m atin même de leur long voyage autour du monde. Aussitôt, la propriétaire de la chambre d’Oscar vien t réclamer à celui-ci le loyer qu’il n’a pas payé depuis un an, c’est-à-dire depuis son départ. Oscar, qui a probablement peu d’argent, n ’a pas du to u t l’in ten tion de régler la note que sa propriétaire lui présente. Il prétend qu’il est obligé de sortir im m édiatem ent et il charge son ami Max de s’occuper de la question. Q uand Oscar sera parti, vous pensez bien que ax re use a de payer le loyer d ’une cham bre dont il n ’est pas le locataire.

9.7


-jre partie

J „ n, 8Dépêche-toi heures et demie.

u n . L auto est en bas

le t h M , PC cornrtlence

à 9 heures. Il est déjà

IVr» v

Annie Jean •:vDans ^ ' l’armoire* *

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S°US *es tricots et derrière les mou-

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Annie • V CSt Pas> Mais f ai t^ err^ re’ S0Us ês mouchoirs. Non, elle

: Et 7P°urquoi ° nS’ Jea»> n Un PuI1-°ver* pastu ? ne Peux pas aller au théâtre en pull-over ! 28 Generated by CamScanner from intsig.com

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1 . Jean et Annie se préparent. Pour quoi faire? 2. Pourquoi doivent-ils se dépêcher?

3. En rentrant de son bureau, où Jean a-t-il garé sa voiture? 4. Il dit : « Nous irons vite. » Pourquoi? 5. Annie dit a Jean, d’une manière très précise, où est sa chemise blanche. Pourtant il ne la trouve pas. Imaginez pourquoi. 6. Qu’est-ce que Jean a trouvé dans l’armoire? Pourquoi semble-t-il surpris? 7. Annie pense que son mari ne doit pas aller au théâtre en pull-over. Expliquez son point de vue. 8. Jean, au contraire, pense qu’il peut très bien aller au théâtre en pull-over. Justifiez son opinion. B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-3-4.

Lecture. Dans l ’armoire où le linge est pourtant bien rangé, Jean n’a pas trouvé la chemise blanche qu’il voulait m ettre pour aller au théâtre. Mais il a découvert un pull-over dont il avait sans doute oublié l’existence depuis longtemps. Pourquoi ne le mettrait-il pas pour se rendre au spectacle? Il ne faut pas etre conformiste et, de plus, personne de nos jours ne se met plus en tenue de soirée pour aller au théâtre ou au cinéma. Annie n’est pas du tout de cet avis et pense que la tenue de son mari n’est pas convenable.

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LEÇON 3. -

UNE SOIRÉE RÉUSS,E 2e partie

Personnages : Le présentateur, Annie, Jean

Présentateur : On sonne à la porte. au A n n ie : Je vais ouvrir. A h! bonjour, M onsieur. M erci beauc P revoir Monsieur. Jea n : Qu’est-ce que c’est? A n n ie : R ien. U ne p etite note à payer. Jean : Fais voir. A n n ie : T u la verras un autre jour. N o u s som m es presses. Jean : Mais non, donne. A n n ie : Oh! tu as mis ton pull-over! t cinJ e a n : Comment! Qu’est-ce que c’est? Trois chapeaux, cen quante francs? T u t ’es acheté trois chapeaux? un A n n ie : Mais tu le sais bien : un pour faire m es courses le i *13 pour les jours froids et un pour le soir. Jean : Cent cinquante francs de chapeaux? . rru yerras A nnie : Tiens, je vais m ettre m on p e tit chapeau de soie, comme il est joli.


Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Qui a sonne a la porte? Que vient faire cet homme? 2. De qui est cette note à payer? 3. Est-ce que le livreur demande à être payé tout de suite? 4. Sous quel pretexte Annie ne veut-elle pas montrer cette facture à son mari? 5. Mais quelle en est la vraie raison? 6. Pourquoi Jean insiste-t-il pour voir la facture? 7. Comment Annie justifie-t-elle l’achat de ces trois chapeaux? 8. Que pense Jean de cette dépense? B. Répondez par écrit aux questions : 4-7-8.

Lecture. Jean a exigé de voir sans tarder la note qu’un livreur vient d’apporter : il soup çonne qu’Annie lui cache quelque chose. Et en effet, quand il constate que sa femme s’est acheté trois chapeaux, et qu’il devra payer, lui, 150 francs, il est furieux et reproche vivement à Annie ses dépenses exagérées. Mais elle ne semble guère craindre la colère de son mari, et paraît même assez contente de ses achats, surtout du petit chapeau de soie qu’elle vient de poser sur sa tête.

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L E Ç O N 3.

-

UNE SOIRÉE RÉUSSIE

3e partie

Personnages : Le présentateur, Annie, je«"-

Présentateur : Le téléphone sonne. Annie : Réponds, veux-tu? , . „ M a i s bien sto Jean: Allô... Oui... Ah c’est vous, t a n t e A dèle.... i ^ toUt pre serons très heureux de vous voir... A • v d’ici. Vous voulez venir m aintenant. Annie : Ah! Non! Nous partons. ~ plutôt si^ *g Jean: C’est que nous ne sommes pas chez nous. ^ nJ1-e a déjà sommes chez nous, mais nous allons partir, son chapeau. ... C’est ça, tan te Adèle, à dem ain. êll* Annie: Tu n’as pas été gentil avec m a ta n te . ou Jean: Pas gentil! Pas gentil! T u veux aller au tue recevoir ta tante? 32

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A m ie : Bien! Bien! Tu as toujours raison. Mais est-ce que tu seras bientôt p re tr ^ Jean : Je cherche mes chaussettes. Annie : Elles sont là, devant toi, sur le fauteuil.

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Qui téléphone? 2. Quand leur tante propose-t-elle de venir les voir? 3. D ’où leur téléphone-t-elle? 4. Quand viendra-t-elle les voir? 5. Annie reproche à son mari de ne pas avoir été gentil avec sa tante. Qu’en pensezvous? 6. Jean est-il prêt? B. Répondez p a r écrit aux questions : 1-2-4.

Exercice 1. A u cours de la leçon, vous avez entendu : Annie : Voyons, J e a n , tu ne p eu x pas aller au théâtre en pull-over. Jean : E t pourquoi p a s? D’après ce modèle, construisez des dialogues sur les sujets suivants : 1. Il pleut beaucoup; Georges veut sortir quand même. Qu’est-ce que sa femme lui dit? 2. Justine veut mettre un chapeau de paille avec un manteau d’hiver. Qu’est-ce que son mari lui dit? 3. Robert veut aller à la plage à 5 heures du matin. Qu’est-ce que son père lui dit? 4. On est au mois de juillet, Philippe veut qu’on chauffe l’appartement. Qu’est-ce que sa femme lui dit? 5. Alfred veut peindre en noir les murs de sa salle de bain. Qu’est-ce que ses amis lui disent? 6. Au restaurant, Joseph commande du vin rouge avec du poisson. Qu’est-ce que le garçon lui dit? Imaginez vous-même deux situations ou vous ferez dire à Vun des personnages une phrase semblable à la phrase donnée. 33

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« Mais »> restrictif.

fo r P,eSN0U6 sommes chez nous en ce moment, mais nous aU Oui ie veux bien prendre du cafe, mais nne demi-tasse n „. exemples, la conjonction « mais » retire quelque chose àT * d qui a été dit avant : elle a un sens « restrictif ». a la vale:iui c e s

Exercice 2.

Pour répondre aux questions suivantes, com posez une phrase où vous emploierez la conjonc tion « mais » avec un sens restrictif.

1 . Vous ne prenez pas de vin? 2. Vous n’aimez pas les poires?

3. Vous avez lu ce livre? Vous l’avez trouvé intéressant? 4. Vous dites que vous aimez la pluie et vous vous plaignez parce qu’il pleut depuis une semaine. 5. C est la troisième fois que je vous demande si vous pourrez finir ce travail avan 5 heures et vous ne me répondez pas. Vous voyez qu il fait beau et que le beau temps va durer.


Exercice 3. A u cours de la conversation téléphonique entre Jean et tante Adèle, vous n'avez entendu que les paroles de Jean. D'après celles-ci, imaginez les paroles de tante Adèle. Exemple : Tante Adèle : C’est toi, Jean? Ici tante Adèle. Comment allez-vous tous les deux? Il y a si longtem ps que je ne vous ai pas vus! Je peux vous faire une visite? Jean : Mais bien sûr, tante Adèle, nous serons très heureux de vous voir. ... Continuez la conversation.

Lecture. Jean n ’est pas encore prêt, mais il était à côté de l’appareil, et c’est lui qui répond au coup de téléphone de tante Adèle. Annie et son mari aiment beaucoup leur tante, ils ont beaucoup de plaisir à la voir, mais quand elle propose de venir leur rendre visite le soir même, ils sont obligés de ref car ils sont sur le point de sortir et devraient même être déjà partis.


leço n

3. -

U N E S O IR É E R é u s s i e

4e partie

Personnages : Le présentateur, Annie, Jean, Un chauffeur

Le présentateur : On sonne à la porte. Jean: Encore!... Va ouvrir, je suis pieds nus. v j?aUto Un chauffeur: Pardon, Madame. Est-ce qu’elle est a vou , noire qui est devant la porte? Annie: Oui, elle est à nous. Pourquoi? mion? Un chauffeur: Je viens d ’accrocher l’arrière avec mon ca est arrachée, et l’essence coule p a r terre. tWâtre? ^ ^ Jean : Tu vois, c’est ta faute : quand on v eu t aller au partir assez tôt. 36


J

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes .* 1. Pourquoi Jean ne peut-il pas aller ouvrir la porte? 2. Qui a sonné? 3. De quoi cet hom me vient-il les prévenir? 4. Im aginez com m ent l ’accident s’est produit. 5. Quels dommages le camion a-t-il causés à la voiture de Jean? 6. Pensez-vous que la voiture peut encore rouler? B. Répondez p a r écrit aux questions : 3-4-5.

Exercice 4. A u cours de la leçon, vous avez entendu : « Quand on veut aller au théâtre, il fa u t partir assez tôt •» Construisez une phrase de même form e pour répondre aux questions suivantes : 1. Que dites-vous à un malade qui ne suit pas les conseils du médecin et se plaint de ne pas guérir? 2. Que dites-vous à un monsieur qui a une auto mais pas de permis de conduire? 3. Que dites-vous à une dame qui mange beaucoup et qui se plaint de grossir? 4. Que dites-vous à quelqu’un qui n ’a pas noté un numéro de téléphone et qui l’a oublié? 5. Que dites-vous à un étudiant qui veut devenir ingénieur mais qui ne veut pas étudier les m athém atiques ?

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Exercice 5. A u cours de la leçon, vous avez entendu : Jean : C'est que nous ne sommes pas chez nous. Ou plutôt si, nous sommes chez nous, mais nous allons sortir. Examinez la construction de cette phrase ( ou plutôt si — mais — ) et construisez des phrases semblables à propos des sujets suivants : 1. — Alors, vous ne sortirez pas cet après-midi? — Non,... 2. — Vraiment, vous n’avez pas dormi la nuit dernière? — Non,... 3. — Vous dites que vous ne buvez jamais d’alcool? 4. Au restaurant, un client refuse du vin, puis il change d’avis. 5. Au cours de français, un étudiant dit qu’il ne comprend pas une question, puis... 6. Au jardin public, un petit garçon est accusé de s’être approché d’une petite fille et de l ’avoir poussée dans le bassin. 7. Cette année, Louis n’aura que trois jours de vacances. 8. Vous n’avez pas acheté de bananes. Il n ’y en avait pas au marché?

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Exercice 6. Écoutez cette conversation: Jean : T u n’as p a s besoin de mettre un chapeau. Annie : S i. J e vais mettre mon petit chapeau de soie. T u verras comme il est jo li! Composez de même de courts dialogues sur chacun des sujets suivants: 1. Paul a vu au théâtre une pièce très intéressante. Il conseille à Pierre d’aller la voir. Que lui dit-il? 2. Pierre a vu au musée un très beau tableau. Il conseille à Paul d’aller le voir. Que lui dit-il? 3. Une dame veu t acheter un fauteuil. Le vendeur lui assure qu’il est très confor table. Que lu i dit-il? 4. D es étudiants ont un problème à faire. L’un d’eux, qui a déjà tenté de le faire, l’a trouvé très difficile. Que dit-il à son ami? 5. Vous portez avec peine une lourde valise. Un camarade se moque de vous. Que lui dites-vous?

Lecture. Alors que Jean finit rapidem ent de s’habiller, Annie va ouvrir la porte à un visiteur inattendu. C’est un chauffeur de camion qui paraît vraiment désolé de lui apprendre qu’à la suite d ’une fausse m anœuvre, il a heurté leur voiture, arraché l’aile, crevé le réservoir, et que l ’essence est en train de se répandre sur la chaussée. La pauvre Annie est épouvantée tandis que Jean, qui a sans doute entendu quelques mots de la conver sation, com m ence à être sérieusement inquiet.


1re partie

Personnages : Philippe, Nicole, sa sœur

Philippe: Regarde, Nicole r W

••

étions enfants Nicole: C’est v r ’ *

*C1 <Û6 nous habitions quand nous

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n ts ig .c o m

Questionnaire

A. R épondes oralem ent a u x questions su iva n tes : 1. Qui sont ces deux jeunes gens? 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Ils sont dans les rues d’une ville. Quelle ville? Philippe dit à sa sœur : « Regarde. » Que lui montre-t-il? Dans quelle rue se trouve la boulangerie? Pourquoi connaissaient-ils bien la rue des Fleurs? Pourquoi s’arrêtaient-ils devant la boulangerie? Ils achetaient des gâteaux? Que leur achetait leur mère, le dimanche?

B. Répondez p a r écrit aux questions : 1-2-5-6.

Exercice 1.

Au cours de la conversation, vous avez vu comment les souvenirs se succèdent dans la mémoire des deux jeunes gens : la rue des Fleurs leur rappelle l’école; puis la boulangerie devant laquelle ils s’arrêtaient tous les jours; puis cette boulangerie leur rappelle l’odeur du pain frais, et les gâteaux qu’ils regardaient avec envie dans la vitrine; enfin, la brioche du dimanche. Imaginez un ordre différent de la succession des souvenirs de Philippe et de Nicole. Par exemple, ils sont chez des amis; on sert le thé puis une brioche. Composez d’abord oralement puis ecrivez la conversation.


Im p a r fa it e t é com posé de l ’indicatif.

Lisez le texte suivant : a J ’aimais beaucoup mon ami Louis. Nous nous retrouvions tou devant la boutique du coiffeur. Nous partions en courant dans les S *,°Urs vent j ’oubliais de rentrer. Un jour, mon père m ’a cherché pendant^8 ^ S°U’ et pendant une semaine il m’a défendu de sortir de la maison » ^ êure> Dans ce texte, les actions, les faits, les états habituels du nass4 îparfait de l ’indicatif : J ’aimais — nous nous retrouvions à l ’imparfait retrouvions__ — j ’oubliais. Les actions, les faits particuliers sont notés comme « accompli^8 et exprimés au é composé de l ’indicatif. (« II m’a cherché » -— « Ti défendu ».) m3

Exercice 2. Yoici un fait particulier : « Un jour, un chien m’a mordu. » Imaginons des actions des faits, des états habituels du é, au cours desquels nous placerons ce fait parti culier. Exemples : J ’aimais les chiens — je jouais avec eux — je leur tirais les oreilles — etc. Nous obtiendrons le texte suivant : Quand j ’étais enfant, j ’aimais beaucoup les chiens. Quand j ’en rencontrais un dans la rue, j ’allais toujours jouer avec lui; je lui tirais les oreilles et la queue. Ma mère me défendait de le faire et me disait que c’était sale et dangereux, mais je ne l’écoutais pas. Mais un jour, un chien m ’a mordu et, depuis, je me méfie des chiens.

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\

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C mposeZ

m^me ês textes au cours desquels vous placerez les phrases suivantes :

\ Une seule fois, en 1964, nous avons é les vacances à la montagne. 2 Un jour, la mère de René n’est pas venue l’attendre à la sortie de l’école. 3 Un jour, enfin, j ’ai reçu une lettre de cet ami.

Exercice 3. Évoquez une situation qui permet d'énoncer Us phrases suivantes: 1. 2. 3. 4.

Ma mère me prenait toujours sur ses genoux. Mon pere me disait de ne pas me pencher par la portière. La maîtresse me disait toujours que j ’allais trop vite. Alors ma tante me grondait.

Exemple de réponse pour la première question : Je me rappelle que, quand j ’avais huit ans, mes parents m’emmenaient quelquefois au cinéma, mais les sièges étaient beaucoup trop bas pour moi. Ma mère me prenaïT toujours sur ses genoux et souvent je m’endormais avant la fin du film.

Lecture. Cette boulangerie devant laquelle Nicole et Philippe ent aujourd’hui leur rappelle bien des souvenirs. Ils se revoient, enfants — ils avaient alors cinq ou six ans — allant à l’école et s’arrêtant chaque jour devant ce même magasin. Rien ne semble avoir changé. Dans la vitrine, il y a toujours des rangées de pains, et de beaux gâteaux, tout pareils à ceux qui leur faisaient tellement envie autrefois.

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L E Ç O N 4. — S O U V E N IR S D ’ E N F A N C E

2

e partie

Personnages : Philippe, Nicole, sa sœur

Philippe : C’est devant la boutique du coiffeur que je retrouvais ouïs.Nicole: Et vous partiez en courant, le long des rues. Un jour, PaP vous a cherchés pendant une heure. Nicole : A ce carrefour, il y avait un agent. C’était toujours le mem J ’avais peur de lui. . i *t Philippe : Mais lui, il nous faisait un gentil sourire et il nous ai à traverser. [J

44


J

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes: 1. Qui est ce « Louis » dont il parle? 2. Se voyaient-ils souvent? 3. Où se retrouvaient-ils? 4. Pourquoi avaient-ils choisi la boutique du coiffeur comme lieu de leur ren contre ? 5. Philippe se rappelle qu’un jour son père était très en colère. Qu’est-ce qui avait provoqué cette colère? 6. Ils arrivent a un carrefour. Il n’y a plus d’agent à ce carrefour, aujourd’hui? 7. Cet agent était-il aimable avec eux? 8. Comment les aidait-il à traverser? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-3-5-6.

Lecture. La ville s ’est m odernisée. A u carrefour, où il y a maintenant des feux de circulation, il y avait autrefois_un agent. Quand les enfants, au Retour de l’école, arrivaient à ce carrefour qiT’ils^cievaient traverser, l’agent, qui les connaissait bien, arrêtait aussitôt les voitures. Philippe prenait sa p etite soeur par la main et lui faisait sagement traverser la rue, tandis que l ’agent souriait en les voyant si serieux.

45


LEÇON

4. — SOUVENIRS D’ENFANCE 3e partie

Personnages : Nicole, Philippe, son frère

Nicole: Ici, au 14, c’était la maison de tante Marie. Nous allions la voir le jeudi après-midi. Philippe : Il fallait rester assis sans bouger, pendant une heure. Nicole : Et après, elle nous donnait un bonbon. Philippe : Alors, nous nous sauvions à toute vitesse. Nicole : Je ne l’aimais pas, cette pauvre tante Marie. Philippe : Elle n’était pas méchante, je crois. Mais elle ne comprenai pas les enfants. Nicole : Regarde : rien n’a changé. Philippe: Je trouvais cette maison très belle. Nicole : Moi, aujourd’hui, je trouve la maison très laide. Philippe : C’est nous qui avons changé.

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Questionnaire A. Répondez oralement au x questions suivantes : 1. Philippe et sa sœur ent m aintenant devant une maison qu’ils se rappellent bien. Qui habitait cette maison? 2. Voyaient-ils souvent leur tante? 3. Ont-ils un souvenir agréable de leurs visites à leur tante? Pourquoi? 4. La tante Marie était-elle très généreuse? 5. Pourquoi les enfants se sauvaient-ils à toute vitesse? 6. Qu’est devenue la tante Marie? Les enfants la regrettent-ils? 7. Vont-ils entrer dans cette maison? 8. Cette m aison est-elle belle ou laide? B. Répondez par écrit aux questions : 2-3-4-5-7.

Exercice 4.

Écoutez cette phrase : « Autrefois, je trouvais cette m aison très belle, mais aujourd’hui, je vois bien qu’elle est laide. » D’après ce modèle, complétez les phrases suivantes : 1. Autrefois je m angeais beaucoup de chocolat, mais... 2. Il y a d ix ans, je buvais beaucoup de café, mais... 3. Quand j ’étais jeu n e, j ’aim ais danser, m ais... 4. En ce tem ps-là les gens sortaient souvent le soir et allaient se promener au bord de la rivière, m ais... 5. En ce tem p s-là on n ’é ta it pas riche; on m angeait des pommes de terre tous les jours, m ais...


é de l ’indicatif. II.

Philippe dit : « C’est ici que nous

habitions quand nous étion s enfants. »

Im aginons la réponse suivante de Nicole :

« Oui c’est vrai, nous avons habite ici p en d an t to u te notre enfance. » Tous les deux parlent de la même période de leur é : leur enfance. Alors, pourquoi cette différence de temps : nous habitions : imparfait; nous avons

habité : é composé? C’est qu’ils se placent a des points de vu e différents. 1. Philippe se reporte, par la pensée, p en d an t le cours de son enfance, et il considère l ’action d’ « habiter » com m e actu elle à ce m om ent-là, comme en cours d’accomplissement. 2. Nicole considère, aujourd’hui, son enfance com m e une période détachée d’elle, et l ’action « habiter » com m e accom plie. Du même point de vue, Philippe dit : « En ce temps-là, nous ions par là pour aller à l ’école; nous nous arrêtions toujours devant la boutique du boulanger. » Et Nicole dira : Oui, quatre fois par jour, pendant to u te notre enfance, nous avons é par a P°nr a er à 1 école et nous nous som m es tou jou rs arrêtés devant la boutique du boulanger. »

N. B.


Exercice 5. Voici une phrase : Paul mange au restaurant.

plaçons-la dans une situation oit elle exprime une habitude dans le é: « Cette année-là, Paul avait une chambre d’étudiant à Paris et il mangeait tous les soirs dans un petit restaurant de la rue des Écoles. »

Plaçons-la dans une situation où elle exprime une action ée en cours d'accomplis sement : « Un soir, Paul mangeait dans un petit restaurant de la rue des Écoles. Une jeune fille est venue s’asseoir à la table voisine et lui a parlé dans une langue inconnue; il n’a pas pu comprendre un mot. » Composez de même deux paragraphes pour chacune des propositions suivantes : 1. Pierre traverse le jardin du Luxembourg. 2. Françoise aide sa mère à débarrasser la table. 3. Lucien se dirige vers la gare du Nord. 4. Philippe assiste à un match de football.

Lecture. De toute leur enfance, c’est le jeudi après-midi qui leur a laisse le souvenir le plus désagréable. Ce jour-là, leurs parents les envoyaient rendre visite a leur tante Marie qui habitait la même ville. Ils se revoient encore, assis sans bouger pendant une heure, devant cette tante qu’ils n ’aim aient pas beaucoup. Enfin, la tante sortait une boîte de bonbons; elle leur en donnait un à chacun, et c était pour eux le signal de la déli vrance. Ils sourient aujourd’hui à ce souvenir, mais ne peuvent s empêcher de penser que la pauvre tante Marie ne les comprenait guère.


LEÇON

5. -

J A C Q U E L IN E

V O Y A G E A V E C SON G R A N d . ^

ire partie

Personnages : Jacqueline, son grand-père

Jacqueline: Oh! Je suis contente, grand-père, de partir en train avec toi# , ^ Le grand-père: C’est vrai, Jacqueline? Tu aimes prendre le tram. Tu n’aimes pas mieux voyager en auto? Jacqueline : Oh! non, l’auto, ce n ’est pas am usant. , .j Le grand-père: Je vais te raconter mon premier v o y a g e en train’ e a cinquante ans. Ma mère était malade, elle était à la camêr ja loin de nous. Un jour, nous avons pris le train pour a voir. 50


Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Qui sont les deux personnages de ce dialogue? Où sont-ils? Quel est, à peu près, l’âge de cette petite fille? Et le grand-père, pouvez-vous préciser son âge? Pouvez-vous imaginer la raison de leur voyage? Quand le grand-pere a-t-il fait son premier voyage en train? Avec qui a-t-il voyagé? Quel était le but de leur voyage?

B. Répondez p a r écrit a u x questions: 4-5-6-8.

Lecture.

C’est l’été, la saison des grandes vacances. Le grand-père est venu à la ville chercher Jacqueline, sa petite fille, et il l’emmène avec lui à la campagne où elle va er deux mois. Les voilà maintenant assis, l’un en face de l’autre, dans un confortable wagon dont ils occupent les deux coins près de la fenêtre. Jacqueline adore son grand-père qui a toujours d’intéressantes histoires à lui raconter; regardez comme elle est atten tive au récit que le grand-père vient de commencer.


L E Ç O N 5. -

JACQUELINE V O Y A G E A V E C S O N r D . N G R A N D . PÈRE

2e partie

Personnages : Le grand-père (il raconte), Jacqueline (elle écoute)

Le grand-père: Il faisait trèg , arrivés à la gare. I J n ’ •’ 6 m atm ’ <ïuand quai. Quelques person« J ^ -PaS ^ eaucouP de Je train. Moi, j ’ouvrai« J S 1Saijent Ieur journal locomotive était n b ‘ ^_Sran ds yeux. Le train

nous sommes monde sur le en attendant est arrivé. La

fumée blanche s o r ta it^ i* ^ 8 Un peu Peur’ Un nuage de bruit terrible. Je ]a ^ • em*n ée, la machine faisait un Mon père m ’a pris a*s’ et Je ne pouvais pas faire un pas. wagon. p ar a m ain et m ’a fait monter dans un 52 ^

.....................


Questionnaire A. Repondez oralement aux questions suivantes : 1. A quel moment de la journée, l'enfant et son père sont-ils allés à la gare? 2. Quel temps faisait-il? 3» avait-il beaucoup de monde sur le quai de la gare? 4. « J ’ouvrais de grands yeux. » Qu’est-ce que le grand-père veut dire? 5. Quels etaient les sentiments de l’enfant quand le train est entré en gare? 6. Comment les manifestait-il? B. Répondez par écrit aux questions : 1-2-3-6.

Exercice 1. Au cours du dialogue, vous avez entendu : « C’est vrai, tu aimes prendre le train? Tu n’aimes pas mieux voyager en auto? » Complétez de même chacune des questions suivantes en utilisant Vexpression : « aimer mieux ». 1. Vous prenez vraiment le bateau pour faire ce voyage? Vous.................. voyager en avion? 2. Vous voulez vraiment du vin blanc avec le fromage? 3. II fait très chaud aujourd’hui. Tu veux vraiment t’installer à l’intérieur du café? 4. Vous voulez vraiment une chambre au rez-de-chaussee? 5. Vous êtes sûr que vous voulez des chaussures à semelles de caoutchouc? 6. Vous allez prendre le train du matin et voyager toute la journée? 7. Tu';as vraiment er les vacances à la montagne? 8. Vous allez vraiment répondre en allemand à cette lettre? 9. C’est vraiment une chemise de soie que vous désirez? 10. C’est vraiment une lettre que vous allez envoyer à vos parents pour les prévenir que vous n’irez pas les voir dimanche?

53


Un

r é c it

dans le é.

Au cours de son récit, le grand-père se reporte par la pensée dans le Pas . et il utilise l’im parfait pour exprim er les fa its (action s-etats) présents p0ur Ù à ce m om ent-là. E xem ples : Ma m ere é ta it m alade. Il faisait beau. Quelques personnes lisaient.

L’imparfait est donc employé pour exprimer tout ce qui est considéré comme en cours d’accomplissement. Le grand-père utilise le é compose pour exprim er tou t ce qu’il veut consi dérer comme accompli. Exem ple : Nous som m es arrivés à la gare. Mon père m’a pris par la main. Relevez et étudiez toutes les form es verbales d u texte.

Exercice 2.

Voilà un récit dans le présent : Onze heures sonnent au clocher de l’église Saint E ustache, quand Jérôme, mar chand des quatre saisons, arrive dans la rue M ontmartre. Il pousse sa petite voiture sur laquelle on voit de belles pom m es dorées qui brillent au soleil encore chaud de ce matin d’automne. Une très vieille dam e, un p etit panier à la main, s’approche de la voiture et demande combien coûtent les pom m es. Je n ’entends pas la réponse du marchand, mais la dame doit trouver que les pom m es sont trop chères car elle repart sans en acheter. Mettez ce récit dans le é : Ce matin-là, onze heures sonnaient... etc.


Exercice 3. j

«

Jacqueline : Grand-pere, est-ce que tu te rappelles ton premier voyage en train? Le grand-père : Oui. Je vais te le raconter. Le grand-père annonce son récit : Je vais te raconter mon premier voyage en train. Pour chacun des sujets suivants, un personnage annonce ce qu’il va dire ou ce qu’il va faire. Composez cette phrase. 1. Vous avez pris des photos pendant les vacances? Vous pouvez me les mon trer? — Oui, je vais... etc.

2. Qu’avez-vous fait cet après-midi? Vous pouvez me le dire? 3. Tu as reçu une lettre de Pierre? Tu peux me la lire? 4. Vous êtes en retard. Vous pouvez m’expliquer pourquoi? 5. Vous avez acheté un cadeau pour mon fils. Vous pouvez me l’apporter?

6. Qu’avez-vous entendu ce m atin à la radio? Vous pouvez me le répéter? 7. Vous avez acheté un tissu pour votre manteau. Vous pouvez me le faire voir?

8. Vous m e dites que j ’ai tort. Vous pouvez me faire comprendre pourquoi?

Lecture. Ce p e tit garçon, à l ’air effrayé, c’est le grand-père lui-même lorsqu’il avait sept ans. Si vous voulez comprendre son émotion, songez que c’est la premiere fois qu’il vien t dans une gare, la première fois qu’il va prendre le train. Tout l’épouvante, sur to u t cette locom otive qui, telle un m onstrueux animal, avance sur lui avec un bruit terrible, crachant par sa cheminée un nuage de fumée blanche.


lE ÇON 5. - JACOUEUNE VOYAGE AVEC SON CRAND.fÈ|(t 3e partie

Personnages : Jacqueline, son grand-père

Jacqueline : Tu as déjeuné au w agon-restaurant? 6 gran -pere. Non, il n ’y avait pas de w agon-restaurant ! Jacquehne : Est-ce qu’il allait vite, to n tra in ? . vais grand.pere : Je ne crois pas. Je regardais p ar la fenêtre, et je voy* Jacauelin Hr. couraient à to u te vitesse. . ; les Le «bres co u ren t^ regarde’ ëra n d -Père : aujourd’hui aus S and-pere: E t beaucoup plus vite q u ’il y a cinquante ans 56 u y uariiûâririei

i r ur r i i r i i b i y . c u r n

Questionnaire A. Repondez oralement aux questions suivantes ■

1. Où l’enfant et son père ont-ils déjeuné? Au wagon-restaurant? 2. Qu’est-ce qui a frappé l’enfant au cours du voyage? 3. Jacqueline a-t-elle la même sensation? 4. Pour un voyageur qui est dans un train en marche, dans quel sens se déplaee le paysage r r B. Répondez par écrit aux questions : 1-2.

Lecture. Le grand-père poursuit son récit, et Jacqueline est toujours tranquillement assise à sa place. Le vieux grand-père pense que, lui, à son premier voyage en train, il n’a pas pu rester aussi calme. Il se revoit, debout devant la fenêtre, collant son nez à la vitre, ouvrant de grands yeu x à un étrange spectacle si nouveau pour lui : ce n’était pas le train qui avançait, c’étaient les arbres qui couraient a toute vitesse devant lui.


Le gérondif. Au cours de la conversation, vous avez entendu : « Quelques personnes lisaient leur journal en attend Ici, le gérondif : « en attendant » exprim e une circon s^ le train* » lisaient pendant qu’elles attendaient. tance de temps gy

es

Si nous disons : « Quelques personnes attendaient le train en lisant leur ' ... le gérondif : « en lisant » exprim e une circonstance ,JOUrnal ». attendaient-elles? — E n lisant. maniere. Comment

Exercice 4. A partir de chacune des données suivantes, composez une phrase utilisant un gérondif. 1. Paul est tombé d’une échelle et il s’est blessé. Comment s’est-il blessé?

2. Je sortais de la poste. J ’ai rencontré Louis. Quand avez-vous rencontré Louis? 3. Je n’ai pas le temps de lire le journal maintenant. Je le lis pendant le déjeuner. Quand lisez-vous le journal? 4. Mlle Maillet a eu un petit accident. Elle cousait à la machine et elle s’est cassé une aiguille dans un doigt. Qu’est-ce qu’elle s’est fait? 5. Ne mange pas ce gâteau tout de suite, Jacqueline, tu le mangeras dès que tu arriveras à la maison. Quand Jacqueline mangera-t-elle son gâteau?

6. Vous n ’allez pas loin. Ne prenez pas un taxi, allez à pied, vous arriverez plus vite.

'

Comment est-ce que j ’arriverai plus vite?

58


„ Vnus allez place de la République? N e prenez nas tt* c e t t e petite rue, vous m ettrez cinq m inutes de moins. C o m m e n t est-ce que je m ettrai cinq minutes de moins?

Ue; pa88ez Par

8> Cette dame a l ’aix d’avoir faim. Vous voyez, elle vient d’acheter un pain et e lle n ’a t t e n d pas d etre rentree chez elle pour le manger. Quand cette dame m ange-t-elle son pain?

Exercice 5. Voilà un récit dans le présent : Je vais à Paris pour y er deux jours J’ai a doit m’attendre à onze heures devant l'entrée du aVec un cam« a d e qui train a la gare de Lyon et je laisse ma valise à la cous?™* r Je descends du et qu’il fait très beau, je vais a pied jusqu’à la place dû u n -i;omme 3e suis en avance qui me conduit au Palais-Royal. J e traverse la rue de i5v
““ l0m kS ChamI,S'ÉlyS“ S « > * • de T ^ p h “ ,“ “ e d V^ cC

Mettez ce récit dans le é.

Au mois de juin 1965, je suis allé à Paris... etc.


LEÇON 6. — UN ÉTRANGE VOYAGE

1re partie

Personnages : La femme de ménage, Jérôme

V o u s a v e T r ^ * ? U est' ce
^°!îf voy agez? Dans votre chambre? mes livres de C>V eu* * J e m ’assieds dans un fauteuil, j °uV géographie, mes cartes et je voyage.

Jérôme; Oui.

60 Generated by CamScanner from intsig.com

Q uestionnaire ^ Répondez oralement aux questions suivantes :

\ Qui sont les deux personnages de ce dialogue? 2 Où. se e cette scene?

3. Situez exactement chacun des personnages au début du dialogue, 4 pourquoi la femme de ménage est-elle étonnée? 5 Comment manifeste-t-elle son étonnement? g . Répondez p a r écrit aux questions : 2-3-4.

Lecture. Jérôme adore voyager, mais les voyages sont fatigants et coûteux; aussi a-t-il résolu de voyager tout en restant dans sa chambre. Assis dans un confortable fauteuil, il s’entoure de livres, de cartes de géographie, de guides touristiques, d’horaires de trains, d’avions et de bateaux. Il a même un globe terrestre. Son imagination le conduit où il veut : en Italie où il visite Pise et sa célèbre Tour penchée, à Venise au bord de l’Adriatique, en Égypte au pied des Pyramides. La montagne ou la mer, tout lui plaît. Jérôme semble ravi, mais sa femme de ménage que l’on voit ici, le balai à la main, pense sans doute que Jérôme a perdu la raison. N ’est-ce pas aussi votre avis?

61


LEÇ O N

6. -

UN ÉTRANGE VOYAGE 2e partie


La femme de ménage : Alors, où êtes-vous aujourd’hui?

.

Jérôme: Aujourd’hui, je suis en Suisse. J ’ai pris hier soir e r p

Paris-Genève ; j’ai voyagé de nuit. La femme de ménage: En quelle classe? Jérôme: En première, bien sûr. «ouvez La femme de ménage : Évidemment : ça ne vous coûte rien, vous p voyager en première. . nuand Jérôme: J’ai même pris une couchette. J ’ai très bien d<°rm^fautes je me suis réveillé, j’ai regardé par la portière. J bais^ montagnes couvertes de neige. Il y avait du soleil, la glace et j’ai respiré l’air frais. 62 Generated by Cam Scanner from intsig.com

Questionnaire A Répondez oralem ent a u x questions su ivan tes :

1. 2. 3. 4. 5. 6.

Dans quel pays Jérôme se trouve-t-il? Comment y est-il allé?

A-t-il pris une simple place de première classe? Comment s’est é son voyage? Quand s’est-il réveillé?

Quel paysage a-t-il vu par la fenêtre du wagon?

B. Répondez p a r écrit a u x qu estion s : 1-2-3-5.

Lecture.

La nuit e vite quand on peut dormir dans une couchette confortable : c’est déjà le matin. Dans le train de nuit qui le conduit en Suisse, Jérôme s’est réveillé à l’aube. Il a sauté de sa couchette, couru à la fenêtre du couloir. Les hauts sommets couverts de neige brillent aux premiers rayons du soleil. Jérôme a baissé la vitre. Quelle joie de pouvoir irer le magnifique paysage de montagnes et de respirer l’air pur et frais du matin !


L E Ç O N 6. -

UN

3

ÉTRANG E VOYAGE

e partie


La femme de ménage : En ce moment, où êtes-vous? 0ntagneJérôme : En ce moment, je suis dans un village au pied une in gn Toutes les maisons sont en bois; elles sont Pe^ es.^ vaflée est vert, en jaune. La m ontagne est en plein solei , encore dans l’ombre. 9 La femme de ménage : Que faites-vous dans ce village. Jérôme : Je me promène avec une jolie paysanne. La femme de ménage : Yous avez de la chance ! 64


Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Décrivez le village où Jérôme se trouve en ce moment. 2. Jérôme est-il seul?

3. Comment seront la vallée et le village à midi? 4. Construisez deux phrases où vous emploierez : « dans l’ombre » — « à l’ombre ». B. Répondez p a r écrit au x questions : 1-4.

« Qu’est-ce que vous faites? »

Exemples : a) Paul: Qu’est-ce que vous faites, le dimanche après-midi? Jean : D’habitude, je vais au' théâtre ou au concert. Par sa question, Paul manifeste simplement son désir de connaître les activités de Jean le dimanche après-midi. b) M. Dubosc ne peut pas travailler dans son bureau parce que les enfants font beaucoup de bruit dans la pièce voisine. Très en colère, il ouvre la porte de cette pièce et crie : « Qu’est-ce que vous faites? Vous ne pouvez pas jouer sans faire de bruit? » c) Paul vient de démonter son poste de radio qui etaitên panne; il ne sait plus remettre les pièces en place ; il est très embarrasse. C est a ce momen ^ là que Jean entre dans la pièce. Dès qu’il voit son ami, il s ecrie * « Qu’est-ce que vous faites? Il fallait confier ce poste a un sp Trouvez vous-mêmes des situations où Vun des personnages s adresse avec surprise — avec colère — avec pitié.

65

Forme Pa » < « - Forme active. j AV ° Z

I« leçon, v o u s a v e z e n te n d u :

de hautes m o n tagn es c o u v e r te s d e n e ig e . »

vu r o u v r a i t les hautes montagnes. En effet, la n e i g e rtes _ le8 montagnes qui sont couvertes « Les montagn ^ étaient couvertes... » « J ai

... so n t des form es p a ssiv e s. T « neice couvre ... la neige couvrait... » « La neig ^ j eg formes actives.

Exercice 1. Une personne prononce les phrases suivantes. Im a g in e z qu une^ autre personne lui répond en reprenant ce qu’elle a dit m ais en u tilisa n t un e fo r m e active .* 1. Regardez les feuilles agitées par le v e n t, v o u s n e trou vez pas qu’il fait plus frais ce soir? Exemple de réponse : — Oui, je vois bien que le v e n t ag ite les feuilles des arbres, mais je ne trouve pas qu’il fait plu s frais.

2. Si vous avez rencontré Sophie, elle é ta it certain em en t accom pagnée par Gustave. 3. Vraiment, toutes les lettres m ises dan s c e tte b o îte a v a n t m inuit arrivent le lendemain m atin? 4. Alors, tous les enfants in v ités à c ette fê te reç o iv e n t un cadeau? 5. Vraiment, ce colis expédié par b a tea u n ’arrivera pas avan t un mois?

6. Alors les tableaux exposés dans c ette G alerie n e so n t pas à vendre? 7. Vous croyez que toutes les n ou velles an n on cées à la radio seront dans le journal demain m atin?

8. Vous pensez qu une grande partie des voitures fabriquées dans cette usine sont vendues à l’étranger?

Generated by CamScanner frorn intsig.com M

pi vers emploi5 de la préposition « en ». Ae la conversation, vous avez remarqué que la préposition « en

1, Pour 2 pour le temps .

en Suisse — en première classe ^

^

moment

Pnur la matière, la couleur : en jj0is — en bleu p _ un moyen de déplacement : 4. Pour un j en v0lture

3, Pour

g Dans 1 expression

en plein soleil

6. Rappelc-vous le gérondif ( L e ç e n ^ ^

Exercice 2. Composez des phrases utilisant la préposition « en » dans ces différents emplois

Lecture. Au pied des montagnes, les chalets de bois sont serrés les uns contre les autres : c’est le village suisse dans lequel Jérôme rêve qu’il est arrivé le matin. Il est encore tôt; si les sommets des montagnes sont déjà en plein soleil, l’ombre couvre encore la vallée et les villageois ne sont pas sortis de leurs habitations. Jérôme a cependant rencontré une jeune paysanne qu’il emmène avec lui en promenade.

LEÇON 6. -

UN ÉTRANGE VOYAGE 4e partie

Personnages : Jérôme,

La femme de ménage

Jérôme: Maintenant regardez la carte. Vous voyez part du village? La femme de ménage : Oui, je la vois. ^ vallée où c Jérôme : Je vais la suivre et je vais aller jusqu a ce une rivière. *ed à bicycêtte ° La femme de ménage : Gomment y allez-vous? A pie ’ en voiture? Jérôme : A pied : on voit mieux le paysage. 68


Questionnaire

^ Répondez oralement aux questions suivantes :

1. Qu’est-ce que Jérôm e m ontre sur une carte à sa femme de ménage? 2. Où conduit cette route? 3. Comment Jérôme fera-t-il sa promenade?

4. Pourquoi préfère-t-il faire sa promenade à pied? 5. Jérôme dit qu’au cours d ’une promenade à pied on voit mieux le paysage. Expliquez pourquoi. E st-ce aussi votre avis? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-3-4.

Lecture. Jérôme aime marcher; les prom enades en voiture ou même à bicyclette ne lui plaisent guère. II préfère partir à pied sur les routes, sac au dos, chaussé de solides souliers et s ’aidant dans sa m arche d ’une canne ferrée. La route qu’il parcourt suit maintenant un torrent d’eau v iv e , et Jérôm e ne se lasse pas d’irer les hauts sapins qui bordent l’autre rive.


Emplois du verbe « Pouvoir ». Étudie* le sens que donne à la phrase le verbe « pouvoir » dans les vants : 1. Paul demande l’autorisation de sortir. P a u l: Je peux sortir, maman?

Sa mère lui accorde l’autorisation : L a mère : Oui, tu peux sortir. 2. Im a ginez q u 'il y a devant la porte u n m euble q u i

en gene Couverture,

L a mère : Tu peux sortir, Paul?

(Elle lui demande si c’est possible, si c’est réalisable.) P a u l: Oui, oui, je peux sortir.

3. A utres exemples : Dans une pièce très froide :

— Je peux allumer le feu? (C’est une demande d’autorisation.) — Je peux allumer le feu si vous avez froid. (C’est une proposition — une suggestion.) — Je peux allumer le feu, j’ai des allumettes. (C’est possible, réalisable.)

4*

Il fait beau et vous prenez un parapluie? — Il peut pleuvoir ce soir. Il pourrait pleuvoir ce soir. (Ici, « pouvoir » est à la forme impersonnelle.) — Il se peut qu’il pleuve, ce soir. (Ici, c est une forme pronominale et impersonnelle.)

5. —

Vous pouvez ouvrir cette fenêtre, s’il vous plaît? Vous pourriez revenir dans une heure? (Ici, « pouvoir » exprime la politesse.)


Slii.

gx®rCÎcC 3‘ QoTnp°s6i des dialogues au cours desquels un des personnages prononcera les paroles

$uivantes * im « Je PeuX V°

verser votre café maintenant? »

«temple de réPonse: . £ ^ D upont a presque fini son repas. Au restoaUy o Us prenez un café? . , . . , ra serveuse• * . r jg pas to u t de suite. Vous voyez, je n ai pas encore ternnne mon

Ai- P“?"'1' •' f™mage. Vous m’apporterez aussi une pâtisserie^ J tromag serveuse apporte le gateau que M. Dupont a commande. Cinq vous verser votre café maintenant? A/f Dup°nt • Ou!; merci. „ o

A llez-y, je PeuX surveüler les enfants. »

Voa8 pouvez saler encore un peu cette sauce. »

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Oui je P<>ux vous Procurer ce qUe; ” pourrez me rembourser demain? »

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LEÇON 6. — UN ÉTRANGE VOYAGE 5e partie


9

L a fem m e de ménage : E t la sem aine prochaine, où irez ^ ^ an? puis Jérôme : La semaine prochaine, je p re n d ra i 1 avion po

le tra in pour Venise. . . vais prerl 1 La fem m e de ménage : E h bien : b o n v o y a g e . Moi, j l’autobus pour re n tre r chez m oi. 72 Generated by Cam Scanner from intsig.com

Questionnaire

^ Répondez oralement aux questions suivantes :

1. Jérôme restera-t-il longtem ps en Suisse? 2. Quels moyens de voyager choisira-t-il? 3. Dans quel pays ira-t-il?

4. Quelles villes veut-il voir dans ce pays? 5. A la fin du dialogue, la fem m e de m énage ne se moque-t-elle pas de Jérôme? Que lui dit-elle? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-3-4.

Lecture.

Jérôme se plaît beaucoup dans ce village suisse où l ’a conduit son imagination. Pourtant, il n ’y restera pas lon gtem p s : une sem aine au plus. L ’Italie l ’attire. Il prendra l’avion pour M ilan d o n t il survolera la célèbre cathédrale, mais c’est surtout Venise qu’il désire visiter; il se v o it d é jà au m ilieu des pigeons de la place Saint-Marc et reve d’une promenade en gondole.


L ’In v e rs io n

dans la proposition relative.

Au cours du dialogue, Jérôme dit : « Je vais aller jusqu’à cette vallée où coule une rivière. » On dit : Une rivière coule dans la vallée. L’ordre normal des m ots de la phrase est : U ne rivière ... sujet coule ... verbe dans la vallée ... com plém ent Dans la phrase de Jérôme, le com plém ent est rem placé par le pronom relatif « où » qui a sa place en tête de la proposition. Celle-ci d evien t donc : ... où une rivière coule. Mais la phrase est mal équilibrée; la fin est trop brusque; on attend un complé ment après le verbe. On dira, par exemple : « Je vais aller ju sq u ’à cette vallée où une rivière coule entre de grands arbres. » S’il n’y a pas d’autres com plém ents, on inverse l ’ordre des mots de la pro position relative : où ... com plém ent coule ... verbe une rivière ... sujet On appelle ce procédé une inversion.

74


gxerc,ce * A nuées suivantes, construisez une ph rase où la p roposition relative compor j l'aide deS. ^ eTSion (utilisez le pronom re la tif convenable) :

tera une in r me prom ène dans un parc. 1 ^ enfants jouent dans ce parc. o J’ai suivi une rue. . , B ea u co u p de voitures aient dans cette rue.

La Comédie-Française a donné une représentation. ^ Beaucoup d’étudiants sont allés à cette représentation.

4 Je suis entré tout de suite à la gare et je suis é sur le quai. De nom breux

voyageurs se trouvaient sur ce quai.

5 Le gardien de l’hôtel a couru vers une chambre. Des cris perçants sortaient de cette chambre.

6. C’est un hôtel très cher. De riches touristes étrangers fréquentent cet hôtel. 7. Je me suis approché du lit. Un malade gémissait dans ce lit.

8. Tous les touristes ont levé les yeux vers un sommet. Le guide montrait ce sommet.

75 k

____________________ ___


UEÇON 7. — AUTREFOIS A LA CAMP a g ^ e

1re partie

Personnages : Un vieux paYsa ' Une vieille

Le paysan : Gaston n ’est pas là? . „ jl l’a a paysanne : Non. Le tra c te u r a v a it besoin d ’une reparat

conduit à la ville.

je®*

paysan . Il est sou ven t à la v ille c e tte année. Quand ] ® 1Iiaicb«' La PayZlne ■e Î S®?lenient une fois P ar m ois’ le j° Ur dU ^ U

•• Je penV eH enT ^

^

’ 76

o c i i c i a i c u u_y vâi i i j l ü i ii ic i i i u i i i

ii i i i i y . uui i i

Questionnaire

^ Répondez oralement a u x questions suivantes : 1 . Qui sont ces d eu x personnes?

2. Qu’est-ce qui vous fait comprendre qu’elles sout certainement W 3. Imaginez un lieu précis où se e cette scène. 4. Imaginez qui est G aston. 5. Pourquoi n ’est-il pas à la ferme à ce moment-là? 6'

i Ua“ f ° iS

“

VieUX P a y S a n a lla it 'a S0UVent à la Ville? Qu’est' « qui l’en empé-

B. Répondez p a r écrit a u x questions : 3-4-5.

Lecture. Ce vieux paysan qui p assait près de la ferme de Gaston est entré pour dire bonjour à son ami et prendre de ses nouvelles : à la campagne, tout le monde se connaît. Il s’etonne toutefois de ne pas le trouver chez lui; il ne peut s’empêcher de penser que Gaston est bien sou ven t à la ville et qu’il laisse alors sa femme s’occuper^ seule des travaux de la ferme. C ependant, ce n ’est pas pour se promener que Gaston s est rendu à la ville : le tracteur a v a it besoin d’une réparation que Gaston ne pouvait effectuer lui-meme. Aussi le ferm ier l ’a-t-il conduit chez un mécanicien.


LEÇON 7. — AUTREFOIS A LA CAMPAGNE 2e

partie

Personnages : Le paysan, La paysanne

Le paysan : II fallait v a r tîr A* u

i

avant quatre heures T’al]11^ T * * ' ^ Jours‘là’ Je me levais Mariette rem plissait 3 -S ner * m anger aux bêtes, donnait le grain auv ^ p aniers ^ œ u fs et de fromages. Elle à cheval. ^ ° U CS’ n ou s p artion s dans la voiture

bien la route Je tj • .Pf» besoin de Je r l T ™ habitude de boire uiT y6*

un b on ch eval! Il connaissait dans la voiture. Je n ’avais S arr^ta *1 d ev a n t le café où j ’avais 78

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Questionnaire

^ R é p o n d e z oralement aux questions suivantes:

i. Q-and ü voulait aller à la ville autrefois, le paysan se Ievait-Ü de bonne heure’ 2 Que devait-il faire avant de partir?

3. Qui est Mariette? 4. Qu’avait-elle à faire avan t de partir?

5. Qu’est-ce qu’ils allaient donc faire à la ville? 6. Qui était Roussin? 7. Montrez que c’était un bon cheval.

8. Pensez-vous qu’il a gardé ce cheval longtemps? B. Répondez par écrit aux questions : 2-3-4-6.

Lecture.

Autrefois, une fois par mois, le jour du grand marché, le paysan allait vendre à la ville les produits de sa ferme : des œufs, du beurre et des fromages, des poules et des lapins. Ces jours-là, levé avant quatre heures, il allait donner à manger aux bêtes ans les écuries et les étables, et il attelait son cheval à la voiture. Pendant ce temps, sa femme, après avoir donné à manger aux poules, préparait les paniers. Le voyage Pour se rendre à la ville durait près de deux heures, mais ils avaient un bon cheval, 1811Paient jamais en retard, et, avant de commencer leur vente, ils avaient même ])i ^ P 8 de er quelques m inutes dans un café, devant lequel le cheval, qui en avait tabitude, s’était arrêté de lui-même.

LEÇON 7. — AUTREFOIS A LA CAMPAGNE

3e partie

Personnages : La paysanne, Le paysan

La Paysanne ; ]\f oi L e P a y s a n ^ * t a it ]a

01111611318 ^

à Ja f o i r e d e k

ia i ° ^ ° " eS..a^ Cs, «s enfants.116 ^ r

P o u tlui eS

e Paysan ; VolJg

Sainte-

de ]’année. Nous aussi, nous y

honto n T àt deu3"* t0UteS Jes b ou tk P‘es- Ils ach?

X sous. C’était une belle journée

J ‘ ie ” »»<1« 1I. VI .

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? 0 ., «« p ..'« '

Questionnaire ^ Répondez oralement a u x questions suivantes : 1.

Dans cette région, q u a n d é ta it la plus grande foire de ,,

,

2. Qu’est-ce que les p a y sa n s allaien t faire à la foire? 3 . Pourquoi em m en ait-o n les en fan ts?

4. Pourquoi les en fa n ts s ’arrêtaien t-ils dev an t les boutiques? 5. Pourquoi ne p o u v a it-o n plus er sur la place? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-4-5.

Lecture. C’est le 25 n ovem b re, jour de la Sainte-Catherine, qu’avait lieu la plus grande foire de l’année. A u cours de la m atinée se ten ait la foire elle même, c’est-à-dire la vente des anim aux de ferm e : b œ u fs et vaches, chevaux, porcs et moutons. De nombreux marchands forains v e n a ien t installer leurs étalages sur lesquels on trouvait surtout des vêtements, des étoffes, des articles de ménage. Tous les paysans des environs venaient là par fam illes entières. La place était noire de monde et la foule se pressait autour des m anèges, des baraques d ’attractions diverses ou de loterie.

Si


A v o ir beso in d e . N ’ a v o ï r p a s b e s o i n d e .

Au cours de Ja conversation, vous avez entendu ; « Le tr a cteu r avait besoin d ’une réparation. » « Roussin connaissait bien la route : je n ’avais p as bes Remarques : 1. L’expression verbale « avoir besoin de » est suivi — soit d ’un nom ( 1er exem ple), — soit d ’un verbe à l ’in fin itif (2 e e x e m p le ) : — Pour vivre, nous avons besoin de nourriture — Pour vivre, nous avons besoin de manger.

e

Coud lui* . ,

2. — Paul est fatigué : il a besoin de repos. — Oui, il a besoin d ’un repos com plet

Quand le nom est pris dans un sens général, on supprime l’anid

Exercice 1. Pour chacune des questions suivantes, im a g in ez une réponse qui utilise l'expression « avoir besoin de » suivie d 'un nom.

1. — Vous désirez un renseignem ent, m adam e? Exemple de réponse: Oui, monsieur, j ’ai (j’aurais) besoin d ’un renseignement.

2. Si on veut conduire une auto en , on doit avoir un permis? 3. Pour sortir, il vous faut une perm ission? 4. Ce devoir n ’est pas difficile. Vous voulez to u t de m êm e que je vous l’explique? 5. Les renseignements que je vous donne vou s paraissent trop généraux? Vous voulez que je vous les précise?

6. Vous dites, docteur, que m on m ari d oit se reposer?


6xercice 2.

C’Z n

ics c o n v e r s a tio n s p a r ‘‘ r b e :

u n e p h r a s e u t i l i s a n t l'e x p r e s s io n « a v o ir b e s o in d e » s u iv ie

1, • r ’école êst to u t près de la maison. Il faut quand même que j ’accompagne les 0n^Non, vous n’avez pas besoin de les accompagner. _ Donnez un m ouchoir à cet enfant. 2" — Pourquoi? Il a plu tou te la n u it; vou s voulez quand même que j ’arrose le jardin, ce matin? ^ j p"enge qu’il ne pleuvra pas; j ’emporte quand même un parapluie? 4 Cette lettre n ’est pas très pressée; je l ’expédie quand même par avion? !' e Vous vo v ez bien que je ne peux pas aller avec vous. 6- I Alors je n’insiste pas? T’ai bien noté notre rendez-vous. H Alors, il n ’est pas nécessaire que je vous le confirme? Q Vous ne parlez pas encore bien français. 9 8' I Alors il est nécessaire que je poursuivre mes etudes. o Te suis sûr que votre compte est juste. n

: ;t

~

_ Bon. Mais...

83


_ AUTREFOIS A LA CAMPAGNE LEÇO

4e partie

Personnages : La paysanne, Le paysan

La paysanne : E t dans les cafés! Il y avait un joueur a * 0u café de la Mairie : to u t le monde s’arrêtait pour pour danser. On dansait jusque dans la rue. Le paysan : Oui ! J ’en ai fait, des valses ! La paysanne : E t moi donc ! p ersomie ne Le paysan : Aujourd’hui, nous allons à la ville en auto. ^ trjste. danse plus dans la rue. T out le monde a 1 air Press® e tolit est La paysanne : Nous sommes vieux! Alors nous trouvons q un peu triste. 84


Questionnaire ^ Répondez oralement a u x questions suivantes :

1. Qu’est-ce qui a ttir a it les gens au café de l a Mairie? 2. Pourquoi d a n sa it-o n ju sq u e dans la rue?

3. Quelle é ta it la d an se préférée des paysans? 4. Quel ju g em en t les d eu x v ie u x paysans portent-ils sur la vill

5. Pensez-vous que c 'e st au ssi l ’opinion des jeunes paysans?

•

^

B. Répondez p a r écrit a u x questions : 2-3-4,

Lecture. Toute la journée, les cafés e ta ie n t b on d és; on se pressait autour des tables qu’on avait installées sur les tro tto irs e t sur la place. Le café de la Mairie surtout était envahi par des groupes jo y e u x , b ru y a n ts e t anim és. U n joueur d’accordéon était monté sur une table et jo u a it des v a lse s; m ais la salle du café devenait bientôt trop petite, et le bal s éten d ait dan s la rue au m ilieu de la foule des paysans qui s’arrêtaient pour écouter la m usique e t ap p lau d ir les danseurs.


Les relations logiques. La cause. La conséquence. Au cours de la leçon, vou s avez en ten d u :

1. « Le tracteur avait besoin d une réparation, Gaston l’a CQ v 2 « Roussin connaissait b ien la rou te, je pouvais dormir ^ ^ à la vil] " je n ’avais pas besoin de le conduire. » dans la

3. « Vous vous rappelez le m onde qu’il y avait! On ne nQ1,v •

^ ait plus çr

sur la place. »

Dans chacun de ces groupes, il y a une relation logique de cause ' Pourquoi G aston a-t-il con d u it son tracteu r à la ville? " Conséquence Comment se fait-il que G aston p o u v a it dormir dans la voiture’ Pour quelle raison ne p o u v a it-o n plus er sur la place? Nous répondons : — Parce que son tracteur a v a it besoin d’une réparation — C’est parce que son ch eval connaissait bien la route. — Parce qu’il y a v a it trop de m onde. Remarquez que, dans la langue parlée, le sens des phrases et Pin* suffisent à indiquer la relation. °natioa

Quelques moyens de m arquer la relation de cause. Conversation : — — — — — —

D is, G aston, tu p eu x m e prêter ton tracteur? Ah! non, je ne p eu x pas. Pourquoi? Parce qu’il a besoin d ’une réparation. Tu vas le réparer toi-m êm e? Non. Comme je n ’ai pas les outils qu’il faut, je le conduirai à la ville, chez un m écanicien. J ’irai dem ain. — Moi aussi, j ’ai besoin d ’aller à la ville. Puisque tu y vas demain, tu peux m ’em m ener avec toi?

— Avec plaisir. Remarquez dans cette conversation trois conjonctions qui sont utilisées pour marquer une relation de cause : parce que, comme, puisque.


rcice 3‘ ÉXe’'

„ Louis n ’est pas venu au restaurant où il vient d’habitude. »

Sur Ie suÎet .„„nosei une conversation (entre Louis et un ami) au cours de laquelle vous u ’s c o n j o n c t i o n s ci-dessus. 1 fa réponse .

E%emP ,êtes pas venu au restaurant, à midi. _ Vous n ^ * seulem ent un sandwich : je n ’avais pas faim. --- Non» J vQuS venez toujours, d ’habitude, je me suis étonné. "" ^°^1IComnie je n’avais pas envie de prendre un repas complet, je ne suis pas allé au restaurant. , , . , Drends bien; vous avez pris seulement un sandwich parce qu un sand" ^ c h coû te moins eher qu’un repas. __ Et aussi parce que je n avais pas faim. Sujets Ç ^ 2 itu de, Pierre va à pied à son travail; mais aujourd’hui, il était en retard, il a pris un taxi.

2 M. Lebrun pense qu’il va pleuvoir; il prend un parapluie. 3. M. Dubois prend un train de nuit ; il pense qu’il fera froid, il prend une couverture.

87


Exercice 4. Tisez le texte s u iv a n t' ^ Les jou rs de m arch e, L ou is se le v a it a v a n t quatre heures. Il a lla it d o n n er à m an ger a u x b ê te s . Sa femm e M ariette r e m p l i s s a i t ses p a n ie r s d œ u fs e t d e from ages Elle d o n n a it du g ra in a u x p o u les e t i l s p a r ta ie n t dans la voiture à cheval. Ils dorm aient un peu d an s la voiture. A vant d ’arri» ver à la v ille, L ouis a rrêta it le c h e v a l d e v a n t un café et descendait boire u n v erre; M a riette p ren ait un café au lait. P uis ils s ’in sta lla ie n t su r la p la ce du marché. Ils vendaient leurs p ro d u its à leu rs c lien ts de la ville. L ’ap rès-m id i, ils rev e n a ien t à la ferm e. N. B. Louis et Mariette répètent ces mêmes actions tous les jours de marché; remarquez que les Verl, sont à l’imparfait. es

Imaginez que ce récit se place « u n j o u r p a r tic u lie r » d a n s le p a ss é , mercredi dernier par exemple. Écrivez ce nouveau texte: Mercredi dernier, Louis s’est le v é a v a n t... e tc .

88 a i t J U uy v^rcinl o u a i u i f c M i i u m m i b i y . u u i i i

▼

t *e«',ce 5' .g, le texte suivant:

l ‘!C'

« En ®e moment j’kabite Paris

.

. J 31 Un °ncle

qui possédé une p etite m aison à la vit seul avec son chien. Ce n ’est pas ?a? ? agne; ü y chaque dim anche, je vais le voir et îp de ï>aris? avec lui. Quand j ’apparais au d é to u ^ T après'midi conduit à la m aison de mon oncle, le chien T m l J " jamais d accourir au-devant de mm manque intelligente. Vers sept heures,' il sait que, pour m oi, c’est l’heure de p a rti, Près“ ' toujours, mon oncle m ’accompagne à la gare et J ! l ? vient avec nous II ne peut s’empêcher de s’élancer joîèu" sèment sur le chemrn; pourtant, il s’arrête quelqaeLs 11 ,reT n t Z ™ m01 k têtC bassc et 3 P°usse de petits cris plaintifs comme pour me dire qu’il regrette de me voir m ’en aller. »

1. Relevez dans ce texte les expressions relatives au temps. Exemple : En ce mom ent — chaque dimanche — etc. 2. Imaginez que le récit se situe dans le é : Il y a cinq ans, par exemple, et refaites le texte. « En ce tem ps-là, j ’habitais Paris mais j ’avais... etc. 3. Reprenez le prem ier texte, m ais au lieu de « Chaque dimanche, je vais le voir » dites : « Dimanche dernier, je suis allé le voir. » E t recomposez le récit en faisant toutes les transformations nécessaires.

89


leçon

8. —

a la gare

1re partie

Personnages : Le mari, La femme

Le mari : Où as-tu mis m a valise? La femme : Ta valise? J e ne l’ai pas vue. . Le mari : Comment ! Je l’ai posée là, il y a une minute. Je suis a acheté un journal, je reviens, je ne la trouve plus. ^ La fem m e: Moi, je suis restée là, avec les deux sacs. J ai su*v’® ^G t trois enfants et le chien... A propos, où est le chien. là to u t à l’heure. Le mari : Oui, il é ta it couché à côté de m a valise. La femme : I l n ’y est plus ! M édor ! M édor ! Le mari : Ce chien ne v ie n t jam ais q u an d on l’appelle* La femme : E t le tra in arriv e. V ite! V ite! 90 Generated by Cam Scanner from intsig.com

Questionnaire ^ Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Ces personnages so n t à la gare. S itu ez-les d ’une manière très précise.

2. Imaginez un b u t au voyage de cette famille. 3. Où est allé le mari?

4. De quoi accuse-t-il sa femme à son retour? 5. Comment se ju stifie-t-elle?

6. A-t-elle bien surveillé le chien? 7. S’ils veulent prendre le train qui arrive, que doivent-ils faire d’abord?

8. Ces deux personnes son t énervées. Comment vous expliquez-vous leur éner vement ?

B. Répondez par écrit aux questions : 2-3-4-7.

Lecture.

n’est eu vacances, avec trois enfants, un chien et de nombreux bagages, sedisDut 31SrU.n P*aislr pour les parents. Ils ont bien des occasions de s’énerver, de ü s’est 'l^' UIt mar* aÇcuse sa fem m e de n ’avoir pas bien surveillé sa valise quand pas resC ^ (Iu e s.m ^nuês pour aller acheter un journal. Elle proteste; elle n’est les enf^°nS î ^ disparition de cette valise; elle ne pouvait pas tout surveiller : cauh'mf j »8* bagages, le chien... D ’ailleurs le chien, qu’ils n’avaient pas pris la préLa°n d a«acher, a disparu lui aussi. Qe se jP.etlte paraît émue de la dispute de ses parents, mais les deux garçons lutte. aiSSent Pas im pressionner et en profitent pour engager une joyeuse partie de


LEÇON 8. — A

LA GARE

2e partie

Personnages : Le mari, Un voyageur, La femme

Le mari : Monsieur, s’il vous plaît, vous n ’avez pas vu une grande valise jaune et un petit chien noir? Un voyageur : Mais non, Monsieur. Je ne m ’occupe pas de vos bagages. La fem m e : Ah! La voilà, ta valise! Elle était derrière la voiture u marchand de journaux. ,.j Le mari : Voilà le chien qui arrive en courant. Mais qu’est-ce qu fait? Il mange une saucisse. Il a volé une saucisse. La femme : Partons vite. 92


Questionnaire ^ Répondez oralement aux questions suivantes :

^ « Pardon, Monsieur... » A qui s’adresse le mari? 2. Que d em an d e-t-il à ce m on sieu r? 3. La réponse de ce voyageur est-elle aimable?

4. Pourquoi ce v o y a g e u r r ép o n d -il si peu aimablement? 5. Imaginez u n e rép o n se aim ab le de ce voyageur.

6. La valise est enfin retrouvée. Où était-elle? 7. Expliquez en d é ta il la d isp arition de la valise.

8. Le chien r ev ien t. Que tie n t-il dans sa gueule? 9. Le mari ne dit pas que son chien a « trouvé » une saucisse, il n’hésite pas à dire qu’il l ’a « volée ». Qu’est-ce que cela prouve? 10. Où le chien a-t-il pu voler cette saucisse? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 2-6-8-10.

Lecture.

Le mari avait tort d’acc sa femme : ^ voitme.°Le voyageur, à allant acheter son journal et qui 1 avait ou 1 • se croyait peut-être soupqai le mari avait demandé s’il n’avait p as vu sa ^ train, l’air encore û“e“x* tonné de l’avoir déplacée, se retourne en montant le chien revient, tenant à la gueule une saucisse qu il a P babiement volée au buffet de la gare ou dans le sac d ’un voyageur. , . Ly ne leur reste plus qu a . Ainsi, ils ont enfin trouvé leur valise et leur chien, et vivement dans le train qui est sur le pom e p


Le p a ssé c o m p o sé -

création suivante. Écoute la C°n , 9 il n’est plus là. Ou est-il? ____ Où est Medo . cou ran t. __ Tiens, il T^ ^ i \ a dans la gueule? Il mange une saucisse, n’es< — Mais qu est- ^ 4 ^ une sau cisse.

- MalS 0U1‘ Les personnages a

sous les yfux;t catif : « Ou cst Le dernier ^ a cco m p li le

ccttc scène exp rim en t des faits qu’ils ont actuelle ^ em p loien t sont au présent de 5

£ n,eat __ il revient — il a — il mange. » a n térieu r à la scène actuelle et il est enti^« ^ c m p lo y é e st le é com posé de l’indicatif : « il a 1

Exercice 1. Complétez chacune des co n versa tio n s s u iv a n te s p a r u n e p h r a s e où vous emploierez le pa ssé com posé de V in d ic a tif .*

1. — Où est Michel?

— Il joue dans la rue avec un chien. — Tiens, voilà Michel qui revien t. M ais qu’est-ce qu’il a? Il pleure. — • ............................. (exemple : Le chien l’a mordu.)

2. — Attendez, je vais vou s photographier, ne bougez pas. Là, ça y est. Quelques jours ent. — Je vous apporte la ph oto. M ais, regardez, elle n ’est pas nette. 3. — Allons, reprenez de la crèm e. — Oui, merci, elle est très bonne. ( I l f in it de m a n g e r s a c rè m e .) — Reprenez-en encore une fois. — Non, merci, je n ’en v e u x plus. Mais puisque vous la trou vez b on n e.

94 G eneratedbyC am S cannerfrom intsig.com

r

4 phüippe est avec son ami Gaston pv dans la boîte. ' 11 sortant de c^ Gaston : Julie vous

écrit

quelquefois ?

** ^

3 P « o d sn„

phihppe : Non, je pense qu’elle ■ 11c°urrier pas ma nouvelle adresse. Sa,t Pas où Vu lTiens. Mais voilà justem ent un. I 6 mai«teûa se met à rire.) ettre de J ujie ’ eÜe n*a Philippe: Pourquoi riez-vous ? t e o n : .................................... *

'

0e comD l.Pn,, Prends

pas>

5. M. Ledoux s’adresse à ]a Con ’*.............................. Af. Ledoux : J e vais au troisièm e .............. : *

6. Une femme de ménage

'“ »eu b fe .

" ‘ " ■ l . . . , 1« , S " » — r, * „ , m t

‘

........................

t-Sisï£S~»V

E x e r c ic e

2.

Au cours du dialogue, vous avez entendu : — J ’ai surveillé les trois enfants et le chien. A propos, où est le chien? Il était là tout à l’heure. Imaginez des associations d’idées qui vous permettent d’employer l’expression : « A propos. » Exemple : — Il fait très froid aujourd’hui. — C’est vrai. A propos, mon m anteau de laine est usé, il faut que j’en achète un autre.


L E Ç O N 8. — A LA GARE

3e partie


Le mari : Est-ce que tu as les billets ? # u La femme : Les billets? Non, c’est toi qui les as pris. portefeuille. Le mari : Ils n’y sont pas. Je te les ai donnés. ^ La femme : Mais non ! Tu ne me les as pas donnés... ma poche. Le mari: Montons vite. Le tra in s’en va. 96 ueneratea oy uam bcanner rrom 1nts1g.com

ar(le dans ton

j jjs soiit d&nS

Questionnaire

onc[e2 oralem ent aux questions suivantes :

A*

* 1 P o u rq u o i ces deux voyageurs pensent-ils to u t à coup aux billets? 2 Auront-ils besoin de leurs billets au cours du voyage?

3 Que prétend la fem m e? 4. Que répond le mari? 5. Qui des deux a raison? B. Répondez par écrit a u x questions : 2-5.

Exercice 3. Au cours de la conversation, vous avez entendu les phrases suivantes; rapportez-les au discours indirect, dans le é ( I l lu i a demandé — elle lui a répondu —■il a prétendu que — elle lui a assuré que... etc.). a) — Où as-tu mis ma valise? .5 — Ta valise? Je ne l ’ai pas vue. Je suis restée là avec les deux sacs et j ai surveillé les trois enfants. b) —- Monsieur, vous n ’avez pas vu une grande valise jaune? — Non, Monsieur, je ne m ’occupe pas de vos bagages. c) — Est-ce que tu as les billets? Non, c’est toi qui les as pris. Mais non, je te les ai donnés. Mais non, tu nè me les as pas donnés.

Exercice de réd a ctio n 4 . ixPliquez comment la valise a disparu et comment elle a été

97 u c u c i û i c u u j , u a m o t a i n i ci m u .............

retrouvée.

Le plus-que-Parfait' Exempt : v r a p p o r t é e dans le é la scèn e don nee en exem ple : « ^ i r O ù était-il? Peu après, i l est reven u en courant. Il avait a n !? f i la b o u c h e : il m angeait u n e sau cisse. Il a v a it v o lé une saucisse. T

n é tait

cto!'

Remarques : Les faits en cours d’accom plissem ent au m om en t où la scène se nas«« à l’imparfait. (Il avait — il m angeait.) p » sont Une action entièrement accom plie à ce m om en t-là est au é comn « (Il est revenu.) ^0se' Une action accomplie antérieurem ent e st au plus-que-parfait. (Il avait volé)

Exercice 5. Reprenez chacune des scènes de Vexercice num éro 1 et rapportez-les dans le é. Exemple pour le premier sujet : « Michel jouait dans la rue avec un chien. P eu après, il est revenu : il pleurait. Le chien l’avait mordu. »


I

Exercice 6.

R4w<* les participes és du dialogue de la fe,„„ r j . O r th o g r a p h e .

«■

Indiquez leur emploi e, ju s tifie ^

Exemple :

— Je ne l’ai pas vue. « vu » est le participe é du verbe : « voir » Il appartient ici au é composé du verbe • i’ii r, vue car il est accordé ici avec le c o n m l L , est au f™inin singulier verbe : 1’ = la valise. complément d’objet direct plaeé avantîé

Lecture. Au moment où, le chien revenu, la valise retrouvée, rien ne semblait plus empêcher ces voyageurs de prendre leur train, voilà qu’une nouvelle dispute éclate entre le mari et sa femme. Cette fois, c’est à propos des billets. Ils ne savent plus ce qu’ils en ont fait. Le mari les a-t-il mis dans son portefeuille comme le prétend sa femme? N’est-ce pas plutôt elle qui les a glissés dans sa poche? En effet, elle est toute surprise de les y retrouver.

99


leçon

8. —

a

la gare

4e partie

Personnages : La femme, Le mari

La femme : Mais où est Jeannot? Jean n o t est perdu! Le mari : C’est ta faute. Tu ne surveilles jam ais les enfants. La femme : Non, c’est ta faute à toi. Tu ne t ’occupes jamais de rien. Le mari : A ttention ! ton parapluie est tombé. La femme : Eh bien ! ramasse-le. Le mari : Je ne peux pas, je n ’ai que deux mains. l ’a v o n s La femme : E t regarde, m aintenant le train est parti. oUS manqué ! Ensemble : C’est ta faute ! 100 Generated by Cam Scanner from intsig.com

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes :

1. Imaginez une raison à la disparition de Jeannot. 2. A votre avis, qui est responsable de cette disparition? 3. Pourquoi la femme laisse-t-elle tomber son parapluie? 4. Pourquoi le mari ne le ramasse-t-il pas? 5. Que pensez-vous de cette réponse : « Je n’ai que deux mains? » Imaginez une réponse aimable. 6. Comment trouvez-vous ces deux personnes? B. Répondez par écrit aux questions : 3-4-5.

Lecture. Le petit Jeannot, qui a disparu, est peut-être monté dans le wa|on ™>yant que ses parents le suivaient. C’est d’ailleurs ce qu ils al aient aire,^ mai incident les en a empêchés... La femme, gênée par les deux sacs ârun des enfants qui s’accroche à sa robe, a laissé tomber son parap ui , spute bien rassé, le mari ne peut le ramasser. Nouveau su et d’enervement et ^ ^ P u te b en inutile d’ailleurs puisque, maintenant, le train s’est mis en marehe et qu ils n ont plus qu’à attendre le suivant.

101


LEÇON 9. — A LA PLAGE

A . _ Pierre et Jacques vont à la plage

Personnages : Pierre, Jacques

Pierre: Jacques, dépêche-toi. Nous allons à la plage. La voiture est en has. , , . Jacques: Attends, il faut que j ’aille chercher mon maillot e il est dans mon armoire. 't+roP Pierre : Vite ! Il faut que nous soyons à la plage avant qu il y 31 de monde. Jacques: Que fait Colette, ce m atin? Pierre : Je ne sais pas. Je vais lui laisser un m ot. , g0ft Jacques : Non, il faut que je l’attende. Je ne veux pas qu e obligée d’aller à pied. ^ „haufleur. Pierre : N’aie pas peur de cela. Regarde : elle a déjà trouve un 102


Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes:

1. Qui sont ces deux jeunes gens? Où sont-ils? 2. A quoi se préparent-ils? 3. Comment iront-ils à la plage? 4. Sont-ils prêts tous les deux? 5. Qui est Colette?

6. Pierre ne veut pas attendre la jeune fille. Que propose-t-il? 7. Jacques veut attendre Colette. Pourquoi? 8. Où aperçoivent-ils Colette? B. 1. Répondez par écrit aux questions : 2-4-Ô-7. 2. Rédigez le petit mot que Pierre veut laisser à Colette.

Lecture. Jusqu’ici, Colette avait l ’habitude de er chaque matin à l’hôtel ou logent les deux garçons, et elle profitait de leur voiture pour aller a la plage avec eux. Jacques supposait qu’elle aimait bien leur compagnie, mais Pau a îen C0™P^1® ^ voiture seulement qui l’intéressait. Maintenant qu’un autre ^ n e t « U mvrtje à monter dans sa belle voiture de luxe, Colette se soucie ^ u de sesanciens anus, et le pauvre Jacques semble bien déçu par l’mgratitude de la jeune Mie.

103


Le mode subjonctif (I)D ans ta leçon vou s a vez e n te n d u :

_ Il faut que j ’aille chercher m ou m aillot de bain. _

Il faut que nous soyou s à la p la g e de b o n n e h e u r e .

__ Il faut que j’attende Colette. , aiUe »

est le su b jon ctif p résen t d u v e r b e « a lle r »,

« soyons » ..............

...........................(( attendre ».

« attende » ........................................ N. B. 1 . Après l’expression verbale : « il faut que », qui exprime une nécessité, une obligation, un devoir, le verbe se met au mode subjonctif. 2. Remarquez que dans les exemples ci-dessus, l ’idée exprimée par les verbes est future : J ’irai chercher m on m aillot. Nous serons à la plage de bonn e heure. J ’attendrai Colette. ... mais que le subjonctif n ’a p as de form e p ou r le fu tu r. Si on veut placer tout le systèm e dans le fu tu r, on d it : Il faudra que j ’attende Colette. Il faudra que nous soyons à la p lage de b o n n e h eure. Il faudra que j ’aille chercher m on m a illo t. 3. Pour le é nous disons :

II a fallu que j ’aille chercher m on m a illo t. Il fallait que nous soyons à la plage de b o n n e heure. Il fallait que j ’attende C olette. 4. A l’éventuel, on dit : Il faudrait que j ’attende C olette. etc. jonctif a aussi une form e accom plie (p a ssé com p osé du subjonctif). E xem ple :

- ASr'a”;!' li n o n ^ II

f

préparés avant!*

«dcmil0 “ setcz prêts 4 8he"es et demie? Uviiinç #1

j

&

V° US a^ eZ d éjeu n é à c e tte h eu re-là , e t que vous vous soyez


Conjugaison

du subjonctif.

— Il faut que j ’attende Colette. Jacques dit qu’il faut qu’il attende Colette : — Bien, je comprends, il faut que tu attendes Colette. — Pierre et Jacques von t l ’attendre tous les deux? — Oui, il faut qu’ils l ’atten dent tous les deux. Ces quatre formes (attende — même prononciation.

attende — attendent — attendes) ont la

— Vous ne venez pas, Jacques? — Non, j ’attends Colette. — Ah c’est vrai, il faut que vous attendiez Colette. Pierre l’attend aussi? — Oui, il faut que nous l ’attendions tous les deux. N. B. Le Sa En de

subjonctif n ’a que trois formes oralement différentes. conjugaison est toujours régulière. général, la forme du subjonctif est celle de la troisième personne du pluriel du présent l'indicatif.

E xem ples : Ils sortent... il faut que je sorte. Ils partent... il faut que tu partes. Ils finissent... Il faut qu’elle finisse, etc.

Notez cependant : être : que je sois — qu’il soit — qu’ils soient — que tu sois nous soyons avoir : que j ’aie — qu’il ait — qu’ils aient — que tu aies nous ayons aller : que j ’aille — qu’il aille — qu’ils aillent — que tu ailles que nous allions

105


que vous soyez que vous aye „11;«,» que vou

q

Exercice 1. tes suivantes composez des dialogu es a u cours desquels un p

, ^

« « *»* o - Exemple :

z stî°

r "

:rt. *,**«.

1. J’ai encore été en retard ce matin. 2. Paul a sommeil. 3. Il va pleuvoir? a __ a auel étage habite M. Caron? _ Je ne sais pas, Mademoiselle, je n ’habite pas 1 immeuble.

5. Le directeur veut vous parler. — Nous allons dans son bureau.'' 6. Mes enfants g r a n d isse n t; mon appartement est devenu trop petit.

7. Vous trouvez que je fume trop? 8. Le soleil lui fait mal aux yeux.

Exercice 2. La phrase donnée exprime une obligation d'une manière générale (Il faut partir — Il ne faut pas avoir peur... etc.). Composez des dialogues au cours desquels un personnage emploie cette phrase, mais d’une manière personnelle (Il faut que je parte — Il ne faut pas que vous ayez peur etc.). Exemple : « Il faut aller voir un médecin. » Dialogue : — Comment allez-vous? Vous avez l ’air fatigué. pag’eg6

toujours fatigué, en ce moment. Je ne me sens pas bien; je ne sa*â

- H faut que vous alliez voir un médecin.

106


p h ra ses

l

pr°P°sêes ;

II faut prendre u n rendez-vous chez un dentiste,

Ù*

3 4 5 6

îl faudra partir de bonne heure.

11 faut forcer cet enfant à manger. II ne faut pas se pencher à la portière. II faut rem ettre ce devoir demain. II faut absolum ent retrouver ce livre.

Em ploi de « avant que ».

1. Au cours de la leçon vous avez entendu : « Il faut que nous soyons à la plage avant qu’ü y ait trop de monde. » Notez qu’après l ’expression « avant que » on emploie le subjonctif.

2. Avant de partir, je dois écrire un mot à Colette. N. B. Quand les deux verbes de la phrase ont le même sujet, on remplace la construction avec le subjonctif (avant que je parte), par une construction avec l’infinitif (avant de partir).

Exercice 3. Construisez cinq phrases en utilisant la conjonction : avant que utilisant la préposition : avant de.

107


et cinq phrases en

LEÇON 9. — A LA PLAGE B. — Josette apprend à nager

1re partie

Personnages : Josette, Sa mère

Josette : Maman * tU m aPPrennes à nager. La mère : Eh bien Josette : Maman i’ai ° 6’ 5Vance u n P eu dans l’eau. Là, je te tiens. La mère : Mais oui TV61** veux que tu me tiennes bien fort. faut crue tu f ^ j Uïl ^ eu* Josette, tu vas trop vite. Il 1 tU &sses des mouvements plus leuts.


Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Où im aginez-vous la mère et sa fille au début de la scêne, 2. Que veut la petite fille? Que demaude-t-elle à sa mère? ' 3. Que lui répond alors sa mère? 4. Josette a peur. Que demande-t-elle à sa mère? 5. Josette fait-elle des mouvements convenables pour nager? 6. Quels mouvements faut-il qu’elle fasse? B. Répondez par écrit aux questions : 2-4-5.

Lecture. J osette, qu i en a v a it assez de jouer sur le_sa^ e’ a f s o n apprendre à nager. U n e m ain sous le m enton de là sans peur sur maillot, la m ère essaie vain em en t d obtenir de J “ j n a£e m ais surtout elle l’eau. La p e tite J o se tte esquisse quelques m o u v e ' e l l e , l a uage est un s’agite com m e u n p e tit chien, et sa grimace montre b.eu que, pour sport beaucoup m oins am usant qu elle ne e croyai . p

109


o

u

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uEÇO N »• -

_

A L A PLA° E

Josette appt“

« 1

à ”**"

j e partie

de *oi* Josette : J ’ai peur, m am an, 3 ai peur. ^ ^ d e va se La mère : Ah! non, ne pleure pas, to u t e tu Allez, mets u n peu la tê te sous 1 eau. Josette : Oh! non, non. A g0tls l’ea#ü ’ La mère : Josette, je veux que t u m ettes la e crier' n’auras plus peur. E t je v eu x que t u nlS ^ g0tte Josette : J ’ai froid. Je veux sortir de l ’eau. eg uue pe 1 La mere : Tu veux que 3 jee te dise quelque chose * et tu ne sauras jamais nager. 110 nom 1rrts1g.com

,eneraiea oy ^ s c a n n e r

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Josette se m et à pleurer. Pourquoi la mère se sent-elle ridicule? 2. La m ère d it à sa fille : « M ets la tê te sous Peau. » « F inis de crier. » E xprim ez de différentes manières ces deux ordres : a) au discours indirect b) en em p loyant : Je v e u x que... Il faut que... Tu dois... 3. Josette veu t-elle continuer à apprendre à nager? Pourquoi? 4. Que pensez-vous de la dernière réplique de la mère? B. Répondez p a r écrit à la question 2.

Lecture. Sous les regards moqueurs la mère s’énerve de plus en p seul moyen, lui dit-elle, de vai qui, tremblante de peur et jouer sur le sable.

111


Subjonctif et infinitif. On dit : A ,, « La mère veu t que sa fille m e tte la t e t e so u s 1 ea u . » sujet de « vouloir » . . . la m ere. sujet de « m ettre » . . . la lille. « Josette ne v eu t pas m ettre la tê te so u s l ’eau . » sujet de vouloir » . . . la fille, sujet de « m ettre » . . . la fille. Dans le cas d’un su jet u n iq u e p ou r les d e u x v erb es, la construction avec le subjonctif n’est pas possible ; on em p lo ie u n e c o n str u c tio n avec l ’infinitif. Comparez les deux phrases : « Je vous verrai a v a n t de partir. » « Je vous verrai a v a n t que v o u s p a r tiez . » (voir p. 93, exercice n° 3). Les verbes « dem ander » « ord on n er » « so u h a iter » perm etten t les construc tions suivantes : — Le Le Le Le

directeur dem ande que v o u s v e n ie z le voir. directeur vous d em an d e de v e n ir le voir. tribunal ordonne que l ’a ccu sé s o it lib éré. tribunal ordonne de lib érer l ’a ccu sé.

tvt°US souâôns

que vous guérissiez vite.

Nous vous souhaitons de guérir v ite .

Conjugaison du subjonctif (su ite). F• que^ je fasse, il fa sse, ils fa sse n t, tu fa sses, vou s fassiez, nous tassions.

Ûe, ) e sache, il sache, ils sachent, tu saches, vous

s a

c h

i e z ,

nous

vo ] '

saclllonsnous^ v ^ r ^ 0’ ^ v e u ille , ils veuillent, tu veuilles, vous vouliez, Pouvoir . Us. vouhons.

ôus^puissions Ü puisse’ ils puissent, tu puisses, vous Puiss,e ’


Le m o d e s u b j o n c t i f (II).

Au cours de la leçon, — Je v eu x que tu — Je veu x que tu — Je v eu x que tu — Je v eu x que tu — Tu v e u x que je

vous avez entendu : m ’apprennes à nager. m e tiennes bien fort • m ettes la tête sous l ’eau finisses de crier. te dise quelque chose?

N- B-

z ïj::° ï° b -

ordonner ,u e -

exiger W

1 °M

£

7

E x e m p le s :

Josette desire que sa nicrc lui apprenne à nager. Le directeur demande que vous veniez le voir. Le tribunal ordonne que l ’accusé soit libéré. Le règlement de l ’école exige que vous soyez présents à tous les coure. Je souhaite qu il guérisse vite.

Exercice 4. Répondez a u x questions suivantes en utilisant le subjonctif:

1. — Voulez-vous sortir avec moi? 2. 3. 4. 5.

6.

— — — — — — — — — —

Pardon, qu’est-ce qu’il veut? Ce travail doit être exécuté tout de suite. Pardon, que veut le patron? Jacques, vous direz à la secrétaire d’expédier cette lettre par exprès. Pardon, Jacques, que veut le directeur? Messieurs, je vous demande à tous d’assister à cette réunion. Je n ’ai pas bien entendu; qu’est-ce que le directeur demande. Madame, votre fils doit s’appliquer davantage à son travail. Pardon, Madame, que veut ce professeur. ^ Mesdames, approchez-vous du tableau, dit le guide du muse — Pardon, Mesdames, que demande le guide.

7. — Non, Mademoiselle, n ’intervenez pas la J j 1?U8S — Pardon, Mademoiselle, qu’est-ce q u il a demand

8. — A vant de partir, vous devez obtenir un visa. — Pardon, qu’est-ce qu’il vous a d it.

113


LEÇON 10.

vacances

a

l a mer

jre partie

Personnage : Le présentateur

Le Présentateur 'Witateur : Voil *

que le ciei

•

i

^ÎnaSe de v a c a n c e s. L a m er est aussi b

des rochers. D*»«011*’ 6S ^ a te a u x de p ê c h e so n t im m °kêS P . ^ °u t est calme R1 011sea u x h la n cs p a s s e n t e t se p osen t sur e me SUr la M ais sur la p la g e, c ’e st autre chose-'-

__ i_______ ___________________________


Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Quel est le tableau qui est décrit ici? 2. Que voyez-vous près des rochers? 3. Ces bateaux avancent sur l’eau? 4. De quelle couleur sont la mer et le ciel? 5. Quelle impression donne ce tableau? 6. La plage est-elle calme? 7. Imaginez des enfants sur cette plage. A quoi jouent-ils? 8. Imaginez des jeunes gens. Que font-ils pour se distraire? 9. Imaginez des personnes âgées. Que font-elles? 10. Est-ce qu’on peut se promener facilement sur cette plage? B. Répondez p a r écrit aux questions : 2- 3-7-8.

Lecture. Un grand nombre de baigneurs sont étendus sur le sable en plein soleil; d’autres préfèrent l ’ombre de grands parasols multicolores, ou, protégés par des tentes, se sont assis sur des sièges de toiles ou couchés sur des chaises longues. Il n’est pas facile de trouver une place pour jouer au ballon sans gêner ses voisins. Mais chacun est de bonne humeur, et même si le ballon tombe soudain sur un groupe de baigneurs surpris, il est renvoyé avec un sourire.

115


2e partie

Personnages : La femme, Son mari, Un monsieur

L a fem m e : Attention : tu vas marcher sur le bras d’une dame. Le mari : Pardon, madame. L a fem m e : Assieds-toi donc... Le m ari: Où veux-tu que je m’assoie?... Monsieur, v o u le z - v o u s me

faire une petite place, s’il vous plaît? Un monsieur : Avec plaisir, mais où? Ici, il y a des bras, des jambes, des dos ; là, des chapeaux de paille. Le mari : Je sens que j ’écrase quelque chose... Un monsieur : Oui : ce sont mes lunettes... Le mari : Excusez-moi, monsieur. Un monsieur : Je m’en vais : prenez ma place. Le mari : Merci. 116


Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes: 1. Qui sont ces deux personnes? 2. Y a-t-il longtemps que ces gens sont sur la plage? 3. Que sont-ils venus faire à la mer? 4. « Fais attention, dit la femme à son mari. » Pourquoi lui dit-elle de faire attention? A quoi lui dit-elle de faire attention? 5. Il répond : « Où veux-tu que je m’assoie? » Est-ce vraiment une question? Que veut-il dire ?

6. Que demande-t-il à un monsieur? 7. Ce monsieur lui fait-il une place? Pourquoi?

8. Pensez-vous que ce monsieur n ’est pas aimable? 9. Est-ce que ce monsieur se fâche quand l’autre marche sur ses lunettes? 10. Imaginez pourquoi ce monsieur décide de s’en aller. B. Répondez p a r écrit aux questions : 4-6-7-10.

Lecture. Il est presque impossible de trouver une place au milieu de tous ces corps etendus. Ce couple qui arrive sur la plage ne semble pas s’en inquiéter, la femme surtout qui paraît décidée à franchir tous les obstacles et ne se soucie guere des bras, des dos, des jambes qui s’opposent à sa marche. Le mari, maladroit, provoque les protestations d’un baigneur dont il est en train d ’ecraser les lunettes. C est pourtant près de ce monsieur qu’ils décident de s ’installer; celui-ci préféré leur ceder la place et s en aller plutôt que de rester auprès de voisins aussi encombrants.


leçon

10. — VACANCES A LA MER

3e partie

Personnages : La femme, Son mari

^ i S S ^ f e m m D T P“ fermer f f î ? £ r6

de soleil. “ »ustiques sur to u t le corps. Je

P a l ? ' S me baigner

fenirne c div '

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b o u t des pieds dans 1 e a u . peine de venir à la m er ! ■14 0

Questionnaire A. Répondez oralement au x questions suivantes :

1. A peine assise, la femme se plaint. De quoi? 2. Le mari se préoccupe-t-il du coup de soleil de sa femme? 3. De quoi se plaint-il, lui? 4. Elle se lève. Où va-t-elle? 5. Pourquoi lui recomm ande-t-elle de faire attention? 6. Pourquoi proteste-t-elle? 7. C’est une bonne nageuse?

8. Est-ce qu’il risque de se noyer, lui? 9. Elle dit : Ce n ’est pas la peine de venir à la mer... complétez cette phrase. 10. Im aginez les baigneurs qui sont autour d’eux; que font-ils? B. Répondez p a r écrit aux questions : 3-4-5-7-9.

Lecture. A peine assis, ils com m encent à se plaindre : elle, d ’un coup de soleil qui lui brûle le dos, lui, des m oustiques qui l ’ont piqué toute la nuit et empêché de dormir. Mais cette fem m e est agitée et ne peut rester en place bien longtem ps; elle se lève et se dirige vers la mer au grand effroi de son mari qui lui recommande la pru dence car elle ne sait pas nager. Sans doute par amour propre et par crainte de paraître ridicule auprès de leurs voisins qui com m encent a sourire, elle lui rappelle qu il est encore moins bon nageur qu’elle.


F a it e s

a t t e n t io n ! -

F a it e s

a t t e n t io n

à ...

Au cours de la leçon, vous avez entendu : « Fais attention! Tu ne sais pas nager. » Pourquoi lui dit-il de faire attention?

— Parce qu’elle ne sait pas nager. A quoi lui dit-il de faire attention? — A ne pas se noyer. Reprenons cette conversation sous forme de récit : « Comme cette femme ne savait pas nager, son mari lui a dit de faire attention à ne pas se noyer. »

Lises : Le petit Michel s’approche du fourneau allum é. Il v a se brûler. Sa mère lui signale le danger : « Fais attention! Le fourneau est allum é. » Elle le met en garde contre un accident possible : « Fais attention! Tu vas te brûler. » Reprenons la scene sous forme de récit : « Comme le petit Michel s’approchait du fourneau allum é, sa mère lui a dit de faire attention a ne pas se brûler. »

u e n e ra ie u uy u a m o u a n rie i nurri ifiisiy.u u m

Exercice 1. Pour chacun des sujets suivants, composez d'abord dpur u mettre j e en garde contre un acciäent possible. récit :

1 caêr.j0Ue M I°n '* F* ^ >an,pe fragile. „ peut J 2. Au jardin public, Jacqueline e tout près d ’u n W A» Elle va se faire mouiller.

n jet d eau qui arrose des fleurs.

3. Madeleine porte avec distraction un vase précieux et fragile. EUe peu, le briser 4. En entrant dans une pièce, M. Lefort a W i, se prépare à s’asseoir sur eette ehaise. Il va abîmer kehapeau"de' t o n l l ï ™ “ *

Exercice 2.

Pour chacun des sujets suivants, composez une phrase qui évoque la situation au cours de laquelle la phrase a ete prononcée : Exemple : « Attention, les garçons, vous allez tomber dans le bassin. » Exemple de réponse : Comme les deux garçons se penchaient sur l’eau pour rattraper leur bateau qui s’éloignait du bord, le gardien leur a dit de faire attention à ne pas tomber dans le bassin. Sujets proposés : 1. « Faites attention! Vous allez vous faire renverser par une auto. » 2. « Fais attention, ne gonfle pas trop ton ballon; il va éclater. » 3. « Fais attention, tu vas te taper sur les doigts. » 4. « Faites attention, vous allez provoquer un incendie. » 5. « Fais attention, tu vas tacher ta robe. » 6. « Faites attention, vous allez répandre du vin sur la nappe. »

121


leço n

10. -

V A C A N C E S A L A MER

4e p a rtie

Personnages : Le mari, Sa femme

Le mari : Le sable est brûlant. Si je pouvais me m ettre à l’ombre! L a fem m e : A 1 ombre sur une plage? V oyons, nous sommes au bord de la mer pour nous mettre au soleil! Le mari : Bien sûr! Mais j ’ai le dos brûlé, et j ’ai m al aux yeux. La fem m e : Un peu de courage, nous n ’avons plus que dix jours de vacances. Le mari • Encore dix jours !

122


Questionnaire

A. Répondez oralement a u x questions suivantes :

1. De quoi se plaint-il m aintenant? 2. Il n’aime pas le soleil. Que voudrait-il? 3. Et elle, est-ce qu’elle aime vraim ent le soleil? 4. Pourquoi a-t-il mal aux yeux? 5. Qu’y a-t-il de comique dans les deux dernières répliques?

6. Pensez-vous que ces gens ont l ’habitude de venir er leurs vacances à la mer? 7. Pensez-vous qu’ils reviendront er leurs vacances à la mer? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-6-7.

Lecture. Malgré le ridicule chapeau de paille dont il s’est coiffé, le mari ne peut plus er les rayons du soleil qui lui brûlent le dos et lui font mal aux yeux. Il prend sa serviette et va essayer de trouver une place à l ’ombre, quand sa femme, qui s’est retournée et qui le voit s’en aller, l’accuse de m anquer de courage; elle lui reproche aussi de la laisser seule sur la plage et d’abandonner la bonne place qu’ils ont eu tant de peine à trouver. £ ’est probablement la première fois que ces gens viennent er les vacances à la mer, mais on peut assurer que c’est aussi la dernière.

123


Le réel et l ’éventuel. Im aginons qu’il y a des arbres près de la plage. U n m onsieur n ’aim e pas le soleil. Il dit : « Il y a des arbres, là, je vais me m ettre à l ’ombre. » C’est une réalité. Mais, im aginons qu’il n ’y a pas d’arbres, pas d ’om bre, sur la plage. Cet homme p eut seulem ent exprim er une éven tu alité. Il dit : « Il y aurait des arbres, j ’irais me m ettre à l’ombre. » Ici, le conditionnel présent (il y aurait — j ’irais) est le m ode de l ’éventuel. Pour exprimer un souhait, un désir, à l ’éven tu el, cet hom m e dit : S ouhait : « Je me m ettrais bien à l ’ombre. » D ésir : « Je voudrais bien me m ettre à l ’ombre. » ... ou, comm e dans la leçon : Souhait : a Si je pouvais me m ettre à l ’om bre! » (Ces trois phrases ne sont pas équivalentes; la troisièm e a une charge affective beaucoup plus grande que les deux autres.) N otez bien que la troisièm e phrase, après le « si », n ’em ploie pas le conditionnel mais l ’im parfait de l ’indicatif. A utres exemples : Yous désirez qu’un ami vienne vous voir : « Je voudrais bien qu’il vienne. » Yous le souhaitez fortem ent : « S’il pouvait venir! » Vous désirez qu’une am ie ne parte pas : « Je voudrais bien qu’elle ne parte pas. » Yous le souhaitez fortem ent : « Si elle pouvait ne pas partir! »


3.

Exercice

A partir des données suivantes, exprimez des désirs et des souhait, A E x e m p le

:

S so u fta U s d e d iffé re n te s m a n iè re s :

M. Duroc a envie de boire un verre de bière. Que dit-il? — Je voudrais bien boire un verre de bière. — Je boirais bien un verre de bière. — Si je pouvais boire un verre de bière! Sujets proposés :

1. Mlle Julie souhaite se reposer cinq minutes. 2. 3. 4. 5.

Justin a envie de fumer une cigarette. Thérèse désire aller à un concert. Elle veut aussi visiter un musée. Pierre désire partir en vacances avec François.

Exercice 4. A partir des données suivantes, faites exprimer un désir et un souhait aux personnes nommées : Exemple : Mme Lebas trouve qu’elle grossit trop. — Je voudrais bien ne pas grossir. — Si je pouvais ne pas grossir! Sujets proposés : 1. 2. 3. 4.

M. et Mme Riffaut cherchent un appartement à louer. M. Dijoux a entendu son fils mentir. Que lui dit-il? M. Blanchet souhaite qu’un ami lui prête une voiture. Que lui dit-il? Un professeur souhaite que ses étudiants s’expriment en français. Que leur dit-il? 5. Mme Dumont demande à son fils Louis de se taire. Que lui dit-elle? 6. Giroux demande à son fils Henri de cesser de courir. Que lui dit-elle?

7. Des paysans craignent qu’il gèle pendant la nuit. 8. Mme Leduc demande à ses enfants de ne pas s’éloigner. Que leur dit-elle?

125


Exercice 5. Lisez : Au cours de la leçon, vou s avez e n ten d u : — Assieds-toi donc. — Où v eu x-tu que je m ’assoie? Pourquoi le mari répond-il cela? E v id e m m en t parce qu’il n ’y a pas de place II pose donc pas une sim ple q u estio n ; il v e u t dire que sa fem m e doit bien voir q i’ü jJJ est impossible de s’asseoir. ^ _ « Où veu x-tu que je m ’assoie p u isq u ’il n ’y a p a s de place? » Pour chacune des situations su iva n tes, proposez u n e p h ra se sem blable à la phrase ci-dessus • 1. Lucien et sa fem m e arrivent sur u n terrain de cam ping; toutes les places sont occupées. — D resse la ten te, dit la fem m e. Que répond Lucien?

2. M. et Mme Lepic et leurs fils arriven t dan s u n village où il n ’y a ni docteur ni pharmacien. L’enfant to m b e e t se b lesse. — Fais-le soigner, d it M. L ep ic à sa fem m e. Que répond celle-ci? 3. Jacques et Gilbert se prom ènent le soir dans u n e p etite ville; tous les cafés sont fermés. Il com m ence à pleuvoir. — Abritons-nous dans u n café, d it Jacques. Que répond Gilbert? 4. Laurent v e u t er une frontière. U n officier de police : — V ou s n ’avez pas de v isa dans votre eport. Avant de er la frontière, obtenez d ’abord vo tre visa. Laurent : E st-ce qu’il y a u n C onsulat, ici? V officier : N on. Que répond Laurent? 5. La fam ille D urand a u n app artem en t très p e tit. U n am i leur conseille de deffi nager. (A Paris, les appartem ents à louer so n t très rares.) Que répond M. D urand?

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Exercice 6. Lise2 • Un jeu ne h om m e n’aim e pas se baigner; il est quand m êm e venu à la mer. Vous lui dites : « Ce n ’est pas la peine de ven ir a la m er si vous n’aim ez pas vous baigner. » Utilisez la fo rm e « Ce n ’est pas la peine de... » p o u r répondre aux questions suivantes : 1. D ans u n bureau de tourism e, une dam e v e u t s ’adresser à un em ployé car elle a b esoin d ’un ren seign em en t. V ous savez que cet em ployé ne sait rien. Que d ites-v o u s à c e tte dam e? 2. V otre am i se désole parce qu’il a m anqué un train. Q ue lui d ites-v o u s? 3. Pierre e t J ea n n e se d isp u ten t à propos d’une question de grammaire, mais vous savez q u ’ils o n t to rt to u s les deux. Que leur d ites-v o u s? 4. G aston v e u t exp éd ier une lettre par avion. V ous pensez qu’elle n’arrivera pas plus v ite que par courrier ordinaire. Que lu i d ites-vou s? 5. Mme L ed ou x ne v e u t pas que son fils sorte ce soir. Il insiste pour t i n t pour sortir. M ais q u ’e st-ce q u ’elle lu i d it? 6. On in v ite Ja n in e? P ourqu oi? E lle ne v ien t jam ais. C’e st v rai... 7. U n é tu d ia n t réclam e un e m eilleure n o te pour un devoir, m ais le professeur ne v e u t pas changer celle q u ’il a donnee. Que d it le professeur? 8. A l ’h ô te l, u n c lie n t tro u v e que sa n ote est trop élevée. Il v e u t la vérifier. Le caissier lu i assure q u ’elle est ju ste. Q ue d it-il au clien t?

127


LEÇON 11. — UN BEAU RÊVE

ire

partie

Personnages : La femme, Le mari

La femme : Marc, j ’ai fait un rêve amusant, cette nuit. Le mari : Raconte, Laurence ! La femme : Dans mon rêve, j ’ai trouvé vingt millions dans mon sac. Le mari : Oui, c’est un beau rêve ! Qu’est-ce que tu fais avec tout cet

argent? v La femme : D’abord, je fais construire une maison. Non, j ’en ac e e une vieille et je la fais arranger. Il y a un grand jardin. Je laisse planter des arbres, des fleurs ou des carottes. 128 Generated by Cam Scanner from intsig.com

Questionnaire

A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Situez ces deux personnages, dans le lieu et dans le temps, au début de cette scene.

2. Qu’est-ce que Laurence se prépare à raconter à son mari? 3. Qu’est-ce que Laurence a rêvé la nuit précédente? 4. Marc dit « tout cet argent » et pas seulement « cet argent ». Qu’est-ce que cela prouve? 5. Quelle est la première idée de Laurence? 6. Comment l’expliquez-vous? 7. Laurence se contentera-t-elle d’une seule maison? 8. Laurence est-elle généreuse ? B. Répondez par écrit aux questions : 2-5-7-8.

Lecture. La première pensée de Laurence, qui a rêvé qu’elle était devenue riche, est de faire construire une maison. C’est que, comme la plupart des jeunes mariés de familles modestes, Marc et sa femme sont probablement mal logés. Ils savent très bien que, à moins d’une fortune qui leur tomberait du ciel, ils ont peu de chances d’avoir jamais un logement convenable. Le problème du logement préoccupe tellement cette jeune femme, qu’une seule maison ne lui suffit pas : il lui en faut une deuxième, une villa au bord de la mer, entourée sans doute comme la première d’un grand jardin où son mari pourra se distraire à planter des arbres ou à semer des légumes et des fleurs.

129



2 e p a rtie


L e m ari : Bien. E nsuite ? L a fe m m e : E nsuite, je te fais faire dix costum es. L e m ari : Toi, tu te fais faire v in g t robes? L a fe m m e : Oui, bien sûr. E t puis, nous nous faisons construire une villa au bord de la mer, e t nous faisons venir tous nos anus. E n su ite... L e m ari : A tten d s, laisse-m oi parler un peu. U n e fois par semaine, tu feras venir une couturière et tu lu i feras r a c c o m m o d e r mes chaussettes. 130


La fem m e: Tu me fais rirpî , vingt millions, tu peux t’en achet* ^ ** C U5settcs' Avec Laisse-moi chercher un peu O u W " ^ ^ ^ cet argent? est-ce qu ou peut faire avec Le mari : Beaucoup de choses. Tu me laisseras acheter une moto La fem m e: Pour te faire tuer> AM Nnr.1 T’ • • 1 auto Mai«; tu m» i 1 • ’ me mieux 1 acheter une auto. Mais tu me la lmsseras conduire quelquefois?

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. 2. 3. 4.

Marc conseille à sa femme de faire venir une couturière. Pour quoi faire? Il parle sérieusement? Mais pourquoi plaisante-t-il à ce sujet? Marc ne dit pas : « J’achèterai une moto » mais : « Tu me laisseras acheter une moto. » Expliquez pourquoi. 5. Pourquoi Laurence repousse-t-elle l’idée d’acheter une moto à son mari? 6. A quelle condition lui achètera-t-elle une auto? B- Répondez par écrit aux questions : 1-5-6.

Lecture.

Marc, qui est toute la journée à son travail, souffre moins que sa femme de la petitesse leur logement. Ce dont ü rêve, lui, jeune et sportif, c’est d’avoir une moto. Maintenant ?T U elle est riche, Laurence va-t-elle enfin lui permettre de réaliser son reve?Pas du tout. Une moto, c’est trop dangereux, déclare-t-elle. C’est une auto qu elle lui offrira, mais a c°ndition qu’il promette de la lui laisser conduire quelquefois.

131



3e partie


Le mari : Bien sûr. Où est-ce que nous irons avec cette auto? Parle, toi. Fais-moi faire un beau voyage. , La femme : Oh! dans mon rêve, je t ’ai fait faire le tour du mon e. Je t ’ai fait voir l’Europe, l’Amérique, dix ou douze pays. Le mari : Est-ce que tu m’as fait visiter l’Asie? . ^ La femme : Oui, laisse-moi te raconter notre voyage. Il va te faire r Le mari : Pas maintenant, je dois aller au bureau. La femme : Tu as bien cinq minutes? Le mari : Non, non, tu vas me faire manquer l’autobus. 132


Q uestionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes 1» Laurcncc a-t-elle aussi reve de voyages? 2. Que veut-elle raconter à sou mari? 3. Marc ne veut pas écouter le récit de sa femme. Pourquoi? 4. Quelle est la profession de Marc? 5. Comment se rend-il à son bureau? 6. D après cette conversation, quel âge donnez-vous à ces deux personnages? B. Répondes par écrit aux questions : 2-3-5.

Lecture. Laurence aime beaucoup ce moment du petit déjeuner où elle peut bavarder à son aise avec son mari. Son rêve de la nuit l’a tellement impressionnée qu’elle voudrait encore raconter à Marc l’amusant voyage autour du monde qu elle lui a fait faire. Mais il ne perd pas de vue la banale réalité : il est deja 8 heures moins 5 et s il ne part pas surle-champ, il va manquer son autobus et arriver en retard a son travail.

133


« Faire », « se faire », verbe auxiliaire. Laurence désire une villa au bord de la mer. Qui la construira? — Ce sont des maçons qui la construiront. Alors, nous disons : Laurence fait construire une villa. Laurence fera construire une villa. Laurence va faire construire une villa. E t, quand la villa est construite : Laurence a fait construire une villa. D ans ces exem ples, « faire » est un verbe auxiliaire. — — — —

E lle a fait construire une villa? Oui, elle en a fait construire une. E lle l ’a fait construire à Paris? N on, elle l ’a fait construire au bord de la mer.

R em arquez la place du pronom personnel (en - 1’) complément. A u tr e exem ple : Laurence va demander à un tailleur de faire des costum es à son mari. Vous dites : « E lle v a faire faire des costum es à son mari. Elle v a lui faire faire des costumes. » E lle d it à son mari : « Je vais te faire faire des costum es. » L aurence v a dem ander à une couturière de lui faire des robes. V ous dites : « E lle v a se faire faire des robes. » E lle dit : « J e vais m e faire faire des robes. Je vais m ’en faire faire vingt. » Ic i, l ’auxiliaire est : « se faire » (verbe réfléchi).

__________

^


134

Exercice 1. Répondez a u x questions su iva n te s , en u tilisa n t le verbe « fai™ « r • au x ilia ire : la i r e » o u « se faire » comme E xem ple :

— Alors, leur maison est bâtie? — Oui, ils l’ont déjà fait bâtir. ou — Non, ils ne l’ont pas encore fait bâtir. 1. Vous êtes allé chez le coiffeur? 2. Pierre ira chez le tailleur?

3. Jacqueline a cassé un réveil. Elle est allée chez l’horloger? 4. Vous avez toujours mal à cette dent? Le dentiste ne vous l’a pas encore arrachee t r 5. Vous ne pourrez pas mettre cette grosse valise dans le compartiment. Il faut qu elle soit enregistrée. — Bien... 6. Le petit a trop chaud. Il devrait enlever son pull-over. — Oui... 7. Elle a un bon appareil, il fonctionne bien, et pourtant elle fait de mauvaises photos. Qu’en pensez-vous? 8. Vous aimeriez visiter Paris avec un ami français. Que lui demandez-vous?

Exercice 2. Placez chacune des phrases suivantes dans une conversation au cours de laquelle elle a été prononcée : 1. « Mais ne vous faites pas attendre pour dîner. » Proposition de réponse : Les enfants : Maman, nous pouvons aller nous promener au jardin du Luxem bourg? La mère : II est presque 7 heures ; il est bien tard. Les enfants : Nous ne resterons pas longtemps. Tu nous permets d y aller? La mère : Si vous voulez ; mais ne vous faites pas attendre pour dîner. 2. 3. 4. 5.

« Il s’est fait accrocher par un camion. » « Vous allez vous faire mouiller. » « Elle ne pouvait pas se faire comprendre. » « Mais quand nous nous sommes fait apporter 1 addition... »

6. « Alors, je me suis fait conduire à la gare en taxi. »

135


« Laisser », verbe auxiliaire. Au cours « Je Laurence Imaginez

de la leçon, vous avez entendu : te laisse planter des arbres. » permet à son mari de planter des arbres. qu’elle dise au jardinier :

« Plantez des arbres dans le jardin. » Elle lui demande de planter des arbres. Elle lui fait planter des arbres. Autre exem ple : — Je fais entrer le chat dans la cuisine? — Non, ne le laissez pas entrer. Dans ces exem ples « laisser » est verbe auxiliaire. On peut aussi avoir le verbe réfléchi « se laisser » comme auxiliaire. « Lucien se laisse pousser la barbe. »

Exercice 3. R épondez au x questions en utilisant le verbe « laisser », auxiliaire. 1. U n professeur a expliqué le début d’un devoir aux étudiants; ils pourront faci lem ent le finir seuls. Qu’est-ce qu’il leur dit? E xem p le de réponse : « Je vous laisse finir ce devoir seuls. »

136 ÏÜfcllfciU u y ~ G ~ d l I l O L d l II ItM I I UI I I II l l b i y . LU I 11

2. D an s un escalier, une v ieille dam e m nntP rière elle. L a vieille d am e s ’arrête pour que la i e u n /f i lf “ 1' U n e,jeune fiUe m onte derQue d it la v ieille d am e à la jeu n e fille? ' e devaDt eUe-

devanu”SSortieUt0bUS’ “

VOyageUr Ve"'

mais il y a une dam» juste

Q ue d it le v o y a g e u r à c e tte dam e? 4. A la p la g e, une d am e n e v e u t nas que son notit „ -i. , , D em an d ez à cette dame de permettre à l’enfant d’aüer d a n s X u LveeTous

il y a l^ d e p o u s s é . PaS ^

“ fCm",C PCrmette 4 le”

CaU'

*> ■»■«« an grenier :

Q u ’e st-c e que M. D u roc dit à sa fem m e?

6..D ans nn train, nn voyageur conseille à une dame de ne pas permettre à son fils de jouer avec la serrure. F i eiLre a son Que lui dit-il? ' £iTU SaiS ^ en Ûe n e v e u x P as que le chat entre dans la cuisine», dit MmeLenoir a sa tille. Q ue lu i rép on d celle-ci? 8. R oger d e m a n d e à M . D u p u is s ’il l ’autorise à cueillir des cerises dans son iardin Q ue lu i d it-il? 1

137


LEÇON 12 A . — U n e n fa n t p én ib le

Personnages : Jeannette, Colette, sa sœur, étudiante, Michel, un ami étudiant

r l T T - n ESt'° e S“ 6 je P6UX rester avec ™ us? Je ne dirai rien. LiOlette. Uui, assieds-toi et sois sage. Jeannette: Je voudrais bien une feuille de papier pour faire une lettre. , , V“US m e n donnez une, Michel? Michel: Oui. Voilà.

Cohtte- T-C°lette’ *" v,oudrais me prêter ton stylo? *“

<■* “

” ”

Jeannette . 01U II m e faudrait aussi de l ’encre. E st-ce que tu en as,

138


Jeannette : Il fait très chaud ici. Est-ce Colette : Si tu veux. Mais nous serions contL?0™ 18 °UVrirIa fenêtre?

Jeannette: Oh! Michel, vous pas. nr la ienetre, je n’y arrive Michel : Oui, tout de suite. Jeannette : Merci, Michel. Dis Colptto faire ma lettre. ’ J aimerais CIUC tu m’aides à Colette: Ecoute, Jeannette, i’en ai assez On * *n mianrl tu ix v a , Un ne Peut Pas travailler q d tu es la. Va dans ta chambre et ne reviens plus. *

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Où imaginez-vous Colette et Michel au début de cette scène? Que sont-ils en train de faire? 2. Jeannette demande à rester avec eux. Que promet-elle? 3. Jeannette s’assied à la table. Pour quoi faire? 4. A-t-elle ce qu’il faut pour écrire une lettre? 5. A qui demande-t-elle une feuille de papier et un stylo? 6. Pourquoi Colette désire-t-elle que sa sœur se taise? 7. Jeannette a trop chaud. Que veut-elle faire? 8. Imaginez pourquoi elle n’arrive pas à ouvrir la fenêtre. 9. Michel est-il aimable? 10. Colette finit par se fâcher. Que dit-elle a sa sœur? B. Répondez par écrit aux questions : 1-2-4-7-8.

Lecture.

•îw avec Michel, un de ses l’habitude de travai jeg mêmes examens. Colette, étudiante à la Sorbonne, gmes cours et prepa rant d’une dizaine camarades de l’université. Ils suiven ^ sœur J e a n n e t e, £ette fillette pem e Malheureusement, Colette a permis . ^ | même ta ■ preuve de patience, d’années, de rester avec eux et de s .nstaU« Colette sœur dans sa ne peut rester ealme ni silencieuse un s e u l ^ de renvoyer mais finalement, lasse d’être dérangé » chambre et de lui interdire de reve 139


la p olitesse Expression de

(à l'a id e du c o n d itio n n e l).

Au cours de la conversation, vou s avez en ten d u : « Tu voudrais me prêter ton s ty lo ? » « Est-ce que je pourrais ouvrir la fen être? » « Vous voudriez ouvrir la fenêtre? » Ces phrases exprim ent des dem andes polies. Les verbes fvonl™ sont au conditionnel. r'P°uvoir) On dit aussi : « Tu me prêterais ton sty lo ? » « Vous fermeriez la fenêtre ? Une demande polie prend parfois la form e d ’un souhait. « Je voudrais bien une feuille de papier. » « II me faudrait aussi de l ’encre. » « Nous voudrions travailler. » ( = L aisse-nous travailler). On emploie souvent aussi des form es com m e : « Tu serais gentille de te taire. » ( = T ais-toi.) « Nous serions contents que tu ne parles pas. » « J ’aimerais que tu m ’aides à faire m a lettre. » (Aide-m oi.) « Vous seriez bien aimable de m ’en voyer ce livre. » Remarque : Après « être content que — aim er que » on em p loie le subjonctif. « Je serais content que P aul vien ne avec n ou s. » Mais quand le sujet des deux verbes e st le m êm e, on d it : « Je serais content de venir avec vou s. » (être content de - f infinitif).

Exercice 1.

A l'occasion des situations suivantes, e xp rim ez des dem andes po lies. 1. A l’hôtel, un voyageur dem ande au concierge de le réveiller à 7 heures. 2. Il lui demande d’appeler un ta x i. 3. Une dame reçoit des am is ; elle leur d em an d e de ne pas fumer. Paris, vous cherchez l ’aven u e Que lui dites-vous?

4. A

de

l ’O péra. V o u s v o u s

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a d ressez à

un an

Emploi du verbe « devoir » au conditionnel.

Écoutez : sortir. .Te ne sais pas où les —

V ous devriez les mener au Jardin des Plantes.

P our donner un co n seil, on em p loie so u v en t le verbe « devoir

» au conditionnel.

Exercice 2. Répondez aux questions en donnant un conseil ou en exprimant votre opinion. 1. Il faut que j ’aille chez Paul, mais j-aj peur de le dér j ,a! envie d , ; telephoner d abord. Qu en pensez-vous? 2. J ai échoué à mon examen, je suis découragé et je n’ai pas envie de me repré senter en octobre. Qu en penses-tu? 3. Henri veut aller en Italie cet ete, mais il ne sait pas comment organiser son voyage. Tu penses qu’il peut s’adresser à une Agence de voyages? 4. — Vous êtes à Paris depuis un mois; avez-vous visité la Sainte-Chapelle? — Non, pas encore. C’est un monument intéressant? 5. Louis ne va pas bien en ce moment; il se fatigue vite et il ne veut pas se reposer. Il a tort, n’est-ce pas? 6. — Non, François, votre réponse n’est pas bonne; vous ne réfléchissez pas assez et vous répondez trop vite. — Que dites-vous à cet étudiant? 7. Les cinémas sont chers, les films sont mauvais, mais le public ne proteste jamais. — Vous ne trouvez pas qu’il a tort? 8. — Cette dame veut que ses enfants soient calmes et elle est toujours en train de crier. Elle s’énerve trop. Vous ne trouvez pas?

141


LEÇON 12 g, _ Projets de vacances 1re partie

Personnages : Pierre, Jacques ( d e u x jeunes gens)

Pierre : J ’ai reçu une lettre de m on oncle, tu sais, celui qui est en ta e. Jacques : Qu’est-ce qu’il t ’écrit? ajg Pierre : Il m ’invite à aller le voir. Si j ’avais assez d argent, j l’année prochaine. Jacques : E t s’il te pay ait to n voyage, tu partirais a v a n t. Pierre: Bien sûr! ^ Jacques : Moi, mon père m ’a prom is qu’il m ’ e m m è n e r a i t e Pierre : Quand? . . ^ tous *veC Jacques : Il a dit qu’il ira it cet été à Boston et que nous ir lui. Pierre : Oh ! Boston, ce n ’est pas intéressant. Jacques : T u trouves? 142 Generated by Cam Scanner trom intsig.com

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes :

1. Qu’est-ce que Pierre annonce à Jacques? 2. De quel oncle s’agit-il? 3. Qu’est-ce que son oncle lui a écrit? 4. A quelle condition Pierre ira-t-il en Italie? 5. Dans quel pays Jacques ira-t-il l ’été prochain? 6. Ira-t-il seul? 7. Dans quelle ville iront-ils? B. Répondez p a r écrit au x questions : 1-4-5-6.

Lecture. Ces deux jeunes gens font des projets de vacances. Jacques a l’air ravi : son père qui doit aller à B oston l’été prochain, lui a promis de l’emmener avec lui, et il se réjouit à l’avance de connaître les États-U nis. Pierre semble soucieux : c’est que, si son oncle lui a adressé une invitation , il a oublié de dre à sa lettre le montant du billet; et Pierre se demande s’il aura assez d’argent pour payer son voyage.

143


LEÇON 12

B. — Projets de vacances 2e partie

Personnages : Jacques,

Jacques : Qu’est-ce

P,erre

Pierre: Moi, f a i m e r a ^ S? tU allais en Amérique? a-bas. IJ fait du cinéma i,W0(>. *' J ’«u un ami qui est parti

Jacques ? Oh* T "

^ d e tte s “ “ Pr°miS qU,il “ e ferait V°ir

voiture américaine f &*8*** ^ ° ^ y w°od, j ’aurais une grosse actrices. Le soir noue .6f ais a C0Iinaissance des plus belles n°us prendrions des n i/* 10115 ^ ai^s ês grands restaurants. Et retour, ou <jUe j e t ’enverra^ Û6 ^ Pourra*s te niontrer à mon 144 Generated by CamScanner from intsig.com

C’est ça, vous seriez les rois de Hollv™™,! i tou t le m onde, vous auriez de V° U* connaîtriez berait au du ciei. ciel. g parce fIue tom Derau x 1 “ geut vous

Tacaues :

JaCq

tï

*__ * n ’.

Pierre: Pas du tout. C’est comme ça, la vie à Hollywood

JacquesÂllons, mon pauvre ami, tu rêves. Viens plutôt te promener


1. Quelle ville des Etats-Unis Pierre voudrait-il visiter? 2. Que fait son ami à Hollywood? 3. Qu’est-ce qu’il lui a promis? 4. Que pensez-vous des rêves de ce jeune homme? 5. Jacques est plus raisonnable. Que propose-t-il simplement à son ami? B. Répondez p ar écrit aux questions : 1-3-5.

Lecture.

Pierre a donc reçu une invitation à aller en Italie; il en a aussi une autre d un ami (ïui lui propose de le redre à Hollywood où il fait du cinéma. Pierre se voit déjà v°Iant d’une grosse voiture américaine en compagnie d’une actrice qu il conduit ans un grand restaurant. Un maître d’hôtel se précipite pour les accueillir. Ne pensezrV0US pas <ïUe ce garçon à d’étranges idées sur la vie aux États-Unis et que Pierre a raiS0" de se moquer de lui?

145


^ p re ssio n

de l ’h y p o th e se .

c la c o n v e r s a t i o n , v o u s a v ez c o m p r i s le problèm e d e P; au° a dc l argent e t il ira en I ta h e , o u .1 „ en aura p a5, et

0(l ,

pourra pas partir. ° u n ^ “ (il'au ra ou il n ’aura p a s d ’argen t) e t une conséqu en t , fera ou ne fera p as le v o y a g e ). de Ce ^

1

Le « fa it » p e u t être considéré com m e u n e condition. s f P ierre a d e l ’a r g e n t, il ira e n Ita lie . » « Si P ierre n ’a p a s d ’a r g e n t, il n e p o u rra p a s partir. » R e m a r q u e z q u ’a p r è s ce « si » (de con d ition ) on emploie le présent

futur. Ce sy stèm e p e u t être p résen té com m e u n e éven tu alité. A lors, on d it : « P ierre a u r a it de l ’argen t, il irait en Italie. »

Ct n011 le

OU« Si Pierre a v a it de l ’a rg en t, il ira it en Ita lie. » « Si P ierre n ’a v a it p a s d ’a r g e n t, il n e p o u r r a it p as partir. » R e m a r q u e z q u ’a p r è s c e « s i » o n e m p l o i e l ’i m p a r f a i t e t n o n le conditionnel

R em arque : Im a g in e z que P ierre d ise : « Si j ’avais de l ’a rg en t, je p artirais to u t de suite. » N o u s com prenons q u e P ierre n ’a p a s d ’argen t actuellem ent.

E xercice 3.

Répondez aux questions en utilisant la conjonction « si » ( de condition) et en exprimant un éventualité : Exemple : — Il pleut; alors je ne sors pas. — C’est cela qui vous empêche de sortir? — Oui, s’il ne pleuvait pas je sortirais. 1. Je n’achète pas ce dictionnaire parce qu’il coûte cher. C’est pour cela que vous ne l’achetez pas? 2. Reculez un peu votre voiture; alors nous pourrons er. C’est à cause de cela que vous ne pouvez pas er. 3. Vous avez mal à la gorge parce que vous fumez tr0P* — Vous pensez que c’est cela qui me donne mal a la g


o

4, Je ne finirai pas ce travail rapidement parce que vous me dérangez toujours.

C’est moi qui vous empêche de finir ce travail. e. Nous n ’emmenons pas François à la mer : il ne sait pas nager. C’est seulement pour cela que vous ne l’emmenez pas à la mer? fi Marie, il n’est pas facile de te coiffer : tu remues trop. C’est parce que je remue que tu ne peux pas me coiffer? 7 Videz l’armoire, elle sera plus facile à déplacer. Vous croyez?

8

vous, les enfants, nous ne pouvons pas entendre le concert à la radio. C’est parce que nous parlons, papa, que tu ne peux pas entendre le concert?

T a is e z -

Exercice 4. Placez chacune des ph rases su ivan tes dans une situation qui lui convient : Exemple :

« Si nous m ettions la table au-dessous de la lampe, nous verrions plus clair. » Le soir, deux étudiants travaillent dans leur chambre, assis à une table dans un coin de la pièce. Comme celle-ci est éclairée par une seule lampe, au milieu du plafond, les deux étudiants ne voient pas très clair. Alors l’un d’eux dit : « Si nous mettions la table au-dessous de la lampe, nous verrions plus clair. »

1. « Mais tout de même, si je n’étais pas réveillé à 7 heures, vous frapperiez à ma porte. » • 2. « Non, mais je reconnaîtrais certainement cet homme si j’étais mis en sa pré sence. » 3. « Si nous semions des légumes, nous n’aurions pas besoin d’en acheter. » 4. « Ne lancez pas de pierres, mes enfants, c’est dangereux; si vous touchiez un baigneur, vous pourriez le blesser. » 5. « Si les autom obilistes respectaient le Code de la route, ils éviteraient bien des accidents. »


LEÇON 13. -

AU BUREAU

ire partie

Personnages : Le directeur, La secrétaire

L e directeur : Mademoiselle, où avez-vous mis la lettre que je viens d

recevoir? L a secrétaire : Je l’ai mise sur votre bureau, monsieur. L e directeur : Où donc? L a secrétaire : Là, dans le coin. L e directeur : Il y a une pile de livres, mais pas de lettre. L a secrétaire : Elle est peut-être sous le téléphone. L e directeur : Non. L a secrétaire : Derrière le cendrier. L e directeur : Non plus. 148


La secrétaire : J e vais regarder ri a t Le directeur: E co u tez, m a d e m o is e lle .tiroircette lettre to u t de suite. ’ JC Suis « s pressé. II me , La secretaire : J e vous assure • 1 bureau. ’ n sieur, q Ue _• p . J 131 mis^ sur votre

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Où se e cette scène?

2. Présentez et situez les deux personnages avant le début de la scène. 3. Qu’est-ce que le Directeur a demandé à sa secrétaire? 4. Que lui a-t-elle répondu? 5. La secrétaire précise où elle a mis la lettre. Que dit-elle? 6. La lettre est-elle sous le téléphone ou derrière le cendrier? 7. La lettre n ’est donc pas sur le bureau. Où va chercher la secrétaire? 8. Pourquoi le Directeur veut-il la lettre immédiatement? B. Répondez p a r écrit aux questions : 3-4-7-8.

Lectu re.

Voilà un homme qui paraît hiera éner£ 1 0 »

quelques minutes auparavant Ma.s el.1“^«mière fois q»’’1^ connaît bien son patron : ce n ’est p as

149


LEÇON 13. — A U BUREAU 2e

partie

Personnages : La secrétaire, Le directeur, Un visiteur

La secrétaire : Je vais regarder par terre. Le directeur : Cherchez dans la corbeille à papier. La secrétaire: Oui, monsieur; attendez. Il faut que je vide toute la corbeille. Le directeur : Je vais vous aider... Entrez. Un visiteur : Excusez-moi de vous déranger, je cherche M. le Direc teur. Le directeur : C’est moi. Vous voyez, nous cherchons un papier important. La secrétaire : C’est une lettre dans une enveloppe bleue. Un visiteur : Est-ce que je peux vous aider? t Le directeur : Si vous voulez, monsieur. Regardez un peu parto 150


Q uestionnaire X. Répondez oralement aux questions suivantes

•

1. La secrétaire propose de regarder par terre n„ 2. Le directeur invite la secrétaire à c h é r ir ' 1 suppose-t-il? Cllercher

la corbeille à papiers. Que

3. Y a-t-d seulement quelques papiers dans la corbeille? 4. Le directeur dit : « Entrez! » Pourquoi? 5. Le visiteur ouvre la porte et reste étonné. Décrive, la scène qu’il aperçoit 6. Le directeur sent bien qu’il est dan« m » ... . „ p v de se justifier? * S "ne SltUatlou rldlcule- p ar quoi essaie-t-il 7. Imaginez pourquoi, le visiteur est venu dans ce bureau. 8. Ce visiteur ne parle pas au directeur de la raison pour laquelle il veut le voir Que propose-t-il au contraire? 0 r* B. Répondez par écrit aux questions : 1-2-3-8.

Lecture. j*+ îptp la lettre dans la corbeille à papiers. Le directeur a peut-être, par dis tract , j corbeiUes; le directeur est si La secrétaire va s’en assurer, mais elle doit vider toutes pressé de retrouver cette lettre qu il 1 aide ans , ja pièce, mais s’arrête aussitôt, « Entrez », dit le directeur. U n visiteur pénétré da j>derrière son bureau devant confus. Est-ce vraiment l e directeur qu il aperç , situation embarrassante, le v i s i t e u r «n tas de papiers froissés. Pour mettre fin a cette situatio propose son aide.

151


LEÇ O N 13. — Au BUREAU

3e

partie

Personnages : Un visiteur-, Lo secrétaire, Le directeur

Un visiteur • Oii f Vm‘Iv

La secrétaire: Oh! ce a W p ^ a 'C e l T ^

r

^ S°USIe burea“' de mon cousin. Oïl, “ , CI est a moi- C’est une lettre e directeur ; Avez-vous rpo- - nous cherchons vient d’un ministère.

U secrétaire : Non, m a isT

T

là'haut?

hs

Poussière, là-h au t! i l T t ’8 -

J e Prends récbcUe' QueUe

Le dirmeur : J ? U isdeux mois. " tr°UVê k ,

regardé dans v i i i r ^ 31'* ? 6St

La C l Sevrés. a ir e :

r°"ge qUC n°US* *

ê ttre qu’il me faut. Avez-v«us

o T.^ a in?mon mouchoir et mon I0U?e n y* am que 152

o t:i it;i d i e u u y o d ï i (oudi u it;i i i u m u i i i i y .uui 11

Questionnaire A. Répondez oralement a u x questions suivantes :

1. Que trouve le visiteur, sous la table? 2. Pourquoi croit-il que c’est la lettre perdue? 3. La secretaire s’ecrie : « Oh! ce n ’est pas cela! » Pourquoi semble-t-elle effrayée? 4. Où la secrétaire va-t-elle chercher m aintenant? 5. Les rayons sont-ils très hauts?

6. Est-ce que ces rayons sont souvent nettoyés? 7. Que trouve la secrétaire sur le rayon?

8. M aintenant, le directeur accuse directem ent la secrétaire. Que suppose-t-il? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 2-4-6-7.

Lecture. Tandis que le visiteu r poursuit ses recherches sur le bureau, la secrétaire a pris une échelle et, soulevant un nuage de poussière, cherche la lettre parmi les dossiers entassés sur un rayon. Il y a peu de chances qu’elle y soit, mais la secrétaire retrouve un livre qu’ils cherchaient vain em en t dans le bureau depuis deux mois. Elle n’a donc pas entière ment perdu son tem p s, m ais la lettre n ’est toujours pas retrouvée.


LEÇON 13. — A U BUREAU

4e partie

Personnages : Le directeur, La secrétaire, Un visiteur

Le directeur: Si cette lettre n ’est pas retrouvée dans cinq m in u tes je vous mets à la porte. La secrétaire: Oh! Ne dites pas cela, monsieur. Je vais r e g a r d e r dans votre pardessus. Le directeur : E t pourquoi pas dans mon chapeau? Un visiteur : Excusez-moi, monsieur le Directeur, il me semble que j ’aperçois une lettre dans la poche de votre veston. Le directeur : Mais c’est vrai. La voilà. Vous ne pouviez pas me e ^ tout de suite, mademoiselle? A cause de vous, nous avons pe un quart d’heure. 154


Questionnaire A. Répondez oralement aux Questions suivantes .* 1. De quoi le directeur menace-t-il sa secrétaire? 2. prouve? La secrétaire va regarder dans le pardessus du directeur. Qu’est-ce que cela 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Que prouve la réponse moqueuse du Directeur? Finalement, qui retrouve la lettre? Où était cette lettre? Pourquoi le visiteur s’excuse-t-il? Le directeur reconnaît-il qu’il a tort? Que pensez-vous de son dernier reproche à sa secrétaire?

B. Répondez p a r écrit aux questions : 1-4-2-7.

Lecture. P e n d a n t q u e la s e c ré ta ire e st en tr a in de fouiller les poches d ’u n pardessus pendu u m u r, le v is ite u r f a it tim id e m e n t re m a rq u e r a u directeu r q u ’on aperçoit une lettre so rtan t à d em i de la p o c h e d e so n v e sto n . C’est bien celle q u ’ils cherchaient et le direceur 1 a v a it t o u t s im p le m e n t glissée d an s sa poche. L a le ttre est donc enfin retrouvée, p a is , au lieu de re c o n n a ître sa d is tra c tio n e t de s’en exc, le directeur, qui veut avoir 6 dernier m o t, re p ro c h e à sa se c ré ta ire de lu i av o ir fait perdre un q u art d ’heure.


Emploi du pronom relatif « que ». A u cours de la scène, vous avez enten du : 1 ' — Où avez-vous mis la lettre que je viens de recevoir? 2 . — Ce n ’est pas celle-ci. Celle que nous cherchons v ien t d ’un ministère. 3. — J ’ai trouvé le livre rouge que nous cherchions depuis deux mois. 4. — C’est la lettre qu’il me faut. Dans chacune de ces phrases, le pronom rela tif « que » rem place un nom m asculin ou fém inin, ou un pronon d ém on stratif (exem ple 2). Il pourrait rem placer un pluriel : E x . Ces livres sont ceu x que nous cherchions. Le pronom « que » est invariable. Il s’écrit « qu’ » d evan t une voyelle (ex. 4). Le pronom relatif « que » est com plém ent d ’objet direct d’un verbe. Rem arque : — Pierre m ange un m orceau de tarte que sa mère a apporté. (La mère a apporté un m orceau de tarte; Pierre le m ange.) — Pierre m ange un morceau de la tarte que sa mere a apportée. (La mère a apporté une tarte et Pierre en m ange un morceau.)

Exercice

1.

R épondez à la question posée en u tilisa n t le re la tif « que » :

1. — Je vous ai donné de l ’argent hier. Com m ent l ’avez-vou s dépensé? — Pardon, qu’est-ce que vous m ’avez dem andé? E xem p le : Je vous ai dem andé com m ent vous avez (ou : aviez) dépensé l ’argent que je vous ai donné hier.

2. — Je vous ai prêté un livre. V ous ne m e l ’avez pas rapporté. Pourquoi? — Pardon, qu’est-ce que vous m ’avez dem andé? 3. — Vous avez acheté des fleurs ce m atin. V ous les avez offertes. A qui? — Pardon, qu’est-ce que vous m ’avez dem andé? 4. Votre mari vous a acheté un tab leau , pour N oël. Où l ’avez vou s mis? — Pardon, qu’est-ce que vou s m ’avez dem andé? 5. L année dernière, à la plage, nous avons connu des jeu n es filles. Vous les avez revues? Pardon, qu’est-ce que vous m ’avez dem andé?

6»

Vous attendiez un chèque. V ous l ’avez reçu? - Pardon, qu’est-ce que vou s m ’avez dem andé?


Exercice

2.

Répondez en em ployan t le r e la tif « que » précédé d ’un pronom dém onstratif : 1. Vous a v ez p erdu u n p ortefeu ille en cuir rouge. On v o u s en p résen te u n en cuir marron. — C’est b ien v o tre p o rtefeu ille, n ’est-ce pas? E x e m p le de r é p o n s e : M ais n on , celui que j ’ai perdu est en cuir rouge.

2. — J ’ai aperçu P ierre a v e c une jeu n e fille. — A v ec u n e jeu n e fille brune, n ’est-ce pas? — A h ! n o n ............................. 3. — R oger, v o u s a v ez pris des livres sur cette table et vous les avez emportés. — O ui, j ’en ai em p orté tro is; m ais ils étaien t à m oi; — V ou s en êtes sûr? 4. On c u ltiv e b eau cou p d ’oranges dans ce p ays; il y en a de qualité m oyenne, d’autres so n t de q u a lité supérieure. On ex p o rte les oranges de qu alité m oyenne? 5. La télé v isio n p résen te des film s de ciném a, n ’est-ce pas? Ce so n t de n o u v e a u x film s? 6. — P a u l, éc o u te z -m o i b ien . J e va is poser une question à tou te la classe. Vous, v o u s d ésign erez u n de v o s cam arades : il répondra. Vous m ’avez bien com pris? 7. M essieurs, je v a is d icter b eau cou p de choses. V ous écrirez to u t. Vous me com pre nez b ien ? 8. V ous d ites que je n e d ois pas em porter ta n t de choses en voyage; que je n ’u tili serai p as to u t; que cela m ’em barrassera. C’e st b ie n ce q u e v o u s pen sez?

157


Emploi de « si » ('* condition). An cours de la conversation, le d irecteu r d it : « Mademoiselle, si cette , n’ést K trouvée dans cinq m inutes, je vous m ets a la porte. » ,ett« p

a

s

Ainsi : « Si la secrétaire n e retrouve pas (ou si elle n a pas retrouvé la lett -re dans cinq minutes) le directeur la m ettra à la porte ». R e m a r q u e z qu’après u n « si » (condition), o n n ’em ploie pas le futur.

Exercice 3. Répondez de même aux questions suivantes

1.

:

J ’espère que la pluie cessera cet après-m idi. — Alors, nous irons nous prom ener?

Exemple de réponse : Oui, si la pluie cesse cet après-m idi, nous irons nous promener, ou : Oui, si la pluie a cessé cet après-m idi, nous irons nous promener.

2. — Paul tu joues avec ton sty lo ; tu vas l ’abîm er. Je ne t ’en achèterai pas un a u tr e .

— Que dis-tu, papa? 3. Au camping : — Tu vas dresser la ten te ici? Alors, nous serons au soleil toute la journée. — Que dis-tu? 4. — Je voudrais que mon am i reçoive cette lettre dem ain. — Alors, expédiez-la to u t <îe suite. — Vous êtes sûr qu’il la recevra? *>•

Mais non, cette question n ’est pas difficile; v ou s verrez; réfléchissez u n peu. — Que dites-vous?

6*

Je vous emmenerai au th éâtre cet après-m idi. Mais à condition que vou terminiez votre travail ce m atin. — Qu’est-ce que tu dis?

7.

Ne veillez pas trop tard. Sinon, v o u s ne pourrez pas vous lever de matin. r Qu’est-ce que tu dis? re2

8’ ~~

diteS- qUe cette °P ération e st fausse. Vérifiez-la. Vous constat qu elle est juste. Que dites-vous?

158 by Cam Scanner Trom intsig.com

Lisez Au cours de la leçon vous avez entendu •

« Il me semble que j’aperçois une lettre dan 1

La secrétaire, au contraire, affirmait • « Je vous assure, monsieur, aue 1»0; ^ Je 1 ai

S ia Poche de votre veston

•

sur votre bureau.

Remarque :

Quand on ne veu t pas, ou quand on ne peut nac

« n me semble que...

je

crois

q u e .!

™ “ ’>)0 n e m Pl d e :

Exercice 4. Répondez en u tilis a n t un e des ex p ressio n s ci-dessus :

1. Ces gants appartiennent à P aulette. Vous ne croyez pas? 2. On a frappé à la porte, n ’est-ce pas? 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Vous allez sans doute renoncer à ce voyage? Ce monsieur se dirige vers nous, non? Le tem ps se rafraîchit, vous ne trouvez pas? On m ’appelle, non? Vous dites que vous n ’êtes pas sûr de pouvoir venir? Vous trouvez que j ’ai maigri?

Exercice 5. Lisez :

Au cours de la leçon, vous avez entendu : « Vous ne pouviez pas me le dire tout de suite? » Le directeur reproche à sa secrétaire de ne pas lui avoir dit tout de suite que la ettre était dans sa poche. Exprimez de même des reproches à propos des sujets suivants : Un de vos amis, malade, n’a pas voulu s’adresser à un médecin. Il ne guérit pas. o u Qu’est>ce que vous lui dites? „ . ,,,. * Lefort veut partir dans une semaine pour l’etranger. Il déposé aujour Une demande de eport. C’est trop tard. 3 TT

y u est‘Ce que l ’em p loyé lu i dit?

.

Tp vélo est

/ î câuffeur n’a pas ralenti, il a renverse un cycliste avec sa voi abîme.

4 î „ ,^ u ®st"ce que le cy cliste dit au chauiFeur? mil,-»« de la route. * Le chauffeur lui répond qu’il devait s’écarter et ne pas rester au mi Vu est-ce que le chauffeur dit au cycliste? 159 Generated by Cam Scanner from intsig.com

LEÇON 14. _

A- -

le

jo u r

De l ,

Les cartes de bonne ^ f re partie

Personnages : La

L a ïn è re :A u

ip

-

T J ^ c c ru e g

J a q u e s (n eu f ans) son a

JacJues : O hf les ^ r^ Jeuner.

^

CaMeS de honne année pendant q u e

La mère : M a h ^ ' J e «e sais pas c e ^ i ' J aime encore mieux Une io n n eUi ° Urs la « « m e 1 " faut éc™ à tante Adèle.

" e an»«e et une L î SC : Ma c^ r e Tante, je te souhite °°n n e santé. G e n e ra te d b v

fa m e a rn S c a n n e r fr o m in ts ig .c o m

160

Q u e s tio n n a ire

\

Répondez oralement aux questions suivantes :

1. A quel m om ent de l ’année se e cette scène? 2. Qu’est-cc q u ’on en voie à ses parents et à ses amis, à cette époque-là? 3. Situez d’une m anière précise ces deu x personnages. 4. Jacques aim e-t-il faire un problèm e de m athém atiques? 5. A im e-t-il écrire des cartes de bonne année? 6.

Pourquoi n ’aiin e-t-il pas écrire ces cartes?

7. Les formules des cartes de bonne année sont-elle très variées? 8. A qui Jacques écrit-il sa première carte? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-2-6-8.

Lecture. Ce pauvre garçon a l ’air bien embarrassé. Sa mère l’oblige à rester à cette table pour y écrire ses lettres de v œ u x à l ’occasion de la nouvelle année. Il ne sait vraiment pas ce qu’il pourrait écrire à sa tan te et à son oncle. Je suis sûr qu’il préférerait sortir et aller jouer dans la neige qu’on aperçoit par la fenêtre. Il faut pourtant qu’il se dépêche, car c’est déjà le 28 décem bre et il fa u t qu’il envoie ses cartes le jour même s’il veut qu’elles arrivent avant le jour de l ’an.

161


Actions sim ultanées. Emploi de « pendant que ». La mère prépare le déjeuner. P e n d a n t ce tem ps, Jacques écrit ses cartes de bonne année

On dit : Pendant q ue sa m ère p rép a re le d éjeu n er, J a cq u es écrit — vcui.es année. Ses car*« rU de ltl °nne Nous savons que, dans le é, nous pouvons considérer 1a étant : S actl°Qs con^ — en cours d’accomplissement (forme verbale : imparf ' \ ou : ' — accomplies (forme verbale : é composé). On pourrait donc avoir des combinaisons diverses. — Mais conjonction « pendant que » nous invite à considérer Faction^ 1’1nUeme,nt> comme étant en cours d’accomplissement. On dira donc : ° le présente « Pendant que sa mère préparait le déjeuner, Jacques érriva-» de bonne année. » 1 Ses cartes

Si l ’on veu t opposer les deux actions, on utilise les conjonctions : « ta i\‘ « alors que ». ’ s i Ue» E xem ple : Tandis que Jacques travaillait, sa sœur jouait avec sa poupée.

Exercice 1. E x p rim e z les actions sim ultanées suivantes, dans le présent, puis dans le é :

A la ferme. 1 . Le cultivateur laboure son champ. Pendant ce temps, la fermière s’occupe des animaux de la ferme. 2 . Elle met la table. Pendant ce temps, le fermier fait rentrer les chevaux à l’écurie. Un accident. 1. Un agent regarde les papiers du chauffeur. Pendant ce temps, un autre examine la voiture. 2 . On transporte le blessé à l’hôpital. . ' l’accident. Pendant ce temps, les agents interrogent le chauffeur qui a cause

3. Le chauffeur explique ce qui est arrivé. carnet. Pendant ce temps, un agent note ses déclarations sur un 4. L ’infirmier prépare les instruments. Pendant ce temps, le chirurgien examine le blesse,

162 by Cam Scanner from intsig.com

lises 1. Pierre aime les m athém atiques. II n ’aima « - . II d it : « J ’aim e m ieux faire un problème o u ï deS cartes2. P a u l aim e les m a th é m a tiq u e s . I l ai m e a i ] . ^ 6S Cartes* I l d it : « J ’a im e m ieux faire un problème qu£ ? inS’ écrire de* cartes. 3. Jacques n’aime pas les m athém atiques et I » , GS c a r t e s ‘ » des cartes. Pourtant, il d oit choisir. ’ 11 n aime P ™ non p]us écrire Alors, il dit (dans le dialogue de la leçon) • « J ’aime encore m ieux faire un problè problème qu’écrire des cartes.

Exercice

2.

Exprim ez-vous de même à p ro p o s des su je ts s u iv a n ts : 1. Je n’aime ni la pluie ni la neige.

Exemple de réponse : Mais j ’aime encore mieux la neige que la pluie.

2. Je n’aimerais pas me casser un bras, ni une jambe. Mais..... 3. — Mon appartement est au centre de la ville. C’est très bien, mais il est trop petit pour moi. — Ne le gardez pas. Déménagez en banlieue. — Oh! non................................ 4. — — — —

Vous ne prenez pas de parapluie? Non, il va m’embarrasser. Mais, s ’il pleut, vous vous ferez mouiller. Tant p i s ! .................................

5. — Vous n ’êtes pas en bonne santé, en ce moment; vous travaillez trop, vous vous fatiguez. Restez chez vous. — Mais chez moi, je m ’ennuie, et......................................

6. — Cet homme est innocent ou coupable; nous ne savons pas. — Que vaut-il mieux? Le condamner? Mais s’il est innocent? L’acquitter? Mais s’il est coupable? Alors, décidez.

163


LEÇON 14. — LE JOUR DE L'AN

A.

Les cartes de bonne année 2e partie

Personnages : Jacques (neuf ans) Sa mère

Jacques : Bon, ça y est. Viens voir si c’est bien comme ça. La mère: Ah! non, ne me dérange pas to u t le tem ps. Je ne peux pas laisser mon rôti, il va brûler... Jacques : Est-ce qu’il fau t envoyer aussi une carte à oncle Émile? Il ne me donne jam ais d ’étrennes. La mere : Tais-toi. Bien sûr q u ’il fa u t lui envoyer une carte. E t fais attention, écris bien. Jacques : Oh! Zut, j ’ai oublié u n m ot, je vais te m ontrer... La mere : Non, non, ne viens pas à la cuisine, laisse-moi tranquil e, je bats des œufs pour faire une crème. Si tu viens, tu n en a u ra s pas. 164 ueneratea Dy uambcanner rrom intsig.com

Q uestionnaire

A. Répondes oralem ent a u x questions suivantes :

1. Jacques vient d’écrire sa première carte. Que demande-t-il à sa mère? 2. La mère accepte-elle de se déranger? Pourquoi? 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Jacques a-t-il envie d’envoyer une carte à son oncle Émile? Que pensez-vous de la raison qu’il donne pour ne pas lui en envoyer? Pourquoi la mère dit-elle : « Tais-toi! »? Jacques se lève. Où va-t-il? Sa mère se laisse-t-elle entrer à la cuisine? De quoi le menace-t-elle?


Lecture. Jacques a enfin écrit quelques lignes sur sa feuille de papier, mais il ne sait pas tra vailler seul et il vient demander à sa mère si cela suffit et si c’est convenable. Peut-être aussi est-il un peu curieux et voudrait bien savoir ce que sa mère est en train de préparer. Celle-ci, qui est occupée à battre des œufs et qui n’aime pas être dérangée, le menace, s’il entre dans la cuisine, de le priver de dessert.

165


Expression d ’un « but » . La mère dit : « Je bats des œufs. » Pour quoi faire ? « Pour faire une crème. » « Faire une crème » est le « but » de l’action de la mère : « battre des ceUf Remarquez que cette construction n ’est possible que parce que les d ont le même sujet; dans le cas de deux sujets différents il fa«iïM-1eUX Verl)es __________ vaudrait ei em p lo y er « pour que » suivi d’un subjonctif. « Je fais une crème pour que tu aies un dessert ce soir. » u

Exercice 5. Complétez chacune des phrases suivantes p a r Vexpression d’un but : 1. Il commence à pleuvoir; les gens couren t................ Exemple de réponse : . . . . pour s’abriter sous les arbres.

2. Nous montons sur cette collin e.......................................................................... 3. Je vais chez le d en tiste..................................................................................................... 4. Je vais prendre des b ille ts............................................................................................. 5. Dans le train, un em ployé p a sse..................................................................................

6. Aujourd’hui les gens v o te n t......................................................................................... 7. Il est déjà venu hier pour me demander de l ’argent et il revient encore aujour d’h u i......................................... ................................................................................................

8. Mais non, ce n ’est pas pour t ’emprunter de l’argent que

j e viens aujourd’hui, c’e s t.................................................................................................. ........................................


Exercice 6.

Lisez : Au cours de la leçon, Jacques dit : « M a m a n , v ie n s v o ir si c ’e s t b ie n c o m m e ça »

« Je ne sais pas ce qu’il faut écrire à Tante Adèle » Ce s o n t d es p h r a s e s in t e r r o g a t iv e s in d ir e c te s . L es p h r a se s d ir e c te s s o n t : « E s t -c e q u e c ’e s t b ie n c o m m e ç a ? »

« Qu’est-ce qu’il faut écrire à Tante Adèle? »

A propos de chacun des sujets suivants, composez une phrase interrogative directe et une phrase interrogative, indirecte : 5 Le’ 1. On vous montre un tableau et on vous dit de l’irer; mais vous ne voyez pas ce qu il a d irable; J r Exemple de réponse : « Que faut-il irer dans ce tableau? Je ne le vois pas. « Je ne vois pas ce qu’il faut irer dans ce tableau. » 2. — On vous a dit d ’annoncer quelque chose à vos camarades, mais vous avez oublié quoi. 3. —Vous n ’avez rien compris à une explication d’un professeur et il vous dit : « Concluez! » 4. — « Qu’est-ce que vous avez à déclarer ? vous dit un douanier. » 5. — Un professeur parle beaucoup et dit à ses étudiants : « Notez, notez Messieurs. » 6. — « Vous connaissez à peine cette dame? Cela ne fait rien, envoyez-lui une carte de bonne année et souhaitez-lui beaucoup de choses. » 7. — On vous donne une bande m agnétique sur laquelle vous devez enregistrer quelque chose. Mais quoi? 8. — Vous partez en voyage? Qu’est-ce que vous allez emporter? 9- — Cet étudiant e st toujours en retard. Vous trouvez que c’est normal? 10- - Les étudiants voud raient utiliser un dictionnaire. Ils demandent a leur professeur l ’autorisation de le faire. Que lui disent-ils.


L E Ç O N 14. — LE JO U R DE L ’A N

B. — U n coup de télép h o n e

Personnages : Louis, Marcel (1er janvier, 11 heures) au téléphone

Louis : Allô! Marcel! Bonjour mon vieux : je te souhaite une bonne et heureuse année, bonne santé... Marcel : Tu me fais rire, tiens! j ’ai la grippe, 39 de fièvre, mal dans le dos, et les idées noires. Tu vois, elle commence bien ma nou velle année... Louis : Tu as trop bien fêté N oël, tout se paie... Marie-toi, mon cher, tu seras moins souvent dehors, et tu auras quelqu’un pour te soigner. Marcel : Si c’est tout ce que tu me souhaites pour un premier de an, j ’aime mieux garder ma grippe. 168


Questionnaire A. Répondez oralement a u x questions suivantes :

1. Quand se e cette conversation téléphonique? 2. Pourquoi Marcel interrom pt-il son ami quand celui-ci lui dit : « Bonne santé »? 3. Louis savait-il que Marcel était malade? 4. Exprim ez quelques-unes des « idées noires » de Marcel. 5. Comment Marcel a-t-il « trop » bien fêté Noël?

6. Imaginez pourquoi il est tom bé m alade 7. Qu’est-ce que Louis conseille à son ami?

8. Comment Marcel accueille-t-il le conseil de son ami? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-3-6-7.

Lecture. La nuit de N oël, M arcel est sorti avec des amis, mais il ne s’est pas assez couvert en quittant le restaurant où ils son t allés réveillonner et il a pris froid. Maintenant, il a la grippe, il est obligé de garder la cham bre et il doit er le jour de l ’an dans son lit. Louis, un ami, lui téléph one pour lui présenter ses vœ u x; Marcel se plaint, mais Louis ne Prend pas au sérieux la m aladie de son am i et se moque gentiment de lui.

1U Generated by CamScanner from intsig.com

Exercice 7.

1

Lisez : Marcel dit : , . « Si c’est tout ce que tu me souhaites pour la nouvelle année i’ • garder ma grippe. » _ ’ aimeêi Remarquez que, dans cette phrase, « si » n ’a aucune valeur de Conilv reprend simplement un fait connu (Louis vient de souhaiter à Marcel de s. 5 et le présente à nouveau en le faisant suivre d une conséquence : « alors ^ mieux garder ma grippe

C o n stru isez u n e p h r a s e sem b la b le a u m odèle ci-d essu s à propos de chacune des conversa, tio n s su iv a n te s ••

1 . Vous partez en vacances? — Oui. — Vous avez de l ’argent? — Voilà, j ’ai 100 francs. — C’est tout? — Oui. Proposition : « Si c’est tout ce que vous avez comme argent, il vaut mieux que vous ne partiez pas en vacances. » 2 , — Qui veut répondre à cette question?

— Moi, monsieur. (dit Julien). — Bien! Répondez.

(Julien répond très mal.) — C’est tout ce que vous savez? — Oui.


........

ip n e v e u x p a s v e n d r e m o n v io lo n . É c o u te z >je i v a is jou er.

'f i l jo u e, e t c'est horrible!) ' ___ noc imipr un nutrp TUHTPûmi 9

,J

N on. E h b i e n ! ........................ ............................................................................................... ___ S o r te z a v e c m o i c e so ir . H Q u ’e s t - c e q u e v o u s p r o p o s e z d e fa ire? _ N o u s ir o n s a u c in é m a . E n c o r e ! V o u s n e c o n n a is s e z p a s d a u tr e d istr a c tio n ?

,

— N on. E h b i e n ! ......................................................................................................................... V o u s a lle z e n c o r e c h a n t e r c e t t e c h a n so n ? 5*

,

O u i. J e l ’a im e b e a u c o u p . __ V o u s n ’e n s a v e z p a s u n e a u tr e ? N on. __ E h b i e n ! ............................................................................................................................ __G a rç o n , a p p o r t e z - m o i u n e b o u t e ille d e v in .

* _ _ V o ilà , m o n s ie u r . „ v _ M a is il e s t t r è s m a u v a is , v o t r e v i n . V o u s n e n a v e z p a s d autre? __ N o n , m o n s ie u r . _ _ E h b ie n ! ........... ............................................................................................................


leço n

15. -

le repas d u

JOUR

d e l ,An

ire p a rtie

P erso nnages : Le p ré s e n ta te u r, Jacques, Monique, sa sœur La grand-mère, Le grand-pere

Le présentateur : Jacques et Monique entrent dans la ^ verp0ur leur grand-père et leur grand-mère qui viennen le repas du jour de l’an. s voug soUliaite Jacques : Bonjour grand-mère, bonjour grand-pere. une bonne année et une bonne santé. Monique : Moi aussi, bonne année, bonne santé. üetite Mon^ e' La grand-mère : Merci, mon petit Jacques, Merci, eureuse a®11® 6' Nous aussi, nous vous souhaitons une bonne e ^ votre pèree Travaillez bien en classe; soyez bien sages votre mère... „ core. Le grand-père : Et amusez-vous bien cette annee en 172


Questionnaire A. lttpondcz oraloment aux questions suivantes : 1 . Quels sont les membres de cette Aimiii« conversation? ° ÎamilIc *Uc nou* entendons au cours de la

2. Avez-vous remarqué l’absence d’uu membre de cette famille’ 3. Qui cependant parle du père des enfants? 4. Imaginez où peut être le père. 5. 6. 7. 8.

Quelles sont les quatre personnes présentes au début de la scène? Que souhaitent les enfants à leurs grands-parents? Quels conseils donne la grand-mère à ses petits-enfants? Le grand-père ne comprend-il pas mieux les enfants que la grand-mère?


Lecture.

On a invité grand-père et grand-mère à venir prendre, à la maison, le déjeuner du jour de l’an. Ils viennent d’arriver et en attendant de er à table, ils se sont assis dans la salle de séjour. Les deux enfants qui jouaient dans leur chambre, ont entendu les voix de leurs grands-parents. Ils accourent pour les embrasser et pour leur presenter leurs vœux de bonne et heureuse année.


Le rela tif « où » (complément de lieu). A u cours de la leçon, vous avez entendu : « Jacques et M onique entrent dans la pièce où sont leur g leur grand-mère. »

11 “pete et

D ans cette phrase, « où » désigne la pièce; il est complément de lieu A insi, le pronom « où » ne p eu t jam ais avoir un nom de pour antécédent. Personne « Où » est parfois précédé de la préposition « de ». « Y oilà une fenêtre d’où vous pouvez voir l’horloge de la gare. » « Où » ne p eu t pas être précédé par d’autres prépositions. On dit : « Y oilà la rue par laquelle je e tous les jours. » « C’est u n m agasin d evan t lequel je m ’arrête souvent. » L e m ot « où » e st aussi adverbe interrogatif : __ Où allez-vous? — Par où ons-nous? __ D ’où venez-vous? — Jusqu’où allez-vous? D an s les form es indirectes, l ’adverbe « où » joue un rôle de relatif, mais on ne p eu t pas dire qu’il e st pronom puisqu’on ne peut pas désigner son antécédent. « J e vou s dem ande ou vous allez. » « P ou vez-vou s m e dire d’où Vous venez? » « M ontrez-m oi par où nous devons er. ■» « D ites-m oi ju sq u ’où vou s allez. »

Exercice 1. Pour chacun des sujets suivants rédigez une phrase qui rapporte les éléments de la conver sation donnée et qui contienne le relatif « où » : Exemple : — D’où venez-vous? — Nous sommes montés dans une chambre. — Pourquoi? — Nous y avions laissé nos vêtements ce matin.

a

Rédaction : Ils sont montés dans une chambre où ils avaient laisse leurs v matin.

174


ic 16

Sujets proposés :

1

Maintenant, je vais ouvrir ce sac. ' __ Qu’est-ce qu’il y a dedans? __ J ’y ai mis les provisions que j ’ai achetées. Qu’est-ce qu’elle fait? — Tu vois bien, elle ouvre un grand sac. __ Pour quoi faire ? — Regarde : elle en tire des provisions.

2

3. — Tu ne manges pas? Tu regardes le plat? __ Oui, le garçon vient de le poser sur la table. — Qu’est-ce q u ’il y a dedans? — Quelques pom m es de terre. 4.

— — — —

Alors ; en arrivant sur le quai de la gare, qu’est-ce Je suis m onté dans un wagon. Il y avait du monde dans ce wagon? Non, il n ’y avait personne; j ’ai pu m ’y installer à

5. — Vous avez fait une promenade, ce matin? — Oui, je suis é par l ’île Saint-Louis. — Vous vous y êtes arrêté? — Oui, j ’y ai pris mon p etit déjeuner dans un café.

6. — Vous n ’avez pas traversé la rue tout de suite? — Non, je me suis arrêté au carrefour. — Pourquoi? — Le feu était vert; j ’ai attendu qu’il devienne rouge. 7. — — — —

Qu’est-ce que tu vas faire en rentrant chez toi? Oh ! je vais to u t de su ite ouvrir ma valise. Tiens! Pourquoi? J ’en tirerai des cadeaux pour mes enfants.

175


LEÇON « . -

LE REPAS DU ^

^

2e p a rtie

n° ?eS ' ôc<7ues» lo mère. Le grand-père, La grand-mère, Monique

■Jacques: Qram) 2 * * ; * * r-*-OUt - jà le

vi“ v ” heure, Tap„„

Ï ’L

Ja cq u es; A h T h St S6^V^* Z x T

" n ^ °» r e p a s ^

^

Û° US a^ on s n °u s mettre à table, 'rZ<mi d so» grand-père.) M m * * *

U nique ■E arr°ns et u n gr„ ° J® J0UT de l ’an : des pâtée, ‘ Jlt Vo«s, vous alle2 L®3tef U à la crème. CZ ire du bon vin. 176

une dm*

Q u e stio n n a ire

A. Répondez oralement aux questions suivantes ;

1. Qu’est-ce que Jacques a reçu comme étrennes? 2. Où veut-il emmener son grand-père? 3. Le grand-père est-il prêt à suivre son petit fils? 4. Qui arrive à ce moment-là? 5. Qu’est-ce que la mère annonce? 6. Qu’est-ce qu’elle demande à tous? 7. Qui a préparé le repas?

8. Quel est le menu ? 9. Qu’est-ce qu’il y aura comme dessert? 10. Que boiront les grandes personnes au cours du repas? Et les enfants? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-5-7-9-10.

Lecture. Jacques a reçu comm e étrennes un train électrique qu’il a installé sans tarder sur le plancher de sa chambre. Il était en train de jouer quand ses grands-parents sont arrivés. II est si heureux d ’avoir reçu ce train qu’il ne veut pas attendre davantage pour le montrer à son grand-père. Celui-ci, qui adore son petit fils, le suivrait volontiers ; mais la mère paraît à la porte et leur dem ande de er à table : le repas est servi.


Le relatif « où » (complément de temps). « Jacques n’oubliera jam ais le jour où il a reçu son train '1 D ans cette phrase « où » est pronom relatif, complément A- v*-‘cctriqU 6Ctti(ÎUle- » omplément de temps- il antécédent : « le jour ». il aa î>o\*r v / v / w v v

On

j-

* ----- ---- ----------

—

, l „ n c •. lle e mois où.... ctc. l ’a n n é e où.... donc

l ’h e u r e

où....

l e m oa e n l

Exercice 2. R eprenez chacune des conversations suivantes sous formp - ■ ,, i 7 s . •/ a un recii fdflT,,. i lequel vous emploierez le pronom « ou », complément de temps. é) dam

1. — V ous laissez votre auto au garage pendant tout l’hiver? — Oui. — Vous avez to rt; il faut qu’une voiture roule de temm ♦ sortirez-vous ? P®“ temP>' Q«and ], — U n jour du mois prochain. — E h bien, vous pou vez être sûr qu’elle tombera en panne. E xem p le de réponse : Comme il laissait son auto au garage pendant tout l’hiver, un mécanicien lui adit qu’il a v a it to rt, car il fallait qu’une voiture roule de temps en temps, et qu’il pouvait être sûr que la sienne tom berait en panne le jour où il la sortirait du garage.

178


2

Pierre a encore manqué son train? ' __ Oui, ce garçon est toujours en retard — Le train ne part qu’à 9 heures, ce n ï ♦ __ Oh! à cette heure-là, Pierre était encor ^ tÔt* 3< __ Vous ne travaillez pas tous les jo u rsT ^ danS Sa cilamI)re. __ N o n , nous avons congé deux jours nar « • — Vous ne vous levez pas de bonn«» ï, semame. — Non, ces jours-ià, nous nous levons Très tarJ°Uï8"]â? 4. — J ’ai rencontré Fernand, ce matin. ^ * — Ah! oui, comment cela? — Je tournais au coin de la rne Montmartre h ,., » est approche de moi : c'e'tait Femand. “ w “ »«m t-lâ, „„ lomme

5. — Garçon, apportez-nous une bouteille de bon vi* _ V odam onsieur : une bouteille de Bordeaux 19,1 „ — J habitais ju stem en t Bordeaux cette année-Jà.

Exercice

, ne année!

3.

une situation qui convient a chacune des phrases suivantes et rédigez un dialogue au cours duquel l ’un des personnages prononcera la phrase donnée :

Im aginez

1. Je vais vous donner l ’adresse de l ’hôtel où nous sommes descendus l’an der nier.

2. Je suis allé jusqu’à la Seine où je suis resté une heure à regarder les boîtes des bouquinistes. 3. L’enfant regardait tristement la cage d’où l ’oiseau s’était envolé. 4. A l ’heure où mon train partait, j ’étais encore dans le taxi.

E

179


LEÇON 15. -

LE * EPAS DU J ° UR

L-AN

3e partie

Personnages : Le présentateur, La mère, Jacques, Monique, Le grand-père, La grand-mère

Le présentateur : Ils ent rlnr,* 1 n > L* mère: Taisez-vous meSTa t f l * S’ ^ *.trouve# * Allez vous asseoir i 116 v°us parlez trop,

père. Monigue ne t y .u , „

z

r

1"

CCfues’ assieds-toi à côté de ton grandl ’f f . i ’*

*

» - < *> , » . . . A

-

de l’autre ie m,fc * dejeuner, et si vous êtes l’un près chambre ViVnc v T * 6 Un au m°ins finira le repas dans sa Jacques ; J e sul .T * * COté ^ moi. Parce que tii6™00?*611*’ &rand-père, d’être assis à côté de toi, Qu’est-ce aup t & °nnes touj°urs de gros morceaux de gâteau. grand-père • Tu 1 U 111 as aPP<>rté comme étrennes? ...

Je donne

d es

311138 &U êssert et si tu te tiens tranqU16 e rennes aux enfants sages seu lem en t. 180

o cn eiû icu

u y v â i i l o u a i 11 ici i i u i i i ii n ^ i y . o u i i i


1 . Où est maintenant rassemblée la famille?

2. Les enfants parlent beaucoup. Que leur dit la m' 9 3. Où Jacques va-t-il s’asseoir? ^ 4. Monique va-t-elle s’asseoir près de son frère? 5. Pourquoi sa mère le lui défend-elle? 6. Si les enfants ne sont pas sages pendant le repas, que fera la mère? 7. Jacques est content d’etre assis à côté rlf* cnn j * parce qu’il l ’aime beaucoup? 311 *Pere’ est-ce seulement 8. Le grand-pere a-t-il déjà donné leurs étrennes aux enfants? Quand les leur donnera-t-il? A quelle condition leur en donnera-t-il?

B. Répondez par écrit aux questions : 3-6-7 -8.

Lecture. • a' table>pt va ^commencer. Toute la fam ille e s t m a in te n a n t reunie et le le repas r» ^ ^ ^ Jacques ^ est heureux d ’être a ssis à c ô té de son gran

Infinitif e t su b jon ctif. A u cours du repas, J acq u es d it « Grand-père, je suis c o n ten t d ’être assis à côté de toi. » Le grand-père répond : « Moi aussi, Jacq u es, je sm s c o n te n t que tu sois assis à côté de D ans la prem ière phrase, v o u s rem arquez une construction a c’est possible parce que les d eu x verb es o n t le m êm e su jet. __ Jacques est con ten t. — Jacques e st assis...

c 1

Cette construction n ’e st p a s p ossib le q u an d les d eu x verbes ont 1 différents; on em ploie alors u n e co n stru ctio n a v ec le su b jon ctif (deuxte Sujets — Le grand-père e st co n ten t. me phrase). — Jacques e st assis...

Après le repas, Jacques dit : « Grand-père, j ’étais c o n te n t d ’être assis à côté de toi. »

« Grand-père, je suis content d’avoir été assis à côté de toi. » Le grand-père répond :

« Moi aussi, j ’étais content que tu sois assis à côté de moi. » « Moi aussi je suis content que tu aies été assis à côté de moi » R em arquez l ’em p loi de l ’in fin itif p a ssé : « être assis » et du du su b jo n ctif : « que tu aies é té assis ».

„ mpose

Autre exem ple : Paul dit à Pierre : « Je serais heureux que vous fassiez la connaissance de Monique. » Paul présente Monique à Pierre qui dit à la jeune fille : « Mademoiselle, je suis heureux de faire votre connaissance. » Après la rencontre : P ierre : « Je suis heureux d’avoir fait la connaissance de Monique. » P a u l : « Je suis heureux que vous ayez fait la connaissance de Monique. »

182 v ^ i

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Exercice

4.

lises: " g S * " 16 D“ ’ V0UdrieZ*V°US m,aCC°rder _Jfois oui, je vous l ’accorde. __ Merci beaucoup. Alors vous êtes content?

P a s s i o n de m’absenter

“ COntent qUe V0US — P«— . ___ Vous êtes content? « Oh! oui, je suis content que mon directeur m’ait armrrio „«-n. _ II est bien aimable, votre directeur ! 311 aCC0rde cette P«nuss.on. » « Oui, il est bien aimable de m ’avoir accordé cette permission. » Complétez les conversations suivantes en utilisant, selon la nécessité, Vinûnitif ou le subjonctif:

1. Vous êtes allé au théâtre avec une jeune fille. A la sortie, vous l’accompagnez jusqu’à sa porte. Elle vous remercie en disant : « ..............................

2. — Venez demain à cette réunion, c’est indispensable. — Pardon, que dites-vous?

3. — Je ne peux pas venir demain; je pars ce soir en vacances. — C’est bien ennuyeux, n’est-ce pas? — Je suis bien ennuyé, moi aussi. — De quoi êtes-vous ennuyé? D e partir en vacances?

4. _ y ous pensez que les étudiants répondront à ces questions? — Vous croyez qu’ils en sont capables? 5. — Ce croisement est dangereux; je ralentis. — C’est normal. — Qu’est-ce qui est normal?

6. I Quand Y e'm alade aura pris ce remède, ü transpirera. Ne vous inquiétez pas. — Ce sera norm al?

183


M DUVAL

FAIT INSTALLER L’ÉLECTRICITÉ DA NS Sa 1re p a r tie

^

Personnages : Le présentateur, M. Duval, J e a n t son cousin, jeune ouvrier

P

Mû ®uva^ est dans sa cave avec son cousin J“ ”'

M. Duval LttUnebougi e fllu^ e .

l’électr i n Pr °Pîét aire ne m’a jamais permis de faire installer l’électriciV ^ CaVe* n o u v eau m ’a dit : (( *nSta > yienne ^ V° ulez* Mais 11 fau d ra <îue la COmp3g * incendie ce ^ V° tre ^n s ta llatio n et l’accepte. S’il y avait

'êan •*Bah! iciVnn? 6St âS V0US (ïu*seriez responsable, mais r&oh’ y ous n 2 GSt eû Ciment- 11 ^ peut pas y avoir & **** Iie nsquez rien...

*

184


r

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes • 1. Qui sont ces d eu x hom m es?

2. Où se trou ven t-ils, ici? 3. Qu’est-ce que M. D u v a l tie n t à la main? 4. Pourquoi tien t-il c ette bougie allum ée? 5. Im aginez quelques objets qu’on peut voir dan

6. Y a-t-il lon gtem p s que M. D u v a l avait l’i n W dans la cave?

^ 10n de faire installer l’électricité

7. A qui a v ait-il d em and é l ’autorisation de le faire? 8. Avait-il obtenu cette autorisation? 9. Que craignait sans dou te l ’ancien propriétaire? 10. L’im m euble a-t-il changé de propriétaire récemment? 11. A quelle condition le n ou veau pronriétairp a t j* t • jv propriétaire a-t-il accordé son autorisation’ 12. Le risque d incendie est-il grand dans cette cave? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 4-6-7-9-11.

Lecture. M. Duval est descendu à la cave avec son jeune cousin, pour lui montrer le local où il veut faire installer l ’électricité et que, pour l’instant, il éclaire à l’aide d’une bougie. Jean ne pense pas q u ’il y a it un risque quelconque d’incendie, mais il se rend compte que dans cette cave d on t les murs et la voûte sont en ciment, il aura beaucoup de mal à enfoncer les clous.

185


LEÇON 16

d u VAL

FAIT INSTALLER L’ÉLECTRICITÉ DANSSACAVE 2e partie

Personnages : M. Duval, Jean, son cousin

DU&xer f e T û h ° é k a l i Z

bougie.

w V3S m onter sur réclli!lle P0Ilr

68 aU P aôn(i* Moi je t ’éclairerai avec la

Jean! pEo l f Claire pas très W «. Vous n’avez pas nne lampe de * S i ni * ]

Jean: Où est le m arteau?^ USCe’ ^ Duval: Tien* i’,

0ublié de la changer.

des pinces* et des clous*6 * °Ut^S : ^ y a un marteau, une clé, 186


Jean: Vous n ’avez p as de t ^

•„

M. Duval: Non, je les ai per/ Jes? j can : Ça ne fait rien. J e vaigJ* Ues •' P m ces M. Duval : Tiens, voilà le fi]l eJ ,Le « “r J qeules e pi r

Questionnai re A. Répondez oralement a u x questions suivantes;

1. Jean va monter sur l ’échelle. Pour quoi faire? 2. Pendant ce tem ps, que fera M. Duval? 3. M. Duval possède-t-il une lampe de poche? 4. Pourquoi ne l ’em ploie-t-il pas? 5. Quels outils y a-t-il dans la boîte?

6. Jean demande des tenailles. Pour quoi faire? 7. M. Duval a-t-il des tenailles?

8. Avec quoi Jean coupera-t-il les fils? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-4-6-8.

Lecture.

187


p 0Ur

c°uperleSfi]s.

E x e r c ic e

1* Tii p jjv a l d it •

Au cours du dialogue;

■

mais la pile est usée et j’ai oublié de la ch;

“ J ai “^ s u iv a n te s su ggèren t une ph rase utilisant le verbe « oublier Les phras i Imaginez cette p 1. -

aD8 * t.,

iet de....

„g •

M « n ^ e u r ,^ e t e s e z

gas

j

^

P

orte o u v e r te , s’il vou s plaît, il fait f ^

^

^

^

^

j

.

fm d l .

2 II pleut eT vous n’avez pas pris votre parapluie! 0 V avez écrit cette lettre hier et vous 1 avez encore dans votre poche! 4. JeT o u s ai dem andé de m’aeheter des timbres. Vous y avez pensé? 5

_

Vous av ez téléphoné à Lucien?

' _ Je n’ai pas son numéro de téléphone. _ Vous ne le lui avez pas demande.' 6 _ Paul, il me semble que vous ne m’avez pas rendu votre devoir. 1 - Comment se fait-il que les étudiants ne sont pas là? On ne leur a pas anmmcé que le cours com m ence m a in ten a n t a 8 h e u r e s. 8. — Marie, il me sem ble que v o u s n ’av ez pas arrosé les fleurs du jardin, comme je vous l’avais dem ande. 9. — On dirait que les pneus de v o tre voitu re ne son t pas assez gonfles. 10. — Les Leduc ne sont pas ven u s, cela m ’éton n e. E st-ce que nous les avons invités?


i i e ràc» 2. l e s

„{„antes »ni « f prononcées au cours d'une conversation. Rapportez chacune PHraSlT e ls a tio n s sous la form e d un court reçu. °eS avez oublié d’écrire votre date de naissance, madame. » 1« <( ^ °uS

q« o u b l i é de la rembourser. » fêla m ennuit-, j «• 2. “ u oublié de signaler à nos auditeurs que la représentation commen3. < « ? i » ' h e u r e s précises. » CCral eux pas partir avec vous, j’ai oublié de faire renouveler mon e4;« ^ J® ^ ^ d is a n t

S. r i o u b l i e pas de faire vérifier les freins. ,

Exercice

3.

, . conversation, le cousin de M . Duval dit: « Je commence à avoir mal au J u cours de ta co d0S' " Complétez chacune

1.

i „ nhrases su iv a n te s en utilisant le verbe : « commencer à ». P

m ais m aintenant...

longtemps, il n a pas aim u• il com m ence à l’apprécier. Î Le malade a été très calme tonte la journée, mars ce son... P endant

3 Nous sommes déjà fin juillet, il me semble que... 4. Nous marchons depuis trois heures, je... 5. Nous allons bientôt atterrir, 1 avion. f, Ouand vous êtes revenus de la mer, U y a 6' belles couleurs, mais m aintenant...

189


^

fiu ^

de

LE Ç O N 16

M. DUVAL FAIT INSTALLER L’ÉLECTRICITÉ DaNsSA(; 3e partie

Personnages : Jean (jeune ouvnej, M . Duval, son cousin

Jean: Je mettrai l’interrupteur, là, près de la porte? M. Duval : Oui, je pourrai allumer en entrant et éteindre en sor^ ^ ^ Jean : La cave est petite, avec une lampe de quarante bougie »

verra assez clair. • Duval : Oui, si tu la mets ici, au milieu du plafond. ean. otre marteau a un manche bien court ! ,, morceaU UVa ’ a*cassé la semaine dernière; alors j ’ai enleve Jean • r>CaSS^ et remis le manche comme j ’ai pu. ?eSt est que vous frappez trop fort et que votre geS assez souple. F

7 Oh * moi j e ne suis pas un spécialiste, mon garçon!

^ VUAvez-vous un tournevis?

■ mais je l’ai laissé sur la table de la cuisine. Veux-tu l r aüÎe le chercher? ce n’est pas la peine. Je me débrouillerai avec la lame de Jean : ’couteau. Moi, j ’ai toujours mon couteau sur moi; on peut ^ ° n j,eaucoup de choses avec un bon couteau. Jean • A

M- ^

Questionnaire À. Répondez oralement a u x questions suivantes: 1. Où Jean propose-t-il de placer l ’interrupteur?

2. Quel sera l ’avantage de cette solution? 3. Où les deux cousins décident-ils de placer la lampe? Pourquoi? 4. Pourquoi le m arteau a-t-il un manche si court? 5. Pour quelles raisons M. D u val a-t-il cassé le manche de son marteau?

6. Où est resté le tournevis ? 7. M. Duval va-t-il le chercher?

8. Comment Jean se débrouillera-t-il sans tournevis? B. Répondez p a r écrit a u x questions : 1-4-5-8.

Lecture.

^ jjuvai

Jean propose de mettre l’interrupteur près de^la £ ^ U j i puisse allumer en entrant et éteindre> en sor .men8ion; surtout si, 40 watts suffira pour éclairer un local de piaf0nd. M. Duval, cette lampe est placée au milieu du p

191 G en erated by Ca m Sca n n e f TroTn intsig.com

Expression de la « conséquence ». Au cours de la conversation, vous avez entendu • Jea n : Je m ettrai l’interrupteur près de la porte M . D uval : Oui, je pourrai allumer en entrant. Il y a entre ces deux faits un rapport de conséquence. On dit : Jean m ettra l ’interrupteur près de la porte • M r, allum er en entrant. ‘ ûval p0Urr Jean m ettra l’interrupteur près de la porte; ainsi », r, ‘ d°0c allumer en entrant. M* DuVai L ’interrupteur sera près de la porte; aussi M r>„ , allumer en entrant. * UVal pourra.t.jj L ’interrupteur sera près de la porte si bien oue M n , allumer en entrant. * UVaI pourra A cette relation de conséquence, peut s’ajouter une idée de manière • Jean placera l ’interrupteur près de la porte de sorte que M D»v 1 allum er en entrant. * a Pourra

Exercice 4. Im aginez une conséquence p o u r chacune des phrases suivantes : 1. Hier soir le courant électrique a été coupé pendant l’orage... Exem ple ... si bien que nous sommes restés deux heures dans l ’obscurité. 2 . Quand Lucien était enfant, il avait de remarquables aptitudes p o u r la musique, aussi... 3. Il n ’y a pas beaucoup de distractions, le soir, à la campagne, aussi... 4 . Les freins de la voiture étaient en mauvais état, de sorte que...

5. La dame du cinquième avait oublié de fermer le robinet de sa 0 bien que... I 6. L’hôtel était tout près de la gare; à chaque age d un train, t tremblait, si bien que... 7. Dans la journée, il faisait 39° à l’ombre, aussi... 8. Les salaires des ouvriers sont insuffisants, de sorte que...


^

0xerc»ce

L,St

5.

de la conversation entre Jean et son „ , Crois-tu que ce n est pas pénible aussi de t S que la cire fondue m e coule sur les doigts. »

cours

. “ l cclui-ci d i t . “ 1>ouSie en l’IjU , ' ûans compter

Évoquez en quelques phrases (de dialogue ou de récit ) „ chacune des phrases suivantes a été prononcée • J "e Sltu^ i 0n au cour, i , s ac laquelle

„

E xem p le: « Sans compter que je déteste rouler Ia nu>

proposition . __ Restez encore un peu; vous avez bien le t e m n sûre que vous arriverez avant 10 heures ce so£ aVe° Votre ^ u r e , je s„i, _ Non, vraiment, je dois partir. Je n ’aime pas fa r ,i pas tout de suite, je n ’arriverai pas avant minuit D° n!““ “ 5Si ”c j ’ai sommeil. Sans compter que je déteste rouler la n u i t JC Sllis fatiSui « 1. Sans compter que cette villa est ancienne et qu’il faudr ] 2. Sans com pter que nous trouverons difficilement un s t a L ^ M à l

3. Sans compter que les voisins aussi peuvent se plaindre du bruit. 4. Sans compter que ma montre retarde peut-être. 5. Sans compter que tu vas aussi tacher ta robe.

193


LEÇ O N 16

M DUVAL

f a it

INSTALLER L’ÉLECTRICITÉ DANs 4e p artie

Personnages : M . Duval, Jean, son c o u s i n , jeune ouvrier

ff- B uval;E st Jeun •r Ce crue tu

Af. /) Sii 0sUvul - D u c ,/?„

e,,f°n c c r le«

; °nAje us« dem,, te "v ge’ f e tfe

i

en riment est très dut et o u s- J e commence à avoir W

petit l r f,01s' • tu que ce u’est pas p étiï,e houp-ie

7 • Oui, merci, je m en suis aperçu : elles me sont tombées sur 0 . J)U, „ : eà. Allons bon! la bougie est éteinte maintenant! attends, . 'g*la rallum er. Nous n ’en finirons jamais! _ . Mais si, ¥ pt vous verrez clair comme en plein jour! Rien ne vaut ' t,^ ip (jtr ic ité !

1 •T u as raison. I l y a longtemps que je voulais l’installer ici, ^ Duval : cojnine j e te le disais to u t à l’heure, le propriétaire ne voum^1S’ T1 disait que, de son temps, on n ’avait pas l’électricité *alt Pf S' aves e t qu’on s’en ait bien. Jean *p r o g r

n raisonnem ent comme celui-là, il n’y aurait jamais de e t l ’hum anité en serait encore à l’âge de pierre...

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes:

1. M. Duval s ’inquiète. D e quoi a-t-il peur? 2. Pourquoi le travail avance-t-il très lentement? 3. De quoi se plaint Jean? 4. De quoi se plaint M. Duval? 5. Maintenant il arrive un p etit accident. Lequel?

6. Expliquez com m ent la bougie s’est éteinte. 7. Jean donne du courage à son cousin Duval. Que lui dit-il? 8. L’ancien propriétaire trouvait-il utile d’installer l ’électricite dans les caves Que disait-il? 9. C’était un hom m e jeune, moderne?

10. Que pense Jean du raisonnement de cet homme? Répondez p a r écrit a u x questions : 2-3-4-6-8.

•■'tcure.

11

son échelle, Jean est dans une position i n c o m m o d e pour travailler. *vol0ntJ U Poser son m a tériel électrique e t ses outils, si bien que, d un a reÇües sif’ î 3 }a*ssé éch a p p er les pinces. M. Duval qui était juste en e », Île Peut °« J ean s'excuse, e t, to u t en descendant ra™as^ gon C0Usin.

? eureuse m e n t ^ de sourire en voyant curieuse danse qu exe^ où i . Soilt souH ’ iDS Sa gesticulation, celui-ci é tein t la bougi , _je un peu de lui. Soudam plongés, M. D u v a l n e v o it pas que son cousin se moque F 195


La

c o n sé q u e n c e

et le

but

.

Si nous disons : « Jean m ettra l ’in te rr u p teu r p rès d e la p o r te p ou r an Itr allumer en entrant. » 4 e jvi. DuVaj ... cette phrase n ’ex p rim e p a s se u le m e n t u n e relatio ^ is si une relation de b u t; c ’e s t l ’in te n tio n d e J e a n , son « b u t« ^ ^ c e , mais aussi Ûval puisse allumer en en tran t dans sa c a v e. Les questions qui p ro v o q u en t l ’ex p r essio n d ’u n b u t son t « Jean m et l’in terrup teu r près de la p o rte, — Pour quoi faire? — D ans quel b u t? — D ans q u elle in ten tio n ? En français, la vo lo n té, le désir, le so u h a it, s ’exp rim en t par le subjonctif. Il est donc normal que le b u t, qui e st u n e con séq u en ce désirée, s’exprime aussi par le subjonctif. Pour exprimer un b u t, on em p loie : pou r que — de sorte que — de telle gorte que — de m anière que... su iv i d ’u n su b jo n ctif. Si les deux verbes de la phrase o n t le m êm e su je t, on em ploie une construction avec l’infinitif. M. D uval désire l ’in terru p teu r près de la porte pour pouvoir allumer en entrant dans sa cave. » Remarque : Il ne faut pas croire q u ’on n ’em p loiera ja m a is le s u b j o n c t i f p o u r exprimer une simple conséquence. Exem ple : M. D uval donne une chaise à J ea n . M ais e lle e s t trop basse et il ne peut P atteindre le plafond. On dit (expression d ’une con séq u en ce) : i 1 f nd.» « La chaise est basse, si b ien que J e a n n e p e u t pas atteindre le p a 0 o u . « La chaise est si basse que J e a n n e p e u t p as attein d re le plafond. » ou . « La chaise est trop b asse p ou r q u e J e a n p u isse attein dre le plafon Alors M. D u val lui donne une éch elle. ”* POUr puisse attein d re le p la fo n d (exp ression d ’un but).


Ê ) > ce 6 ' Aminées suivantes, composez deux . , phrases, dont pune esnri™* rn’r <*es ?auire une idée de but : ne 6^ rime «ne idée ^ / « ^ C v e V e cette taWe C5t tr ° P haUte- Je V“ 8 “ sciet k s Pi«d8, elle Mra *•

*

£

*

ta U te ‘

faefflp1,e: ^ encej j e Vais scier les pieds de cette table de sorte qu’elle sera moins haute. (C 0 g c i e r i es pieds de cette table pour qu’elle soit moins haute. ( blltJ 6

nDrim é un cours cet après-m idi. Les étudiants pourront assister à une

9 On a sUPr . ,

' nce de cinéma. SCa accorde cinq m inutes ; vous aurez le temps de réfléchir à cette ques-

3. J e voUS UOn\ moins v ite. V otre mère nous redra facilement. 4. Marc Paris tous les arrêts d’autobus sont facultatifs. Vous ferez 5' £ e bauZconducteur, l ’autobus s’arrêtera. • artir en auto avec deux amis. Nous partagerons les frais; üs ne seront 5. Je vms p g ur çâcun. n

3

a une panne de

c o u r a n t.

Je vais allumer une bougie; nous ne resterons

une question. Les étudiants la comprendront bien : Os ne feront pas d’erreur.

197 u eneratea Dy uam scanner trom intsig.com

lEÇoN

IT .

-

CO N VERSATIO N AVEC LE « N c , ^

Personnages : Le présentateur, M. Duval, Le concierge

Le présentateur : Nous snm™. j

descend chercher S de l’immeuble. ** S6aU

^ escalier de la cave. M. Duval barbon. Il rencontre le concierge

• uval: Vous savez ct„a î’ • r • e concierge : Oui, par un ri ^ staêr l’électricité dans ma cave,

est veniI)

Vouj . e ôs cousins, je crois. La première fois guil

M - D ^ v a l: J cSsI Î Sé d c s c e n d « s e u r tC m e n t d a ” S ^

ncierge ;

s^r ’ °^s 1 avez fait d’abord monter chez moi. M- Du m ]T lh ? trGt Coa“»e çaî COnnaissais Pas. Je ne pouvais pas e °ntoerge . Nion> . ,^ e connaissez p as to u s m es cousins !

aissais plusieurs, mais pas celui-là* Generated by Cam Scanner from intsig.com

Q uestionnaire

h Répondez oralement aux questions suivantes :

l Où va M. Duval? Pour quoi faire?

2. Qui est

d e v a n t l ’escalier de la cave?

. entrer dans r im meuMe 3. Le concierge laisse-t-il ™ ^ les i personnes qu’jj ne çonnajt 4. Que leur dem ande-t-il? 5. La que le concierge a v u Tean ’ a 't ’1^ laissé . Quepremière lui a-t-ilfoisdemandé? descendre à la c

9

6. Croyez-vous que c’é ta it la prem ière fois o„p T Alors, quen concluez-vous ? 4 Jean venait dans l ’immeuble? B. Répondez par écrit aux questions: 1-3-5.

Lecture.

Un des rôles d’un concierge parisien est de s’inquiéter des personnes qui entrent dans l’immeuble et de leur dem ander ce qu’elles viennent y faire. Aussi n’est-il pas étonnant que, lorsque Jean s ’est présenté pour la première fois dans l’immeuble, le concierge l’ait empêché de descendre directem ent à la cave et lui ait demandé d’aller chercher le locataire dont il se prétendait le cousin.

199

U Ç0N ff- '

CONŸERSATION AVEC LE 2e p a rtie

Personnages : M. Duval, Le concierge

^

danc 1 06 (Û6 ^ autres ^ c a ta ire s on t fait m ettre l’électricité aans leur cave?

mais ils nV)S^ UrS °n t ^ eman(ïé l’au to risatio n au propriétaire, M. Duval : Ils ips: ^ as, ®ncore fait exécuter les travaux. maintenant M*11 len^ t com m encer sans doute. Ce sera fac1e e wncierge ; ft[0; • COusin a fait er les fils près de l’escalier« kmpe dans5cet ^ ^ ^ a i au p ropriétaire de faire mettre je les ai K tCSCai lcr‘ L ’au tre jo u r, j ’avais des clés à la M n retr<mver. 0InW , et sans lum ière, je ne pouvais p*s • J-'uval : Ak ! • • nen ne vaut l’~i u t 1 électricité ! 200 u e i it:i c u e u u_y v ^ a i i l o u d i n itri

muni

ii

u ^ i y .u u i

ii

Quotttiommlro

vHipndt* «miment aux ^mtionn

,

I. .......... '"" r|,"""'llu,i"" l'nilllnr» 3. H u iilm Im'iilimv» m il-iln ..............

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'• ....... .. vu ili'iu n iiiln r 5. Pour le moment, lesoalioi* do lu «*,..« ‘ 'ni n
II. Répandis par écrit aux (jursiio,ls :

Lecture.

Q uelques jours auparavant, alors uu’ il donoondait l’oHoallor do la «mv
201 ueneraieü uy u am ^canner rrorn iritsig.com

Expression de la cause. „„»rsation, vous avez en ten d u : DanS, Ce sera facile m aintenant d’in staller l ’électricité dans les caves. __ Ah! oui, pourquoi? __ parce que mon cousin a fait er les fils près de l’escalier. I m a g in e z que nous reprenions la p résen tation du fait e t de sa cause daos réc” (au é, par exemple). Nous d iron s:

Comme le cousin de M. D u ra i a vait fait er les fils près de l’escaij,, il était devenu facÜe d’installer 1 electr.cite dans les caves et beaucoup de 1„"’ taires pensaient demander au propriétaire 1 autorisation de le faite. r

Exercice 1. Les propositions suivantes contiennent une idée de cause. E xprim ez-la en utilisant « parc que », puis dans un récit (dans le é), en em ployant : « comme ».

1. — Yous ne reconnaissez pas cette jeune fille? C’est Claude. — Non, je ne l’ai pas reconnue : elle a encore changé de coiffure. Exemple : Je n’ai pas reconnu Claude parce qu’elle a encore changé de coiffure. Comme Claude avait encore changé de coiffure, je ne l’avais pas reconnue, et j’ai été bien surpris quand Philippe m ’a dit que c’était elle qui venait de er devant nous et que je n ’avais pas saluée.

2. 11 a acheté un beau chapeau, m ais il ne le porte jamais : il a peur de l’abîmer. 3. Non, non, je n’ai pas acheté ce piano, le vendeur n ’a pas voulu me faire crédit. 4. Nous avons dû faire un long détour, la route était coupée. 5. Mais je connais très bien cette ville; j ’y ai é toute mon enfance.

6. Je ne veux pas changer de voiture m aintenant, la mienne est encore en bon état.

7. Jeannot ne veut pas jouer avec les autres enfants; il espère que viendra jouer avec lui. tion

Christiane

vont se m ettre en grève : on n’a pas satisfait leurs revendis

202

ueneratea Dy uam beanner rrom intsig.com

tisei•

, ^ la c o m p a g n i e d’electricite. .ai a ecrrt * , n’a pas encore verihe son installation. M* P * i t ••• p orCeôur q u ’ o n vienne vérifier son installation. P° ~,ioifaire " 'P „lir demander qu’on vérifie son installation, pour *1

... P 0 lu

Exercice i • Ù: ! %

tT * :d°S PhTa$eS SU im m eS' m eX P rim W t d 'ab0rd -

*«■ * cause, puie

1 II s’agit maintenant de trouver un ta x i... Exemple...: parce que nous avons beaucoup de bagages.

... pour qu’il nous conduise à la gare. 2. J’ai l’intention d’aller en Italie... 3. Je vous conseille de prendre un m anteau... 4. Je vais cueillir un bouquet de roses au jardin... 5. Assez, Colette, je vais faire disparaître cette boîte de chocolats... 6. Vous devriez noter ce renseignem ent...

vous allez au théâtre, il faut réserver vos places... 8. Quand vous arriverez à Paris, il faudra vous procurer tout de suite un plan

7. Si

de métro...

203 ueneraæ a oy uam bcanner rrom inisig.com

UEÇON 17. -

C O N V E R S A T IO N A V E C LE C O N q ^

3e partie

Personnages : M. Duval, Le concierge

Le conciera^YNZ'VOX1S ^

*ettres Pour moi?

p Iusîp ’ PaS CC Soir* P l u s ie u r s p a r m a f i l l e .

L

Ucharbon.St ***' pluîvi^g’ aussi; mais

M'

V cn i

Ge m atin> je v o u s e n ai fait mon

Maintenant, je descends

vous laisse er d e v a n t , vous

m 01'

5^ V0Us ferai voir mon installation. 204

generated oy uam bcanner trom intsig.corn

chercher

du

Questionnaire A» R epondez oralem ent a u x questions suivantes : 1. 2.

A qui le facteur donne-t-il le courrier des locataires de l’immeuble? Que fait alors le concierge?

3. M. Duval a-t-il reçu du courrier aujourd’hui? 4. Qui lui a remis ces lettres? 5. En a-t-il reçu ce soir? 6.

Le concierge va-t-il aussi descendre à la cave? 7. Pourquoi le concierge laisse-t-il M. Duval descendre le premier? 8 . M. Duval est-il fier de son installation électrique?

B. Répondez par écrit aux questions: 2-3-4-7.

L ectu re.

Quand il n ’y a pas de boîtes aux lettres individuelles au rez-de-chaussée d’un immeuble parisien, le facteur remet tout le courrier au concierge. Celui-ci le trie et donne à chaque locataire ce qui lui est destiné. Le règlement prévoit même que le courrier doit être monté dans les étages après chaque distribution de la poste. C’est ainsi que, ce matin, le concierge a fait monter, par sa fille, plusieurs lettres à M. Duval.


ont;

Verbe « nom

Exempte • On d it : , « J ’ai d e m a n d é a u p r o p r ié ta ir e q u i l m a u to rise dans la c a v e. o u : « J ’ai d e m a n d é dans la c a v e . »

au

p r o p r ié ta ir e

l ’a u to r is a tio n

à installer l’a,, !ctrici — até d ’installer H e ectticité

« J ’ai fa it in s ta lle r l ’é le c t r ic it é d a n s m a c a v e . « V en ez, j e v o u s m o n tr e r a i m o n in s t a lla t io n . » V erbes : a u to riser

N o m s d ’actio n : une autorisé

Exercice 3. Répondez en utilisant un nom d ’action : 1 . D a n s ce v illa g e , il n ’y a r ie n p o u r s e d istr a ir e ?

Exem ple: N o n , il n ’y a p a s d e d is tr a c tio n s . 2 . V ou s n ’a v e z p a s e n te n d u c e q u e j e v o u s a i ex p liq u é? 3. V ou s so r te z ? L e d ir e c te u r v o u s l ’a p e r m is ? 4. Mme D u b o is v o u s a in v it é ? V o u s a v e z r e ç u sa le ttr e ? 5. V o ilà u n p r o d u it c h im iq u e . P o u v e z - v o u s m e dire de quoi il se compose? 6 . Où e st-c e q u e l ’a u to b u s s ’a r r ê te ? V o u s p o u v e z m e le montrer? 7. E s t-c e q u e b e a u c o u p d e c h o s e s o n t c h a n g é d a n s ce tte ville depuis que]en su is p a r ti? 8 . J e v a is v o u s m o n tr e r c e q u e j ’a i a c h e té . V o u s

voulez

bien?

Exercice 4.

Au cou rs

d e la c o n v e r s a t io n , le c o n c ie r g e d it :

trouvé *

« J a i la iss é to m b e r d e s c lé s , e t s a n s lu m iè r e , j e n e

pouvais

pas k s ^ eJnplo'e'

Pour chacune des questions su iva n tes , com posez une phrase dans ^ u^ ' pogjtion et ^ rez a préposition « sa n s » (r e m a r q u e z l ’a b s e n c e d ’a rtic le entre a p

n°m)-

A votre fils occuperons e

Partez, ne soyez p a s inquiet; nous nous Exemple. Merci, je pars sans inquiétude. as fait u n b e a u d e s s in . A v a is - t u u n m o d e le ?

3. Il a c c u se so n v o is in d e lu i a v o ir v o lé s o n portefeuille» M p o u r a c c u s e r q u e lq u ’u n , n ’e s t - c e p a s ?

206


^

des pre

• de secours; vous n’allez pas le laisser? Ce blessé » beSe° ^ ain? je vais payer un supplément? C6 ce ripvoir 4 SiîeJ PreIlds r „ fait aevv« seul? Cela m’étonne. On vous a aidé? Vous »veZv iv r e z - V0US à Paris; vous avez des ressources?

7# C o ^ en

' ^ jion* ,

E st-

Exercice

it ês témoins quand le crime a été

commis?

y 8

5.

Placez c h a c u n e des phrases su iva n tes d a n s la conversation qu'elle évoque : \ Puisque v o u s in s is t e z , j e v a i s r e s t e r e n c o r e u n p e u . Exemple:

— Excusez-moi, il faut que je parte maintenant. — Mais v o u s a v e z b ie n le t e m p s . — N on, je su is p r e s s é , i l f a u t q u e j e r e n tr e . — Oh! restez e n c o r e q u e lq u e s m in u t e s ; j e v a is v o u s offrir u n café. V ous me ferez p la isir e n le p r e n a n t a v e c m o i. — B ien, p u isq u e v o u s i n s i s t e z , j e v a i s r e s t e r e n c o r e u n p eu . 2. « Jacques, p u is q u e v o u s ê t e s s i b a v a r d , r é p o n d e z d o n c à la q u estio n que je viens de p o ser. » 3. « Puisque v o u s t r o u v e z l ’é m is s io n e n n u y e u s e , n e l ’é c o u te z p a s. » 4. a Puisque l ’e n tr é e e s t g r a t u it e l e d im a n c h e , v o u s n ’a v e z q u ’à y aller ce jourlà. »

5. « Puisqu’il est prudent, vous n ’avez pas besoin d’avoir peur. » 6. « Puisque la mer e s t calme aujourd’hui, vous n ’aurez pas le mal de mer. » 7* « Puisque ce médicament est efficace, continuez à lui en donner. » 8. « Puisque vous ne devinez pas, je vais vous le dire : il m’a offert un manteau de fourrure. »

207


< C.OL

LEÇON 18. — U N RENDEZ-VO US

1re partie

Personnages : La présentatrice, M.

Ledoux

M- Ledoux est au restaurant T1 » u • • voir le boulevard. Une 01si.une bonne table d’où il peut M. Ledoux?Tei°'%î’Un geste-

US° V1Cnt de ^ présenter la carte-

JT B’ya pas beaucoup detten<^ 6 c ’e s t s a m e d i ! O i i o l l « u 6. j f t a r d e p e u t - ê t r e

lVnT.

ami’

^ a n s c e r e s t a u r a n t a u j o u r d ’h u i. e s t ' ^ d o n c ? I I e s t p r è s d e m id i.

. . D1° i n s t r o i s , e x a c t e m ' * r»e S t ^ a s e n c o r e t o u t a f “ *

Midi cinq! il n’est nas “ o ' 'l J

‘ » « jo u rs

a^

2

° u

^ est-ce que rien s

à ’ 11 C St e n

•' M i d i e t q u a r t!

6St v™ n t en retard !...

avons pris ce rendez-vous? Samedi 208


:

, 021’ i] “ e va pas tarder à arriver...

plus d’une semaine. I l a peut-être oublié? ? tfofl* 11fri va être midi et demi! Vraiment il exagère! a > veriendr9.?adSans cinq m in u t e s , j e d é je u n e r a i sans lu i. jV*'

Questionnaire ^

R épondez

oralement aux questions suivan tes:

1. Où et à q u elle h eu re M . L e d o u x a -t-il d o n n é rendez-vous à son ami? 2. Quand M. L e d o u x a r r iv e -t-il à so n ren d ez-v o u s? 3. Pourquoi M. L e d o u x c h o is it-il u n e ta b le près de la fenêtre? 4. Est-ce la p rem ière fo is q u e M . L e d o u x v ie n t d ans ce restaurant? 5. Comment e x p liq u e z -v o u s qu e , le sa m ed i, il y a it m oins de monde dans ce restaurant que les a u tr e s jo u r s d e la sem a in e?

6. M. Ledoux se r a p p e lle -t-il b ie n q u a n d il a fix é ce rendez-vous? Que craint-il alors? 7. Vers midi e t d em i, q u e d é c id e M. L e d o u x ?

8. «Ah! enfin,

le voilà

»,

s ’écrie M . L e d o u x . O ù v ie n t-il d ’apercevoir son ami?

|

B.

Répondez par écrit aux questions :

1 -2 -3 -6 .

Lecture. ipa client8’ M L ed o u x je tte un Dès son entrée d a n s l e r e s ta u r a n , i l n ’aP®rS ÜPpou rra le voir m êlûe d’ailleurs peu n om b reu x c e jo u r-la .. E t , co:m t a b le d o u ü P e n phlBt e t t

Ridez-vous, il ch o isit, p r è s d e la ^ . Son mvité n e v e n a n t p a s , Jusqu’à supposer q u e s o n a m i a p e u ' Àu bout d’u ne d em i-h eu re d a t t ^ e’ puisque 6on a m i n e p a r a ît p a s ,

e

s ’i œ ç a W “ o u b lie le u r v a in e , M . ^ e d é ie u n e r a sa n

209

Generated by CamScanner from intsig. com

d ez.v o u s.

asseZ m e ^ aJ.te n dre.

n t,

^ c,de

LE Ç O N 18. — U N

R E N D E Z -V O U s

2e partie

Personnages : L'ami, M .

L dlTll ExPIKp

tyi r\

Ledoux

*

restaurant

mc!n y*e u x ? m a is je n e su is jam ais venu dans ce

a si l o n ^ t e ° U ? S*’ ^ SU*S v e n u d é j à u n e fois, mais i y d a n s le £ S * ? a i 0 n h l i ê d e * o t e r l ’a d r e s s e , e t je cherche

M- Ledoux : Bah f o l16r

,PU1S une demi-heure.

d er le r e D a ^

* r i e n ‘ N o u s a l l o n s t o u t d e s u i t e com !”

d eu x e n tra s* p m a g e ... O u i

a d e “ lo is e 1 1 « ! D ’a b o r d , u n e

ri ^ S ’

e n tr é e , n o n j ^

U x e ô t e s d e v e a u g a r n ie s . E n s u ite ,

r,

s é r i e s . T u e s H» r ° m a S e - E n f i n , u n e p â t i s s e r i e , o u i, d e u x p ¥ * * 1 : O ui « 7 * d accord? F

M P rêsem V e u T \ XOm à f a i t ‘ W o “ * -- T u v e u x t c a f t f

f in iS S e M le U r g â t e a U ‘


-»ntni: N °n mercL D ans 1g te m p s pas so u ven t d ’ailleurs. M ais l ? p ren ^ s r Ledoux: Mais q u ’est-ce q u ’il a à je vra; MTiens le voila q u i se lè v e ! g rfJer touj 0 ®n Pr<*drai Par la ^ a ê îte p l ’aini> Excuse-m oi, je suis très p ress, Tl , suite. A u re vo ir e t m e rc i ' 1 faut f,u„ . JC Part°

t o u t

Questionnaire A, Répondez oralement au x questions suivantes : 1. Comment l ’a m i d e M. L e d o u x ex p liq u e-t-il son retard ? 2. M. L ed ou x a c c e p t e -t - il v o lo n t ie r s le s e x p lic a tio n s de son am i? 3. ce M. repas? L edoux d it : « N o u s a llo n s c o m m a n d e r le repas. » E n réalité, qui commande 4. Quel m en u M .

Ledoux

c h o is it - il?

5. L ’am i p e u t-il n e p a s ê tr e d ’a c c o r d a v e c le m en u q u e M. L ed ou x a choisi? 6. L ’ami a im e-t-il b e a u c o u p le c a fé ? 7. L ’ami s ’in té r e ss e -t-il b e a u c o u p a u r e p a s ? E n réa lité, q ue souhaite-t-il? 8. L ami e x p liq u e -t-il v r a im e n t p o u r q u o i il p a r t s i r a p id e m e n t ?

Répondez p a r écrit au x qu estio n s: 1-4-7. Lecture.

M. Ledoux e s t s i c o n t e n t d e ^ c o m m a n d e a u ssi • n les p s expH e x p l* . à neine cations que celui-ci d o n n e d e s o n r c a n u’il uit’il éco u te aà eP P ix I_prveusc. •d e„r nin ami» ieiedéieuner „ v u m e n t d e v o i r a rarriv rt sscooon a’u^ss ôAqt éco«te le d^ eU£ d o^% ulaservcusc. s’étonne 'iue celui-ci d o n n e d e s o n r e t e in u t, e t M* leAu cours du ren oe ” de AUc.ours du repas, l’ami ne parle guère, se soUd ain , refuse

y°ir regarder sans cesse par la fenetre. 2âteau, l’ainl se .„îmies mots de « le café5’ r,s (îue les deux hommes tcrminenl1 g ’eXCusc en q Ug M. Ledoux P o ^ e M. Ledoux lui offrirait bien v o lo n t.e rs^ s^ ^ que ietr°uve S ul Tne sa T cdrh a nantagC’ t q u e p eCt n s SC er T d e'ré 1 ctra t r ani ggc conduite de son *

211 nerated by CamScanner from intsig.com

LEÇON 18. — U N R E N D E Z -V O U S 3e p a rtie

Personnages : M . Ledoux, M - L ed o u x : E h h ie n ! h e u r e m o in s

Il

d ix

sem u se

n ’

! V o l^ L T ^ i°nëtemPs •' H e s t à p e i n e

I l tr a v e r s e le b o u le v a r d e n e

Je.U n e

en

une

u r i q u a r t d ’h eu re!

I e d l r , ë e v e r s c e t t e j e u n e f i l l ? “ ™ 1“ i s o ù v a ' t ‘i l ? T ic n s > !I e v a n t la p a r f u m e r ie Tr l> ■<Û1 a t t e n d d e p u i s q u e l q u e te m p s ; i,e

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f r o m a g e . M a is o u i e n s e m b le ! E h

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M- Ledoux • £ tlnutes pour déjeuner“ : Z

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re maintenant?

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à l ’h e u r e . O u i,

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p r e S d ’e l l e - 11 , u ‘ P « r l e . I l s p a r t e n t

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monsieur.

V°US n’avez paS

e o m b ie n , c e s r e p a s e x p r e ss? m o n s ie u r , s e r v ic e c o m p r is !

212

Questionnaire « 'nnndez oralem ent a u x qu estio n s su iv a n te s : ^ Hep0"1* Combien

de tem ps le déjeuner des deux amj8 a. M] d

2. P o u r q u o i 1 a m i c o u r t - il e n s o r t a n t d u r e s ta u r a n t? 3.

Où la jeune fille attend-elle l ’ami de M. Ledoux? 4 . P o u rq u o i M. Ledoux a-t-il remarqué l’arrivée de cette jeune fille? 5. Que pensez-vous de l ’e x p l i c a t i o n que l ’a m i a donnée de son retard? 6. , Q u’e s t -c e q u e j e v a i s f a ir e m a in t e n a n t ? » d it M . L ed o u x . A quoi „ense-t-il? 7. M ontrez q u e la s e r v e u s e s e m o q u e u n p e u d e lu i. 8.

Elle fait remarquer à M. Ledoux que le service est très rapide dans son restaurant. C ela f a it - il p la is ir a M . L e d o u x ?

B.

Répondez p a r écrit a u x q u estio n s :

1 -3 -4 -5 -6 .

Lecture. M. L ed o u x v o i t a v e c s u r p r is e , s o n a m i s e d irig er vers u ne jeu n e fille dont il avait ju s te m e n t r e m a r q u é l ’a r r iv é e q u e lq u e s m in u te s a u p a ra v a n t. La jeu n e fille, évidemment, l ’a t t e n d a i t e t M . L e d o u x s ’e x p liq u e l ’a t t it u d e étran ge de son ami au cours du repas. P u is , s o u d a i n , i l r e p e n s e à l a r a is o n q u e so n am i lu i a v a it donnée de son retard. C o m m e n t p r é t e n d a i t - i l ig n o r e r l e li e u d u r e n d e z -v o u s, p u isq u e, précisém ent, •lavait d em an d é à u n e j e u n e f ille d e l ’a t t e n d r e d e v a n t ce restau ran t? M. L ed ou x e s t L ie n d é ç u . E t c ’e s t a v e c m a u v a is e h u m eu r q u ’il répond à la serêuse, lorsque c e lle - c i v i e n t l u i d e m a n d e r d e p a y e r u n rep a s q u i lu i a procuré si peu

213 o c n c ia ic u

u_y \ ^ a i i u u a i 11 i c i i i u i i i ii u o i y . u u i i i

« comme » conjonction de temps. Au cours de la le ç o n , M . L e d o u x d i t : « L a je u n e fille e s t a r n v e e j u s t e c o m m e l a s e r v e u s e n on s from age. »

ait 1«

Les d e u x fa its : . , __L a je u n e fille e s t a r n v e e ; — la serv eu se a p p o r t a it le f r o m a g e , ...o n t e u lie u e x a c t e m e n t e n m ê m e t e m p s . « Comme » e s t ic i u n e c o n j o n c t io n d e t e m p s . On p eu t dire a u ssi : « L a jeu n e fille a r r iv é e a u m o m e n t o ù ( j u s t e a u m o m e n t où) la nous a p p o rta it le fr o m a g e . »

est

serveuse

Le prem ier fa it : « E lle e s t a r r iv é e » e s t c o n s id é r é c o m m e accom p li. L e deu xièm e : « la s e r v e u se a p p o r t a it » e s t c o n s id é r é c o m m e e n cours d ’accomplissem ent : c’e st ce q u i e x p liq u e le s fo r m e s v e r b a le s d iffé r e n te s pour deux faits pou rtan t sim u ltan és.

Exercice 1.

^ tan^r ^GS ônnês su ™arifes, composez une ph rase exprim an t que deux faits sont simul1. N ous som m es arrivés a u ja r d in . ce m om en t-là, il c o m m e n ç a it à p le u v o ir .

Exemple : som m es arrivés a u ja r d in j u s t e c o m m e il c o m m e n ç a i t à pleuvoir, e m e disposais à sortir. pierre est v en u ju ste à ce m o m e n t-là . ,

„

a s o n n r à I m p o r t e .0 * P a u lin e ; Je la te r m in a is , e t j u s te à ce moment-la,« e 4' ^ “ gatc,1 U partait™ 0" t t a in ’ ° h l P a$ d e b e a n c o u p : j ’en trais dans 1» « « “

5- Vous avez rencontré Lucien? 6- Quand i f vr ta,S d? !a

: 0 y entrait.

J ’allais prendre^lÎfon*^11^ CC m a t *n ’ q u ’e s t*ce q u e v o u s faisiez-


f ^ cice

“

2*

»O r > ^ ' n e v o u le z p a s d é j e u n e r t o u t d e s u it e ? use: Y oU S- A t t e n d s u n a m i ; n o u s m a n g e r o n s d è s q u ’il arrivera. h

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l dia m i e s t e n r e t a r d : i l v a ê t r e m id i e t d e m i. 1 - v r a im e n t a tte n d r e en co re? V ou s v ^ ci m i n u t e s , j e d é je u n e r a i sa n s lu i. . c ’il n e s t pa&

he\ üSe : V ° tre * la $er M.

^

Imaginer des situations où V u n d es p erso n n a g e s pronon cera la phrase donnée. Composez d’abord une c o n v e r s a t i o n , p u i s rep ren ez-la sous fo rm e de récit , comme dans l’exemple

ci-dessus. 1. « Si v o u s n ’ê t e s p a s l à à d e u x h e u r e s , n o u s p a r tir o n s sa n s v o u s. » 2. « Si v o u s n e r é s e r v e z p a s v o s p l a c e s t o u t d e s u it e , v o u s n ’e n au rez pas. » 3. « Si tu n ’o b é is p a s i m m é d i a t e m e n t , j e t e p r iv e r a i d e d e s se r t. » 4. « Si v o u s t ir e z l e s i g n a l d ’a la r m e s a n s r a is o n , v o u s a u r e z u n p rocès verb al. » 5. « S’il e st h o n n ê t e , i l r e n v e r r a l e p o r t e f e u il le à s o n p r o p r ié ta ir e . »


Exercice 3. Lisez :

M. Lcdoux dit : « Qu’est-ce que je vais faire maintenant? » La serveuse lui répond : « Il ne v o u s r e ste p lu s q u a p a y e r les d e u x repas. » C’est la situ a tio n qui n ou s fa it co m p ren d re le se n s d e la p h ra se : « V ous d ev ez p a y er les d e u x rep a s; v o u s n e p o u v e z p a s faire au tre chose. » Comparez avec la phrase suivante : « V ous av ez b ie n tô t fini de d éjeu n er? — Oui, il ne m e reste p lu s q u ’à b o ire m o n c a fé . » (Je b ois m on café, e t c ’est to u t.)

Complétez chacune des situations suivantes p a r une p h ra se u tilis a n t la construction cidessus : 1 . « J ’ai perdu m a m on tre, je l’ai ch erch ée p a r to u t, j e n e la tr o u v e pas. ». Q u’est-ce que je p eu x faire? M ’adresser au b u rea u d es o b jets trou vés? Qu’en p en sez-vou s?

E xem ple : Oui, il ne v o u s reste p lu s q u ’à v o u s a d resser a u b u rea u d es ob jets trouvés ... ou à en ach eter u n e a u tre! 2 . Les R icou so n t b ien g en tils, m ais ils m ’e n n u ie n t a v e c leu rs in v ita tio n s. Ils sa v en t que je n ’aim e p as sortir le soir, e t ils m ’o n t en co re in v ité . Je n ’ose plus ref. Q u’est-ce que je p eu x faire? 3. J ’ai dem andé cen t fois au jard in ier d ’arroser ces fleu rs. I l m e rép on d toujours « oui », m ais il n e le fa it pas. Q u’est-ce que je p e u x faire, d ites-le m oi? J ai ren d ez-vou s av ec R o b ert d em a in m a tin à 8 h eu res, m a is je ne peux pas y aller. C om m ent le p réven ir? E criv ez-lu i to u t de su ite. — Il n e recevra p as m a le ttr e assez tô t. — Il n ’a pas le télép h o n e? — N on. — A lors... 5. Q uand il é ta it en fa n t, J e a n V a ljea n a v a it fa im . P e r so n n e n e v o u la it lu i donner m em e u n m orceau e p a in e t il n a v a it p a s u n so u p o u r en ach eter.

Uites-moi ce qu’il pouvait faire? Im aginez vous-même des situ a tio n s où u n p erso n n a g e p o u r ra em ployer la fo rm e donnée.

216


gjjgfCÎCô

lisez • c o u r s de la le ç o n , v o u s a v e z e n t e n d u : AU«CQu’est-ce q u ’il a à r e g a r d e r to u jo u r s p a r la fen être? »

C’est, dans la langue parlée, une manière d’interroger sur une cause qui paraît étrange et q u i su rp ren d .

1

« P o u rq u o i r e g a r d e -t-il to u jo u r s p a r la fe n ê tr e ? » n ’est q u ’u n e in terrogation pure et sim p le su r u n e c a u s e .

Posez une question u tilis a n t la fo r m e c i-d e ssu s, a p ro p o s de chacune des phrases suivantes : 1. Cet h o m m e m a r c h e tr è s le n t e m e n t ; c ’e s t é tra n g e, n ’est-ce p as? Exemple: O ui, q u ’e s t-c e q u ’il a à m a r c h e r si le n te m e n t? 2. Les en fa n ts s ’a g it e n t b e a u c o u p ; c ’e s t b iza r re, v o u s n e tro u v ez p a s? 3. Paul, tu t ’a p p r o c h e s t o u t p r è s d e c e t t e m a c h in e ; p o u rq u o i donc? — P a rd o n ? 4. C atherine, t u t ’a p p u ie s c o n tr e le p ia n o ; p o u rq u o i? — P ard on ? 5. Vous b risez le s b r a n c h e s d e c e t a rb re! J e n e co m p ren d s p as. — C om m en t? 6. Ce p rob lèm e e s t s im p le e t v o u s le c o m p liq u e z ; c ’e s t étran ge. — C om m en t? 7. Ces d e u x h o m m e s s e d is p u t e n t ! J e n e co m p r e n d s p a s. — Oui, c ’e s t v r a i... 8. Cet a g en t e s t to u jo u r s e n tr a in d e siffler. C ’e s t b izarre, n est-ce p as? 9. D ans ce m a g a sin , c ’e s t é tr a n g e , le s c lie n te s s o n t to u jo u r s en tra in de réclam er. — V ous n e t r o u v e z p a s ? 10. Cette d a m e s ’é n e r v e . J e n e c o m p r e n d s p a s p o u rq u o i. — C’est v r a i...


LEÇON 19. -

LE RENDEZ-VOUS DE LA SEMAINE d

ERN|

1re partie

Personnage : M . Ledoux

Samedi derniVr « a n s u n res„ r e “ d e z - v o u ? p L e j> P a 8 e n C 0 r e à m

d’unp Sfl * a it

• P . ^ Une semaine

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ru d ^ n t deU ,el C

e Veau garnies, ensuite un fr ^

' d’ai,ord unc entrée, puis deux côtes age, enfin une pâtisserie. 8

218


v e r herC hé P e n d a n *

Questionnaire A Répondez oralement aux questions suivantes : 1. Où éta it M. L e d o u x sa m ed i dernier à m idi? 2. Pourquoi n ’a -t-il p a s co m m a n d é le repas dès son arrivée?

3. Quand avait-il pris rendez-vous avec son ami? 4. Que p en sa it alors M. L ed o u x ? 5. M. L ed o u x a -t-il a tte n d u lo n g tem p s?

6. Comment l ’ami a-t-il expliqué son retard? B. Répondez p a r écrit aux six questions.

Exercice 1. Pour ces questions im aginez des réponses diverses: 1. — A ce tte h eu re-ci, les train s ne son t pas très fréquents.

— Et dans la journée? 2. — II y a so u v e n t des b a te a u x pour l ’Europe? — E t des a v io n s? 3. — V ous é co u tez so u v e n t la radio? 4. — Q uand d o n n e -t-o n le s in form ation s à la radio? 5. — P ard on ,' m o n sieu r,' ily y a souvent des autobus sur cette ligne? 6. P ard on , d o cteu r, q u a n d m on m ari doit-il prendre ce médi

219


LEÇON 19. -

LE RENDEZ-VOUS DE LA

SEMAINE D

2e partie

. .

M

Personnage : M . Ledoux

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Questionnaire A Répondes oralement a u x questions suivantes :

1. Quand M. Ledoux a proposé un café à son ami, qu’est-ce que celui-ci lui a répondu : 2.

Vingt m inutes après le d éb u t du repas, qu’est-ce que l ’ami a dit à M. Ledoux?

3.

En sortant du resta u ra n t, vers qui s ’est dirigé l ’ami de M. Ledoux?

4. M. Ledoux avait-il remarqué l’arrivée de la jeune fille? 5. L’ami de M. Ledoux avait-il vraiment oublié l’adresse du restaurant? 6.

Le déjeuner a v a it-il duré lo n g tem p s?

B. Répondez par écrit aux 6 questions. Exercice 2. Lisez : M. Ledoux d it : « Nous avons d éjeu n é en u n quart d ’heure. » « Nous avons m is u n q u art d ’heure pou r déjeuner. »

Employez « en » et « m ettre... p ou r », p o u r répondre aux questions suivantes :

L — Combien de temps vous faut-il pour faire ce travail? 2.

—- Votre v o y a g e durera co m b ien de tem p s?

3. — Paul a fait sa to ile tte ? Il e st resté com bien de tem ps à la salle de bams? A

5«

*

•

*

9

Vous m ettrez co m b ien de tem p s pou r écrire cet exercice.

Il vous fa u t co m b ien de tem p s pour préparer un repas comme celu' m adam e R ob in ?

221


,

Expression du temps. (Révision générale.) Deux personnes sont en train de parler. Les paroles suivantes ont été prononcées na 1 d e u x i è m e personne. Im aginez les paroles que la prem ière avait prononcées. T 1.

H ier! J e su is allé au m u sé e d u L o u v r e . — N o n , hier, je n e su is p a s allé a u m u sé e d u L o u v re. — S i, hier, je su is allé a u m u sée d u L o u v re. — M ais, n on , je n e su is p a s en co re a llé a u L o u v re.

2. — P a u l? Il e st arrivé ce m a tin . — Oui, il e st arrivé ce m a tin . — Si, il est arrivé ce m a tin . — Oh! n on , il est rev en u ce m a tin se u le m e n t. — N on, il est rev en u ce m a tin se u le m e n t. 3. — J e suis à P aris d ep u is trois m o is. — Oui, je suis à P aris d ep u is p lu s d ’u n an . N o n , je ne suis p as à P aris d ep u is lo n g te m p s. — Si, je suis à Paris d ep u is d e u x an s.

222


___ j e su is a rriv é e n F r a n c e il y a tr o is m o is. ’

Oui, j e su is a r r iv é e n F r a n c e il y a d e u x a n s. ____ s i, je su is a r r iv é à P a r is il y a d e u x a n s. __ M ais n o n , il e s t a r r iv é à P a r is h ier seu lem en t.

5

N o n , p a s d e m a in , il n e r e v ie n d r a p a s a v a n t trois jours. — M. D u r o c n e r e v ie n d r a p a s a v a n t tro is jo u rs. ___ O ui, ils r e v ie n d r o n t d e m a in . __ S i, je sera i là d e m a in . __ J e p ars p o u r u n e s e m a in e . — O ui, il e s t p a r ti p o u r p lu s d ’u n m o is. — O h! si, m o n frère e s t p a r ti p o u r d e u x ans. — N o n , ils n e s o n t p a s p a r tis p o u r lo n g tem p s.

7 . — I l y a u n a u to b u s t o u t e s le s d ix m in u te s. — O u i, il y a u n a u t o b u s t o u t e s le s tro is m in u tes. — N o n , i l y a u n a u to b u s t o u t e s le s h eu res seu lem en t. — S i, il y a u n a u to b u s t o u t e s le s c in q m in u tes. 8 . — A u jo u rd ’h u i,

c ’e s t

lu n d i.

— N o u s s o m m e s le 2 3 fé v r ie r 1 9 6 7 . — A u jo u rd ’h u i, c ’e s t le 2 3 fé v r ie r 1 9 6 7 . — C’e s t le 1 4 j u ille t 1 7 8 9 .

223


LEÇON 20. — LE N O U VEL APPARTEMENT

1re partie

Personnages : Le présentateur, L fentrepreneur, M . Dubois

présentateur . M. D u b o is a lo u é u n n o u v e l a p p a rtem en t. Celui-ci a esoin de r é p a r a tio n s. M. D u b o is e t u n entrepreneur sont en tra m de v is ite r l ’a p p a r te m e n t. É c o u te z leu r conversation : L entrepreneur : O u i, v o y e z - v o u s , il y a b e a u c o u p de choses à les i l a ^ abor

En revanche, les canalisations d’ de changer les robinets, et commeVr^*-f® b°n état>il suffi fo r m e r cette petite pièce en salle de bah! f ireriez fai« tram" maintenant avec tous les autres travaux *l Vaut mieux le faTrê que c est une excellente idée et cette piè " -tr0UVe d’a«leurs puisque nous avons là, dans le coin ! ? 1Cnt Parf«temem vient de la cuisine. Il suffit de ’ tuXa« d’évacuation ; pour amener 1 eau, et nous avons la X T *"* de ‘»vaux droite de la fenêtre, pour un chauffe-eau k Cuisine’ à vous choisirez — qui alimentera à la f„;a v -gaZ °" élect«que, 3

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1

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e t la sa lle de

Questionnaire A. Répondez oralem ent a u x questions suivantes : 1. Q ui s o n t c e s d e u x h o m m e s ? O ù s o n t-ils ? 2 . Q ue v ie n n e n t - ils d e f a ir e ? 3. D é c r iv e z l ’a p p a r t e m e n t d a n s s o n é t a t a c tu e l. 4. Q u elle e s t la c o n c lu s io n g é n é r a le d e la v is it e d e l ’entrep reneur? 5 . P o u r q u o i l ’e n t r e p r e n e u r e x p r im e - t - il im m é d ia te m e n t c e tte con clusion brutale? 6 . E n q u e l é t a t e s t l ’in s t a lla t i o n é le c tr iq u e ? 7. S u ffira -t-il d e la r é p a r e r ? 8 . L ’in s t a lla t io n d ’e a u e s t - e lle e n b o n é t a t ? E s t-e lle p a rfa ite? 9. A c t u e lle m e n t , l ’a p p a r t e m e n t a - t - il u n e sa lle de b a in ? 10. Q ue d é s ir e r a it M . D u b o is ? H» L a t r a n s fo r m a t io n d ’u n e p e t i t e p iè c e e n s a lle d e b a in e st elle p o ssib le. 12. Q uel sera l ’a v a n t a g e d e p la c e r ’ le c h a u ffe -e a u d a n s la c u is in e .

Répondez p a r écrit a u x questions : 2 -3 -7 -8 -9 -1 0 .

225


leçon

20.

-

LE NOUVEL APPARTEMENT

2e partie : Je crois que ma femme préfère un chauffe-eau à gaz. Qu’en pensez-vous ? V en tre p re n e u r : Oh! les deux ont leurs avantages et leurs inconvénients. De toute façon ils sont aussi faciles a installer 1 un que 1 autre; un appareil à gaz est peut-être moins coûteux et tient certaine ment moins de place; de plus, il vous donne de l’eau chaude courante, sans limitation. M. Dubois: Bien. Nous sommes donc d’accord sur la question de l’éclairage et de l’eau. Quelles autres réparations prévoyezvous? V e n tr e p r e n e u r : Eh bien, puisque l’appartement vous plaît dans sa disposition actuelle, et en fait il est vraiment très bien, il n’y a pas à envisager de gros travaux de maçonnerie. M. Dubois : Mais voyez, les portes, les fenêtres, ferment très mal. U e n tr e p r e n e u r : Ce n’est rien. Notre menuisier va réparer cela. Mais ce sont surtout les planchers qui m ’inquiètent un peu; voyez, ici, par exemple, voilà des lames à changer, et j ’en ai remarqué aussi dans la chambre, quelques-unes qui sont pourries et doivent être remplacées. M. Dubois : Je crains que ces travaux ne soient très longs et coûteux. L 'e n tre p re n e u r : Oh! non, ce ne sera pas très long. Une semaine, dix jours au plus. A quelle date comptiez-vous déménager pour vous installer ici? M. Dubois : A la fin du mois, si c’était possible. L en trep ren eu r : Oui certainement, les ouvriers pourront venir dès lundi prochain. M. Dubois : Et... le prix? L en trep ren eu r : Il m ’est difficile de vous le dire d’une manière très précise. Il faudra compter entre 4 et 5 000 francs; c’est la main-d’œuvre qui est chère! Cela dépend aussi des matériaux que vous choisirez, des peintures, des papiers peints, les PrL sont très différents. Notre décorateur est ju stem en t au ^ u r ®.3 en ce moment. Si vous avez une minute, et si vous v°u mr avec moi, vous pourriez vous entendre avec lui au s J M

D u b o is

M Du h

C° ^ eU rS’ e t des P a p ie rs ...

M. Dubois : D accord. Je vou s suis.

226


Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1. D ’a p r ès c e t t e c o n v e r s a t io n , co m p a rez les a v a n ta g es et les inconvénients d ’un c h a u ffe -e a u a g a z e t d ’u n ch a u ffe-ea u électriq u e. 2. M. D u b o is p r e n d -il u n e d é c isio n a u su jet du chauffe-eau? 3. M. D u b o is d it : « N o u s s o m m e s d ’a ccord ... » Sur quoi est-il d ’accord avec l ’e n tr e p r e n e u r ? 4. D a n s c e t a p p a r t e m e n t , M. D u b o is a d em an d é une transform ation. Laquelle? 5. E n a - t-il d e m a n d é d ’a u tr e s ? P o u r q u o i? 6 . Q u ’e s t -c e q u e M . D u b o is a s u r to u t rem arq u é au cours de sa visite? 7. Q u ’e s t- c e q u i a s u r t o u t frappé l ’entrepreneur? 8. Q ue c r a in t M . D u b o is a u s u je t d es rép aration s à effectuer? 9. D ’a p rès l ’e n tr e p r e n e u r , les tr a v a u x sero n t-ils longs? 10. L ’e n tr e p r e n e u r d o n n e -t-il u n p rix précis p o u r les travau x? Pourquoi?

11. C o m m e n t l ’e n tr e p r e n e u r j u s t if ie - t - il le p rix élev é des travaux? 12. M. D u b o is s o r t a v e c l ’en trep re n e u r . O ù v o n t-ils? 13. L a s e m a in e p r o c h a in e , q u e ls o u v riers l ’en trepreneur enverra-t-il dans 1 apparte m e n t? Q u e fera c h a c u n d ’e u x ?

Répondez p a r écrit a u x questions : 6 -7 -9 -1 0 -1 3 .

.ne, no...... 4 1 7UU|

Le pronom relatif « dont ». 1 . E n a rriv a n t à so n b u r e a u , l ’e n tr e p r e n e u r d it à M. D u b o is : — J e v o u s p r é se n te le d é c o r a te u r d o n t j e v o u s a i p a rlé to u t à l ’heure dont e s t c o m p lé m e n t d u v e r b e : p a rler (il a p a rlé d u décorateur à M. D u b o is.) L e d éco ra te u r d it : — V o ilà d es p a p iers p e in ts d o n t m es c lie n ts s o n t très con ten ts. (Mes clie n ts s o n t c o n te n ts de ces p a p ie r s -p e in ts = ils e n so n t contents). — C’e s t u n p a p ier q u i n e c o û te p a s ch er, q u e j e v o u s co n seille e t dont vous serez sa tisfa it. M. D u b o is d it : — M a fem m e m ’a c o n d u it d a n s u n m a g a sin o ù e lle m ’a m on tré le chauffeea u d o n t elle a en v ie .

Autres exemples : — V o u s v o u s s o u v e n e z d e J u lie tte ? — M ais o u i, c ’e s t u n e je u n e fille d o n t j e m e so u v ie n s très bien. — V o u s a v e z des o u tils? — Ils so n t d an s c e tte ca isse ; p ren ez c e u x d o n t v o u s a v ez besoin. D a n s ces e x e m p le s, dont e s t v erb a le.

c o m p lé m e n t

d ’u n v erb e

ou

d ’une locution

2 . A u cours de la v is ite , M. D u b o is m o n tre u n e p e tite p ièce à l ’entrepreneur. Q u elle p ièce? — I l lu i m o n tre la p ièce q u ’il d ésire faire tra n sfo rm er en sa lle de bains. ou : ■ I l lu i m o n tre la p ièce d o n t il d ésire la tr a n sfo r m a tio n en salle de bains. L ’en trep ren eu r lu i d it :

M ais o u i, c ’e s t u n e p iè c e d o n t la tr a n sfo rm a tio n en salle de bain e s t t o u t à fa it p o ssib le. D a n s ces d e u x p h ra ses, dont e s t c o m p lé m e n t d ’u n n o m (la transformation).


Exercice. Compléta chacune des conversations suivantes par une phrase dans laquelle vous utiliserez le pronom d o n t : — C ette d a m e e st to u jo u rs très occupée, n ’est-ce pas? .— O h! o u i, la p rin cip a le o ccu p a tio n de cette dam e est de jouer au x cartes. __ D e q u i p a rle z-v o u s?

Exemple : __ N o u s p a rlo n s d ’u n e d am e d on t la principale occupation est de jouer aux rnrtfis.

2.

P o u r v o u s , F ra n ça is, le v in est un produit im portant, n ’est-ce pas? C erta in em en t. L a p ro d u ctio n et aussi la consom m ation du vin sont im por ta n te s e n F ra n ce. — Q ue d ite s-v o u s ?

3. — V o u s a v e z e n te n d u ce ch ien ; il a crié to u te la nuit. — O ui, ses cris o n t rév eillé to u t le quartier. — D e q u el ch ien p a rlez-v o u s? 4. — V ou s a v e z v u c e tte v o itu re? E lle est curieuse. — O ui, j e p en se q ue c ’e st u n e m arque étrangère peu connue en . — D e q u elle v o itu r e s ’a g it-il? 5. — J ’a i reçu u n v ie il am i hier. Sa v isite m ’a fait vraim ent plaisir. — P a rd o n , qui a v e z -v o u s reçu hier? 6. — — — —

On v a con stru ire u n e a u to ro u te de 200 kilom ètres. O h ! la r éa lisa tio n d e ce p ro jet n ’e st pas pour dem ain, B ie n sû r, elle d em an d era plusieurs années. D e q u el p r o je t s ’a g it-il?

7. — J e v a is recev o ir u n m a n d a t par la p o ste. V ous croyez que le p aiem en t p eu t être effectu é à m o n d o m icile? — Q u el e s t le m o n ta n t de ce m an d at? — 2 0 0 0 fra n cs. — O h ! n o n , ........................................................... 8 . — J ’ai cassé la ferm etu re de m on sac. — Ce n ’e st p as b ien grave. T u n ’as q u ’à le porter dans un m agasin et tu dem an deras q u ’on te le répare. — Q u’e st-c e q u e je dirai à l ’em p lo y é du m agasin . — E h , b ie n t u lu i d ir a s .....................................

229


LEÇON 21. -

LE SOIR DE NOËL

1re partie

Personnages : Le présentateur, La mère, Le père

Le présentateur : Le 24 décembre au soir.To '

SOnt

“Sk SaIIc à manger- C’est le

L a mèrede : MNoël, a in te nje a n tl’ai q u e laio le s p-n fj i n t e dorment, j va donc chercher l’arbre

deux gros paaupta ri ^ t311S v°iture. Tu trouveras aussi enfants. Monte-les en1)«*6 °0^rc : ce sont lcs jouets pour les lourd. Pendant ce temps ^ S‘ le Sapin n’est paS tr°P x que j ’ai bien pu en faire ? chercher le . Qu’est-ce tn i’as sine. Je me rannon 011,etre dans le grand placard de la cuile sapin, fai mi«: t G?UCÎ an dernici%quand nous avons défait ° es les décorations dans une grande b o î t e , 230


su r le r a y o n ,d u h a u t. J ai d û m e ttr e le su Ip I------p o r t IV,d an s le m êm e p la c a r d , e n b a s .

Le p ère: O u i, c e r ta in e m e n t. B o n , je d e sc e n d s , je r e v ie n s to u t de su ite. Le présentateur : L e p è r e r e v ie n t , très ch a rg é. Il p o rte u n én o rm e sap in d e N o ë l fic e lé , d es p a q u e ts . L a m ère a o u v e r t sur la ta b le u n e g r a n d e b o it e . E lle en s o r t d es g u ir la n d e s, d es b o u les b r illa n te s d e t o u t e s le s c o u le u r s . E lle a p o sé le su p p o r t du sa p in par terre, p rès d e la c h e m in é e , à d r o ite .

Le p è r e : B r r ! il n e f a it p a s c h a u d . I l c o n tin u e de n eig er, tu sa is. J e su is sû r q u ’il y e n a d é jà au m o in s cin q c e n tim è tr e s. Si ça d u re t o u t e la n u it , le s e n fa n ts p o u rro n t faire u n b o n h o m m e d e n e ig e d a n s le ja r d in d e m a in m a tin . La mère : E t t u ira s s û r e m e n t le s a id er. T u es a u ssi e n fa n t q u ’e u x . Le père : A h ! o u i, j ’a im e la n e ig e ! U n N o ë l sa n s n e ig e , ce n ’e st p as u n v r a i N o ë l! Le présentateur : I l a p e r ç o it le s u p p o r t. Le père : A h ! t u l ’as t r o u v é . B r a v o . O n le la isse ici? Ça m e p a r a ît b ie n , à c ô té d e la c h e m in é e . E t si j e le m e tta is p lu tô t de l ’a u tr e c ô té , o n n e s e r a it p a s o b lig é d e c o n d a m n e r la p o r te c o m m e l ’an d ern ier. L a mère : O u i, c ’e s t u n e b o n n e id é e . A t t e n d s , je v a is e n le v e r la p e t it e t a b le , t u a u r a s d a v a n t a g e d e p la c e .

Questionnaire

6 . Q ui a a c h e té le s a p in ? O ù e s t-il en ce m o m e n t? 7. Q u ’e s t-c e q u e la m ère a a c h e te é g a le m e n t? 8 . E s t-c e l ’h a b itu d e , d a n s c e t t e fa m ille , d in sta lle r u n arbre de N o ë 9. Q u ’e s t-c e q u e le p ère d e s c e n d ch erch er?

_

1 0 . Q u ’e s t-c e q u e la m ère v a ch erc h e r d a n s le p la ca rd d e la cuis' 11. Q u el te m p s fa it-il c e t t e n u it-là ?


12. Q u ’e s t - c e q u e le p ère e sp e r e . 13 Où v o n t-ils p lacer le sa p in ? 14* P o u r q u o i n e le m e tte n t-ils p a s à la m ê m e p la c e q u e l ’an d e r n ie r ?

B.

R épondez p a r

é c r it a u x

q u e s tio n s :

3-4-6-10-11-12.

Expression de l ’irr é e l. L a fem m e d it à so n m ari : « Si le sa p in n ’e s t p a s tro p lo u r d , m o n te lë s p a q u e ts en m êm e tem p s. » ou : « Si le sa p in e s t trop lo u rd , n e le s m o n te p a s , t u red esce n d ra s les chercher. » « Si le sa p in e s t tro p lo u rd . » « Si le sa p in n ’e s t p a s tro p lo u rd . » .... so n t des h y p o th è se s rée lle s. L a ré a lité e s t q u e le m ari n ’a p a s t r o u v é le s a p in tr o p lo u rd e t q u ’il a monté les p a q u e ts en m êm e te m p s. Im a g in o n s q u ’il a tr o u v é le sa p in tro p lo u rd . (Ce n ’e s t p as réel p u isq u e j u s t e m e n t il n e l ’a p a s t r o u v é tro p lourd.) Im a g in o n s q u ’il n ’a p a s m o n té le s p a q u e ts en m ê m e te m p s . (Ce n ’e s t p a s réel p u isq u e j u s t e m e n t , il le s a m o n té s .) A lors n o u s d iron s : « Si le m ari a v a it tr o u v é le s a p in tr o p lo u r d , il n ’a u r a it p a s m on té les p a q u e ts en m êm e te m p s . » L ’h y p o th è s e irréelle s ’e x p r im e p a r u n « c o n d itio n n e l p a s s é » (a u ra it trou vé — a u ra it m o n té ). A p rès u n « si » (d e c o n d itio n ), la g r a m m a ir e o b lig e à em p loyer le « p lu s-q u e -p a r fa it » ( a v a it tr o u v é ). R em a rq u o n s q u e c ’e s t s e u le m e n t a p rès q u e le m a ri a m o n té le s p a q u e ts, c’està dire q u a n d la r é a lité e s t c o n n u e , q u e l ’o n p e u t e x p r im e r l ’irréel. A in si, si n o u s s o m m e s sû rs q u e P a u l n ’a u ra p a s d e v a c a n c e s l ’é té prochain, n o u s p ou rro n s dire : « S i P a u l a v a it e u d es v a c a n c e s l ’é t é p r o c h a in , il s e r a it a llé e n Ita lie . » L ir r é a lité n ’e s t p a s lie e a u n e n o t io n d e t e m p s .


Exercice 1. Complétez 1. — — —

les co n versa tio n s p a r l'expression d'une irréalité ■ V ous a v ez a ch eté le livre cnio • i ' C‘ N o n , ex cu sez-m o i, je ne m ’en suis n** ?!n.am!é? C’e st d o m m a g e! rappelé le titre; je ne l ’ai pas acheté.

E xem ple: « O ui, c ’e s t d om m age; si je m ’étais rappelé le titre, je l’aurais acheté. »

2' ~

c e tte d â m e .qUC V° US n’aVCZ ^ ra'Cnli’ m° nsi'" r’ 1 “ — M ais, m on sieu r l’agen t, j ’ai ralenti. — P as du to u t, m o n sieu r,..........

- u s avez renversé

3. — L e sp ecta cle é ta it m erveilleux, hier. Vous y avez assisté? — N o n , je n ’ai pas pu y aller. — C’e st d o m m a g e! ............ 4. — V ous n ’a v ez pas am élioré votre prononciation, monsieur. Est-ce que vous sa v e z p ou rq uoi? — C’e st p eu t-être parce que je ne suis pas allé souvent au laboratoire. — E x a c te m e n t, m o n sieu r,............ 5.

T u v o is, tu n ’as pas accepté que je t ’accompagne et tu t ’es trompé de rou te. — C’e st v ra i! ............

6.

— V ou s sa v e z q u ’on a proposé à Philippe une bourse pour aller er six m ois à l ’étran ger et q u ’il a^ refusé. — V ra im en t, il n ’a pas accepté? N 1 9 — N o n . Q u’est-ce que vou s auriez fait a sa place.

7. -

Z 8

_

Pierre, v o u s n e réfléch isse, pas assez, vous répondez trop vite et vous vous trom p ez. ^ e t t e question n’était pas difficile . . . . . . J e t ’ai d it de faire a t.e u tio n , M ichel, quand tu manges nue glace. Regar

' _ M ais! — “ r* — N o n , M ichel, ............

—

233


,

LEÇON 21. — LE SOIR DE NOËL

2e partie

Personnages : Le présentateur, Le père, La mère

L e présentateur : L e p è r e r e m a r q u e le s s o u lie r s d e s e n fa n ts , ju ste devant Le La

Le

La

la c h e m in é e . père : I ls n ’o n t p a s o u b lié d e m e t t r e le u r s so u lie r s. E t jam ais je ne le s a i v u s a u s s i b ie n c irés. mère : O h ! j e n ’a i p a s e u b e s o in d e le u r d ire d e u x fo is de les nettoyer. J ’a i s e u le m e n t f a it r e m a r q u e r q u e j e sera is é to n n é e si le Père N o ë l m e t t a it d es j o u e t s d a n s d e s so u lie r s sa le s : cela a suffi. p ère : I l e s t tr è s b e a u , t o n s a p in : i l f a it a u m o in s d e u x mètres. L e tr o n c b ie n d r o it, le s b r a n c h e s b ie n h o r iz o n ta le s , il sera fa c ile à d éco rer. mère : J e v a is le fa ire t o u t d e s u it e , j ’a i t o u t ce q u ’il fa u t. J e n ’ai pas r a c h e té d e g u ir la n d e s , s e u le m e n t q u e lq u e s b o u le s rouges et ja u n e s , o n e n a b e a u c o u p c a ss é l ’a n d e r n ie r : c ’e st si fragile, c e v e r r e m in c e . T ie n s , si t u v o u la is m e tt r e t o u t d e su ite l ’étoile, e n h a u t , m o i, j e n e su is p a s a s s e z g r a n d e . O h ! j ’ai o u b l i é de m e tt r e ce v ie u x ta p is d e s s o u s , a id e -m o i, s ’il t e p la ît. Soulève le s a p in . C ’e s t t e lle m e n t d iffic ile , a p r è s, d ’e n le v e r la bougie fo n d u e su r le p la n c h e r .

Le père : Q u ’e s t -c e q u e je p e u x fa ir e e n c o r e ? L a mère : T u as d e s b o u g ie s , là , d a n s la p e t i t e b o ît e . S i tu veux m e tt r e d a n s le s p o r te -b o u g ie s e t le s fix e r a u x branc es^J e la is s e le s j o u e t s d a n s d es p a p ie r s : « ils » s o n t te lle m e n t i r e u x d e d é fa ir e e u x -m ê m e s le u r s p a q u e ts . L à ... m aintenu le s b o n b o n s a u c h o c o la t. v 0 jr Le p è r e : P a s tr o p , s ’il t e p la ît , p a s tr o p . J e n ’a i p a s e n v ie de es a u li t j u s q u ’à la fin d es v a c a n c e s .

234 aieu uy o a m ^ u a n n e i uum iriibiy.curn

La mère : Moi non plus, tu as raison. Et avec m,Y n

encore pour le jour de l’An.. ^ Vont recev<>ir Le père: II est vraiment magnifique » Si nn 1 * 1 1 • • minute, pour voir l’effet... 1allumait, rien qu’une La mère: Non, • j c’est défendu. Si tu allumes maintenant, le üère Nnpl ne viendra pas pour toi. ^ Le père : Ah! parce qu’il peut venir aussi pour moi? La mère: Tout est possible! Noël, c’est d’abord la fête de l’espoir. Tu pourrais mettre ton soulier à côté de ceux des enfants, par exemple. Le père : C’est ce que je vais faire tout de suite. Et, par la même occas l o n 5 j’y mettrai aussi le tien! Qui sait?

Q u e s tio n n a ire

A . R épondez oralement aux questions suivantes . 1. A v a n t d e s e co u c h e r , q u ’e st-c c q u e les en fan ts on t m is d ev a n t la chem inée? P o u r q u o i? 2 . Q u e r e m a r q u e le p ère? i; ? 3 . P o u r q u o i le s e n fa n ts o n t-ils h ien c.re leurs « o ' r s 4 . E s t-c e u n g ra n d s a p in ? P o u rq u o . sera-t-d facde a 5. 6. 7. 8. 9.

Q ui v a m e ttr e l ’é to ile en h a u t . Q u ’e s t-c e q u e la m ère p la ce, su r le Plonchcr; P e n d a n t q u e la m ère d éco re le sa p m , q ^ P o u r q u o i la m ère la iss e -t-e lle le s J P o u r q u o i le p ère n e v e u t-d p as d on ner a

a u c h o c o la t? , * 9 10. L e s a p in e s t p rêt. Q ue p rop ose le p ere. 11. L a m ère refu se. P o u r q u o i. nirlpaux? 1 2 . L es p a r e n t s se f e r o n t- ils a u ssi des c a d e a u x . B . Répondez p a r écrit aux questions . 1 3 6 9


SOus le sapin? Pourquoi? aSOfaire ,e ' ère? ^ papiors? en fan ts beaucoup de bonbons

Expression de la probabilité. L a m ère d it : « J ’ai d û m e ttr e le s u p p o r t d a n s le p la c a r d . » C’e s t p ro b a b le , ce n ’e s t p a s c e r ta in . E lle p o u rra it dire a u ssi : « J e l ’a i p r o b a b le m e n t m is d a n s le p la c a r d . » « J e l ’ai sa n s d o u te m is d a n s le p la c a r d . »

Exercice 2. Complétez ces conversations en exprim ant une p ro b a b ilité à l'aide du verbe « devoir ». 1. — A la in n ’arrive p a s. — I l a sa n s d o u te m a n q u é so n tr a in . Q u ’e n p e n s e z -v o u s ? Exem ple : O ui, il a d û m a n q u er so n tr a in . 2 . — M au rice n ’e s t p a s là ? — N o n , so n p ère l ’a p r o b a b le m e n t e m m e n é a v e c lu i. V o u s n e pensez pas? 3. — R en é é t a it très fa tig u é . L e d o c te u r lu i a sa n s d o u te co n seillé de rester au lit. V ou s n e cro y ez p a s? 4 . — J a c q u e s e st de m a u v a ise h u m eu r. — I l s ’e s t p e u t-ê tr e d isp u té a v e c ses a m is? — A h ! o u i, c ’e s t p o ssib le ....... 5- — J e ne co m p ren d s p a s p o u r q u o i m o n p r o b lè m e n ’e s t p a s ju s te . — V o u s a v e z p r o b a b le m e n t fa it u n e erreur d a n s u n e o p éra tio n . — A h ! o u i, c ’e st b ie n p o s s ib le ....... 6*

E x c u se z -m o i, je n e tr o u v e p a s m o n d e v o ir d a n s m a se r v ie tte . — V o u s l ’a v e z sa n s d o u te o u b lié c h e z v o u s . — O u i.......

7- — V o u s té lé p h o n e z ch ez le s D u p u is ? — O ui, m ais o n n e rép o n d p a s. Ils so n t p r o b a b le m e n t p a r tis e n v a c a n c e s . — C’e s t b ien p o ssib le ....... V o u s a v e z v u ce p a u v r e h o m m e ; il e s t c o u v e r t d e sa n g . Il a p r o b a b lem en t eu u n a c c id e n t. O ui, v o u s a v e z ra iso n , .......

236 InL;..


r

e t |e fu t u r .

iw r

la c o n v e r s a t io n ,

vous avez entendu :

A“ ‘,°Va chercher le s a p in . « v a J\ iPS p a q u e ts e n m e m e t e m p s . >Î0Mais le s a p in e s t t r è s lo u r d . " Alors, t u m o n te r a s le s p a q u e t s a p r è s . » A m and e, u n o r d re, u n c o n s e il, s ’e x p r im e n t à l ’im p é r a tif n “ primer par le f u t “

d e l m d ic a Ü f '

l ’o rd re E

aussi t as ? la accom plir P

^ ■ fo r te m e n t

Exercice

3.

T ra n sfo rm es

les phrases su iva n tes de m an ière

à

em ployer le fu tu r de Vindicatif:

1 S’il pleut, a b r ite z -v o u s s o u s u n a r b r e , v o u s e n tr o u v e r e z b ie n un.

Exemple: S’il p leu t, v o u s v o u s a b r it e r e z s o u s u n a rb re. 2. Si vous avez b e s o in d ’u n r e n s e ig n e m e n t là - b a s , a d r e sse z -v o u s à u n agent. 3. Pendant m on a b s e n c e , a r r o s e le j a r d in , s ’il t e p la ît . 4. Faites bouillir l ’e a u p o u r p r é p a r e r la s o u p e . 5. Allez au jard in , si v o u s v o u l e z , c e t a p r è s - m id i, m a is n e cu eillez pas les fleurs, elles ne son t p a s à n o u s . 6.

Expédiez le courrier avant

6

heures, n’est-ce pas?

Je vous d on ne d e l ’a r g e n t p o u r u n e s e m a in e , m a is n e le g a sp ille z p as le prem ier jour. 8.

Mets ton manteau maintenant; ôte-le plus tard si tu as trop chaud.


Exercice 4.

A u cours du dialogue, la m ère se d em a n d e où elle a m is le en a fait. Pour bien exprim er q u ’elle n e se le rap p elle pas elle dit : ’

W e

« Qu’est-ce que j ’ai bien p u en faire? » Son mari p eu t lui répondre : « Oui, où est-ce que tu as bien pu le m ettre? « Cette construction (d ’exp ression orale) e st p ossib le avec la plupart rlPS ™ •r '-ici' mots m terrogatiis : Quand est-ce qu’il a b ien pu ...? Com m ent est-ce qu’elle a b ien p u ....? Qui est-ce qui a bien p u ...? A vec quoi est-ce qu’ils o n t b ien p u ...?

,

On peut la trouver dans un p résen t : « Où est-ce qu’il p eu t b ien être? » ou un futur : « Qu’est-ce qu’il pourra b ien faire, seu l, là -b a s? » ou à l’éven tu el : « Qu’est-ce que je pourrais b ien faire? »

Terminez chacune des conversations suivan tes en u tilisan t la form e ci-dessus. 1* — Michel a m al au v en tre. Il ne v eu t pas dire ce q u ’il a m a n g é? — N on. Exemple : « Qu’est-ce qu’il a b ien p u m an ger? » 4â\n ’ tes grands-parents t ’o n t a p p o rté u n cadeau. — Quel cadeau? — Je ne sais pas.

Je ne trou ve pas ce liv re. J e n e sa is v r a im e n t p as où je l ’ai mis. ^

~ ................................................ 4- — Françoise est sortie? — Oui.

— V ous ne sa v ez pas où elle e s t allée?

' ou> pas du tout.

238


5 . — J ’ai m is u n e b o îte de ch o co la ts d an s le b u ffet. U s n ’y so n t p lu s. Q u elq u ’un les a p ris. 1 ^ — Q ui? — V r a im e n t, je n e sais p a s.

6 . — J e sa is q u e j ’ai p rêté ce d isq u e à q u elq u ’un. — V o u s n e v o u s ra p p ele z p as à qui? — N o n , p a s d u to u t.

7.

M a d a m e D u m o n t, v o s en fa n ts m ’o n t v o lé m es p om m es. J e m e d em a n d e c o m m e n t ils o n t grim pé sur l ’arbre. — O ui, il e s t très h a u t.

8 . — O u i, la p o rte é t a it ferm ée à c le f e t il l ’a ou verte. — A v e c q u o i? I l n ’a v a it p as la clé. — C’e s t v r a i ........................................

Exercice 5.

Im pératif et infinitif. « P r e n e z d e u x œ u fs, b a tte z les b la n cs en n eige. » On d it (d a n s le s r e c e tte s d e cu isin e, p ar ex em p le) « P ren d re d e u x œ u fs, b a ttr e les b la n cs en n eige. » On em p lo ie l ’in fin itif au lie u de l ’im p ératif.

Voilà une recette. Exprim ez-la d ’abord en employant le futur pu is l im pératif : J e te z en p lu ie le c o n te n u de ce p a q u e t d ans u n dem i-litre d eau froide. F a ite s b o u illir p en d a n t d e u x m in u te s , p u is la issez cuire à feu d o u x p en d a n t u n e d em i-h eu re. A jo u te z un m orceau de beu rre. S erv ez très ch au d .

239 !


Personnages : Le présentateur. Deux pauvres (Les deux « clochards » de la leçon 19 de V I F , 1er degré)

Le présentateur

: Deux « clochards »sont au coin d’une rue près d une

église; il est minuit é. Premier pauvre : Dis donc, pendant que les autres feront le réveillon, qu’est-ce que nous ferons, nous? Deuxième pauvre : Je ne sais pas, mon vieux. Nous pourrions peutêtre aller dans un café chic. Pendant que je parlerais avec e garçon pour l’occuper, toi, tu erais entre les tables avec ton chapeau... Premier p a u v re : Mais c’est défendu, même pour Noël. Depuis que 3e me suis fait mettre à la porte, je me méfie. . Deuxième p a u v r e : C’est vrai; il ne faudrait pas er notre; nui de Noël au poste : il n’y fait pas beaucoup plus chaud qu ici* Premier pauvre : Oui, il ne fait pas chaud à ce coin de rue, et depu ^ que nous sommes là, nous n’avons pas vu er beaucoup monde. 240


Deuxième pauvre : Tiens, regarde, pendant que nous parlions on a

ouvert les portes de l’église. Les gens'sortent de la is s e de Approchons-nous. Deuxième pauvre : Allez, tends ton chapeau, je vais chanter. (Il chante.) Premier pauvre : Merci, messieurs, Merci, mesdames. Joyeux Noël à vous tous ! D eu xièm e pauvre : Tiens ! de la neige ! C’est la première fois qu’il neige cette année. P rem ier pauvre : C est beau, la neige! Quand j’étais petit, je l’aimais beaucoup. Mais depuis que je suis vieux et que j’ai des douleurs, elle me fait peur. Nous allons être transformés en bonshommes de neige. D eu x ièm e p a u v re : Ou en Père Noël! P re m ie r p a u v r e : Ce sera notre façon de fêter Noël. D eu x ièm e p a u v re : Depuis qu’il neige, les gens marchent plus vite. Ils sont pressés d’aller se mettre au chaud et de réveillonner... P re m ie r p a u v r e : Oui, moi aussi, je rêve d’un bon feu et d’une dinde rôtie. D eu x ièm e p a u v r e : Ferme les yeux. Imagine le feu, la dinde, les marrons, le champagne... P r e m ie r p a u v re : Pendant que nous y sommes, rêvons que nous avons vingt ans et que nous sommes riches! P rem ier p a u v re :

Questionnaire A. Répondez oralement aux questions suivantes : 1 Quand se e cette scène? Quels en sont les deux personnages? Ou se trouvent2

. L’un des pauvres propose qu’ils entrent dans un café. Pour quoi faire?

3. 4. 5. 6. 7. 8.

L’autre refuse. Pourquoi? Qu’est-ce qu’ils attendent devant cette eghse Y a-t-il beaucoup de ants, à ce momcnt-la. Est-ce qu’il a beaucoup neigé a v a n t ce N o e . Qu’est-ce que le premier pauvre pense e Quels sont les rêves de ces deux pauvres.

B . R épondez p a r écrit aux questions : 2 -3 -4 -6 -S .

241

Expression de la concession. Exemple :

_ « J e p o rte u n gros m a n te a u d e la in e : j e n ’a i p a s fr o id . » J e n ’ai p a s fro id e s t u n e c o n s é q u e n c e a t t e n d u e . rlp « J e p o rte u n gros m a n te a u d e la la in m ee , Ji ’a .a i. fr o id ^q u a^n d m ^ ê m e . ^» « J ’a i fr o id ' » e s t u n e c o n s é q u e n c e o p p o s é e à c e lle q u e n o u s a tte n d io n s d e la ca u se : « J e p o r te u n g ro s m a n t e a u d e la in e . »

U n e « co n cessio n » e s t u n e c o n s é q u e n c e o p p o s é e à u n e c o n s é q u e n c e a tte n d u e . D a n s l’ex p ressio n o ra le : « q u a n d m ê m e — t o u t d e m ê m e » s o n t u t ilis é s p o u r exp rim er u n e co n cessio n . D a n s l’ex p ressio n écr ite, o n d it : « J ’ai froid m a lg ré m o n g ro s m a n te a u d e la in e . » « B ie n q u e j ’aie u n gros m a n te a u d e la in e , j ’a i fr o id . » « b ien q u e » e s t s u iv i d ’u n s u b jo n c tif.

Exercice 4. Voilà des phrases d'expression orale. Reprenez les m êmes idées en u tilisa n t la conjonction « bien que » ( expression écrite). 1. — O ui, b ie n en te n d u , c ’e s t d é fe n d u ; m a is b e a u c o u p d e g e n s tr a v e r s e n t to u t de m êm e en deh ors d es p a ssa g e s c lo u té s . Exemple : B ie n que ce s o it d é fe n d u , b e a u c o u p d e g e n s t r a v e r s e n t e n d e h o r s d es ages clou tés. B ie n sûr, on b a la ie le s ru es to u s le s m a t in s ; e lle s r e s t e n t q u a n d m ê m e sales. N o n , M arie n e s a it p a s n a g er, m a is e lle v a q u a n d m ê m e p a s s e r le s vacan ces à la m er. N o n , J u le s n e s a it p a s co n d u ir e , m a is il a t o u t d e m ê m e a c h e t é u n e a u to . 5. — J e m e su is co u ch é t ô t e t j e su is q u a n d m ê m e f a t ig u é . G arçon, j e v o u s a i a p p e lé p lu sie u r s fo is , e t v o u s n ’ê t e s q u a n d m ê m e p a s venu. 7 ~~ boUn n e7 ieu reantS S e n d o r m e n t t a r d ’ m a is ü s se r é v e ill e n t q u a n d m êm e de

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Exercice 5. Rendez compte des con versation s su ivan tes p a r deux phrases d'e±nr*. • , em ployant la p ré p o sitio n « m a lg ré », / ’« « ir e /« conjonction l bUn q u e T ° n 1. — L e p rix d e la vie a u g m e n t e beaucoup en — E t le s s a la ir e s d e s o u v r ie r s ? — M a lh e u r e u s e m e n t , ils a u g m e n t e n t p e u .

.

1 *W

”

Exemples : _

M a ig re l a f o r t e a u g m e n t a t io n d u p r ix d e la v ie en F ran ce, les salaire, des o u v r ie r s a u g m e n t e n t p e u .

— B ie n q u e le p r ix d e Ja v ie a u g m e n t e b e a u c o u p en F ran ce, les salaires des o u v r ie r s a u g m e n t e n t p e u . 2 . — A u m o is d ’a o û t , à P a r is e t d a n s la b a n lie u e , les u sin es arrêten t le travail; d e n o m b r e u x b u r e a u x a u s s i s o n t fe r m e s ; b ea u co u p de P arisien s p arten t en vacan ces. — A lo r s , P a r is e s t d é s e r t a u m o is d ’a o û t? — O h ! n e c r o y e z p a s c e la .

3. —

I l pleut; il n ’y a c e r t a in e m e n t p e r s o n n e d a n s Ja rue. — P a s d u t o u t . R e g a r d e z : d e n o m b r e u x to u r iste s se p rom èn en t.

4. — J e p e n s e q u ’o n c o n s t r u it d e n o m b r e u x im m e u b le s, en . — O u i, m a is la c r ise d u lo g e m e n t r e s te q u a n d m êm e grave. 5. — D e n o m b r e u x P a r is ie n s s o n t p a r tis a v e c leu rs v o itu res, cet ete. — L a c ir c u la t io n d o it ê tr e p lu s fa c ile d a n s le s rues de Paris. — P a s d u t o u t ; la c ir c u la t io n r e s te to u jo u r s difficile. 6. — L e p r o fe s s e u r a lo n g u e m e n t e x p liq u é c e t t e le ço n .

— Alors les étudiants J’ont bien comprise? — E h b ie n n o n , j u s t e m e n t , il n ’o n t p a s très b ie n com p ris. — Ce c h a u ffe u r v i e n t d e p a s s e r a u fe u r o u g e . L ’a g e n t a siffle plusieurs fois.

— Alors, il s’est arrêté? — Justement non, il ne s’est pas arrête. Le Parlement s’est opposé au vote de cette loi. Alors, elle n’a pas été adoptée? — O h ! m a is s i, le G o u v e r n e m e n t l ’a a d o p te e .

ueneratea Dy uam ^canner rrom irusig.c(?lf?

E x p r e s s io n

d'une « proposition ». d’une « suggestion ».

Au cours j^ dia ogue l’un des ^ personnages ^ ^ ^ fait#une proposition àa son s°tt ^ . . « Nous poumons peut eue C

e t t e

su g g estio n e s t f a it e à l ’é v e n t u e l; « p o u m o n s » e s t le c o n d itio n n e l p * seot

du verbe : « pouvoir ». On p eu t dire a u ssi : « Si n ou s a llio n s d a n s u n c a fe c h i c ' »

(Après ce « si », la grammaire impose l’imparfait de l ’indicatif.)

Exercice 6. Pour chacune des données suivantes , exprim ez des p ro p o sitio n s de deux manières : 1. — B ien , allon s au r e s ta u r a n t, m a is c o m m e n o u s n ’a v o n s p a s b ea u co u p d’argent, je propose que n o u s n o u s c o n t e n t io n s d ’u n s e u l p la t . — Pardon?

Exemple : — Si nous n ou s c o n te n tio n s d ’u n s e u l p la t ? O ui, nous p o u m o n s n o u s c o n t e n t e r d ’u n s e u l p la t . Ces v ie u x m eu b les s o n t in u t ile s . J e p r o p o s e q u e n o u s n o u s e n débarrassions. — C om m ent? P u isq u e n o u s p a sso n s p a r D ij o n , j e p r o p o s e q u e n o u s p r o fitio n s de l ’occasion pour aller v o ir t a ta n t e . — T u dis? 4.

P u isq u e n o u s a v o n s a d is c u te r e n s e m b le , j e p r o p o s e q u e n o u s n ou s réunis* sions ce soir à 6 h eu res. — C om m ent? ouplmipV° n *

— W g __ „

T

^

c e t t e le ç o n ; j e p r o p o s e q u e n o u s restio n s encore

m m UteS ? D0US la ^ « n i i o n s , VCZ ProP o sé q u e lq u e c h o s e , j e c r o is?

— Pardon^ ^ ames

o nt P air fatig u é; nous leu r cédons nos places?

— Vous d i t « ! ^ rePas k°w lî nous ne serons p as obligés d ’aller au restaura® g __ _

aller" à C hartre^. î ° n t ^ aS ^ ’pc c o r d p o u r l a s o r t ie d e s a m e d i : le s uns> a v ec e u x e t ctup’ CS au} \ es à R o u e n . J e s u p p o s e q u e v o u s v o u s en

— Pardon?

V0Us tâcl^ z de les m e ttre d ’accord.

244 v _ #i i o i

u iw v j

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ii i i o i ^

iV /u i i i

Expression de l ’opposition.

Regardez ces deux hommes ; ils sn « *

pas tristes.

P3“« « , fl, ont ^

^

La conjonction « mais » introduit une Ma. j> Si nous disons : “ e ,dee d opposition. Ils sont pauvres, ils ont froid, pourtant , ... on in tro d u it en p lus de l ’opp08iti„n f i T a ce qu ils so,ent te s te s , m ais q u ’ils ne le s o « p a l

Exercice

Sont

? ^ “ Sont P" «»te», “ Pourrait “’«tendre

7.

Complétez chacune des p h ra ses suivantes : 1.

V o u s m a v e z a ffirm é q u e la p lu ie e s t rare en é té ; pourtant cette année... Exemple : ... il p le u t t o u s le s jo u r s . 2. — Ce m o n s ie u r a v a it a n n o n c é q u e so n d iscou rs serait très bref, et pourtant... 3. — L e p a tr o n d e l ’h ô t e l m ’a d it q u e la ru e n ’é ta it p as b ru yan te, cependant... 4. — U n v e n d e u r m ’a d it q u e c e p r o d u it é t a it très efficace pour enlever les taches, p o u r ta n t... 5 . — J ’ai a c h e t é u n m a n t e a u d e p lu ie , e t, v o u s v o y ez, je suis trem pé; pourtant... 6. — M a v o it u r e e s t e n c o r e e n p a n n e , p o u r ta n t... 7. — O u i, S a in t-G e r m a in e s t t o u t p r è s d e P a n s , e t p ou rtan t... 8. — P a u l, t a c h a m b r e e s t e n c o r e en d esord re, p o u rtan t... 9. — V o u s t r o u v e z c e s e n fa n ts p é n ib le s , e t p o u rta n t cet après-m idi... 10. — J e tr o u v e c e s e n fa n ts p é n ib le s ; ils m ’o n t m is en colère, e t pourtant...

245


LEÇON 23. -

L A V ESTE

\ ro partie

Personnages : Leblanc, Lenoir

Leblanc: J e v a is m ’a c h c tc r u n e v e s t e . T u v ie n s a v e c m o i? J e pense que tu as d u g o û t, t o i, T u m ’a id e r a s à la c h o is ir . enoir . erci, tu es très a im a b le . M a is n o u s n e p o u v o n s p a s y al er fermés* S'ÜtC; '' n ’C3t P "S lmC heUrC : lcS m a Sa s in s s o n t enC° ie

Leblanc ; Unis n o n , je v a is a u x G a le r ie s M o d e r n e s . L e s g ra n d s mag»i U, P "s à m id i- A c e t t e h e u r e - c i, il y a beaucoup ® o m s de m o n d e q u ’a u co u rs d e la m a t in é e o u d a n s l ’a p ^ ' L cn oir ; B o n t

Leblanc ; N q,,

9

8ails (^0llt;e r a iso n . A llo n s - y . T u p r e n d s t a voitur® • puis* ôo ^ P ourra* P a 8 tr o u v e r d e p la c e p o u r sta tio n ’ U c st l>as lo i* : c ’e s t à c in q m in u t e s à p ied . 1

246


r p p r é s e n ta te u r

: Les deux amis sont maintenant devant une vitrine

des Galeries Modernes; ils regardent les vestes. Lenoir : Tu n’entres, pas ? Leblanc: Si. Attends. Je regarde les vestes qui sont en vitrine. S’il y en a une qui me plaît, je la demanderai au vendeur. Comme ça je ne perdrai pas de temps à choisir... Tiens, que dis-tu de cellelà? Lenoir: La veste grise? Leblanc: Non, la bleue, derriere. Comment la trouves-tu? Pas mal, n’est-ce pas? Lenoir : Oui, vraiment très bien. Mais pas pour toi... Leblanc: Pourquoi pas pour moi! Lenoir : Tu n’as plus vingt ans, mon cher ami. Leblanc: Tu trouves que je suis trop vieux pour porter une veste bleue? Lenoir: Non, mais j ’ai peur que cette veste bleue ne fasse un peu jeune pour toi... Leblanc: Je me demande si j ’ai bien fait de te demander de venir avec moi. Je pensais que tu avais du goût... Lenoir: Je peux m’en aller... Leblanc : Allons, ne te fâche pas. Viens, entrons!

Questionnaire A. Répondez oralement au x questions suivan tes : Où v a L e b la n c ? Q u e d e m a n d e - t - il à s o n a m i? P o u r q u o i? 2* A q uelle h eu re c o m m e n c e c e t t e s c è n e ? Pourquoi L e n o ir p e n s e - t - il q u ’ils n e d o iv e n t p a s a lle r d a n s le s m a g a s in s a c e t te heure-là? p* ^ ourquoi L e b la n c p r é f è r e - t - il a u c o n tr a ir e y a lle r à c e t t e h e u r e -là ? • Le m agasin o ù ils v o n t e s t - i l lo in ? • ront-ils en v o it u r e ? P o u r q u o i? „ _ ;9 • Jjs arriven t d e v a n t le m a g a s in . E n t r e n t - ils im m é d ia t e m e n t . P o u r q u o i. • Quelle v e s te c h o is it L e b la n c ? , là 9 10. T R en o ir lu i c o n s c ille - t - il d e n e p a s a c h e t e r c e t t e ves^ e .

3l?C

av n e r c g r c t t e - t - i l p a s m a in t e n a n t d ’a v o ir d e m a n d e a *Vec lu i? 1 n °ir e st fâ c h é . Q u e v e u t - i l f a ir e ?

Réponde2

-

•

P r écrit au x questions : 1 - 3 - 4 - 6 - 7 - 9 .

247 o c n c ia ic u

u y u û i i i o o û i n i c i i i u i i i ii i i i i y . u u i i i

venir

Hypothèse et concession. Exemple : « J e suis sû r d e n e p a s tr o u v e r d e s ta tio n n e m e n t : j e n e prends p as ma v o itu re. » I l y a en tre ces d e u x fa its : « être sûr de n e p a s tro u v er d e s ta tio n n e m e n t »; « n e p a s p ren d re s a v o itu r e ». ... u n rap p ort d e ca u se à co n séq u en ce. L e sy stè m e p e u t être p résen té so u s la fo rm e d ’u n e h y p o th è se On d it :

éventuelle.

« J e serais sûr de tr o u v e r u n s ta tio n n e m e n t, j e p ren d rais m a voiture. » ou : « Si j ’éta is sûr de tro u v er u n s ta tio n n e m e n t, j e p ren d rais m a voiture. » T ran sform on s le sy stè m e de m an ière à y in tro d u ire u n e id ée de concession. « J e suis sûr de tro u v er u n s ta tio n n e m e n t, j e n e p ren d s q u an d même pas m a v o itu re. » « B ie n q u ’il so it sûr de tro u v er u n s ta tio n n e m e n t, il n e prend pas sa v o itu re. » P résen to n s le sy stè m e sou s la form e d ’u n e h y p o th è se à l ’é v e n tu e l : « M êm e si j ’éta is sûr d e tr o u v e r u n sta tio n n e m e n t, j e n e prendrais pas m a v o itu re. » V o ici d ’au tres ex em p les d ’ex p ressio n , à la fo is , d e co n cessio n e t d ’hypothèse : 1. — — — — ou —

V o u s sortirez d em a in ? N o n , j e n e sortirai p a s. V o u s a v e z p eu r d u m a u v a is te m p s? I l fera b e a u d em ain . M êm e s’il fa it b ea u , j e n e so rtira i p a s. M êm e s’il fa isa it b ea u , j e n e so rtira is p a s.

2. — — — —

V o u s n ’êtes p as so rti, h ier? N on. C’e s t à cau se d e la p lu ie q ue v o u s n ’ê te s p a s so rti? N o n , n o n . M êm e s’il n ’a v a it p a s p lu , je n e serais p a s sorti.

248


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**** Ouand le malade^pourra-t-il se lever, docteur? 1 . " n ne faut pas qu’il se lève avant trois jours. Et si la fièvre tombait avant? r . _ Même ri la fièvre tombait, ü ne fendrait pas qn’O« IH- arasi tn » j « . , - N°“> je n’aime pas les tableaux modernes, je n’irai pas Toir «a* « y , sinon. . . . . . n

o n

,

Ok! F r a n ç o ise t a c c o m p a g n e r a it, t u irais sûrem ent-

__ pion..*. 3.

— r exxx^<-<-^ ^ umutune: ie vais éîrp nkl;~,S j j - , Je me contenterais d’une toute petite chambre. dormir __ C’est impossible, monsieur....

k J*.

4. — V ous v o u le z b ie n p r ê te r d e s d isq u e s à R o b ert, n ’est-ce p a s’ — A h ! n o n , c ’e s t fin i, j e n e p r ê te p lu s d e d isq u es à R o b o t .

— Pourquoi? — La dernière fois qu’il m’en a emprunté, il les a gardés six mois. — H p ro m et d e v o u s le s re n d r e d a n s tro is jou rs.

■ ■ I\on,... 5. — — — — —

Je v o u d ra is e x p é d ie r c e p a q u e t e n Y o u g o sla v ie , m onsieur. Oui, donnez-le-moi. E st-ce q u e v o u s c r o y e z q u ’i l a rriv era a v a n t dim anche? Oh! sû r e m e n t p a s , m a d e m o is e lle ; n o u s so m m es déjà jeudi. J e p o u rra is l ’e x p é d ie r p a r a v io n .

6. — A lain , sors u n p e u . T u r e s te s to u jo u r s d a n s t a cham bre, il fau t que t a aiîks prendre l ’a ir. — M ais il f a it fr o id , d e h o r s . — Cela n e f a it r ie n , v a t e p r o m e n e r u n p e u . — Mais j e cra in s le fr o id . 7* — V ous e n te n d e z b ie n , m a d e m o is e lle , j e n e v e u x p lu s revoir ce m onsieur. — B ien , M o n sieu r l e D ir e c te u r . — Il reviendra p r o b a b le m e n t d e m a in ; v o u s n e le laisserez p as entrer. B ien , M o n sie u r ... M a is ... s ’il in s is t e ? — N o n ,... ^ otis g r o s s is s e z ? V o u s m a n g e z tr o p , p e u t-ê tr e ? P a s d u t o u t . J e m a n g e d e m o in s en m o in s , e t j e , r a n ger. — V ous n e p o u v e z p o u r t a n t p a s v o u s p r iv e r c o m p lè te m e n t de m anger. Oh! j e cro is q u e ...


LEÇON 23. — LA VESTE

2e partie

Personnages : Leblanc, Lenoir

Leblanc: Quelle foule! Lenoir : Oui, beaucoup ont eu la même idée que toi. Leblanc: Quelle idée? L’idée d’acheter une veste? Lenoir : L’idée de venir entre midi et deux heures ! Une

fam euse

idée ! Leblanc : Bien. J ’ets que je me suis trompé, je pensais aurait peu de monde : il y en a beaucoup. Je croyais qu iVin^ e les gens allaient déjeuner : non, ils achètent des vestes. e suis donc trompé : je l’ets. J ’ai eu tort. Tu as raison, es content? 250


im dr: Non, et je vais t’expliqu te conseiller dans l’achat d’i avec toi par pure amitié. Dès Z

Iuoi- Tu m’ ^ J’ai «ccL£"?1M,i de sm, » manifestes J0 désir arriVon8 deP** f venir /„quelle tu seras parfaitement^" acheter „ne vcsto mtleiaaga«vis; j ’essaie de te f a iT “ * nd,cul«- Tu mi d i T dans

paraît pas particulièrement j®prendre que ton cho°

m°n

Irffew ; Je t’ai demandé ton av heure"*... cho* «• me suivre... n avi8’ * * * je ne t’ai pas nr .

Lmuir : Dans «es conditions, je me ,1 Leblanc : Moi aussi je me le demande™ plus envie d’acheter cette veste

°“ IS de le ° -C ^ Je fais ici... *U’ maintenant je n’ai

Questionnaire A. Répondus oralem ent a u x qu estion s su iva n tes : 1.

Dès J’c n t r c e

d e s d e u x a m is d a n s le m a g a s in , q u e c o n s ta te n t-ils ?

2. P o u rq u o i L e b la n c e s t - il s u r p r is ?

3. Comment vous expliquez-vous q u ’il y a it beaucoup de monde dans les magasins entre midi et d eu x h eu res? 4. L e b la n c r e i u s c - t - i l d e r e c o n n a ît r e q u ’il s ’e s t tr o m p e ? 5. Si L e n o ir a v a i t b o n c a r a c t è r e , q u e r é p o n d r a it - il à s o n a m i? «• Au lie u d e c e la , il f a i t u n d is c o u r s à s o n a m i. I l p a rle co m m e u n ju g e . Q ue d ,ra,t

un homme simple, à sa place? 7. M a in te n a n t

Leblanc v a - t - i l

a c h e te r u n e v e ste ? P o u r q u o i

A votre avis, qui de ces deux hommes a le meilleur caract

pondez par écrit aux questions : 2 - 3 - 4 - 5 .

Uenerated Dy üam beanner rrom intsig-coTn''

^

^pression du doute. E xem pt :

c e t t e v e s t e s o i t t r i s b e ll e ; e t p u is j e tr o u v e qu’d le

1 « J e n e tr o u v e i

Ü.1

dis seulement qu’elle n’est pas très belle. «

p^g (j\lC n i/” ® partions j

2- s è m e n t

^

3. « J e lu i a i e x p liq u e io b P o u r ex p rim er u n e o p im o n , m e » * « je tro u v e q u e « « J*' V 1 q ue » ••• e tc . .

ce soir; je pense que nous partirons

leçon, mais je doute qu’il ait compris., ^

v e r b e s o u lo c u t io n s v e r b a le s com m e : ^ q u c „ , j e d is q u e „ Je S1Ü8 6Ût

P o u r exp rim er u n d o u te , o u

ï ^

r

-

y

q u c , ,< j e n e c r o is p a s q u e » « je ne

v

-

.

..... . p» ™ .......... ...

Exercice 2.

A propos de chacune des données suivantes , exprim ez une certitude et un doute : 1. — D o cteu r, q u e d ite s -v o u s d e l ’é t a t d u m a la d e ? I l v a t r è s b ie n , n ’e s t-c e pas?

Exemple : — J e n e d is p a s q u ’il a ille tr è s b ie n , j e d is s e u le m e n t q u ’il n e v a p a s m al. 2. — V ou s v o y e z , c ’e s t u n e tr è s g r a n d e s a lle ; i l p a r a ît q u ’e lle c o n t ie n t 600 places. V ou s cro y ez q u e c ’e s t p o s s ib le ? Q u ’e n p e n s e z -v o u s? 3. — Ce p ro b lèm e e s t tr è s d iffic ile ? — J ’a i se u le m e n t c o m m e n c é à le r é s o u d r e . ■ C o m m en t le t r o u v e z -v o u s ? 4. — P ierre m ’a d it q u ’il v ie n d r a it c e s o ir , o u d e m a in m a t in . Q u an d v ie n d r a -t-il, à v o t r e a v is ?


llo chaleur aujourd’hui 1 " $oû» craigne» 1» chaleur, vou8, ditc8.moi? fillo veut apprendre à jouer du violon ' r “»t in-ti'0’ n 08l’c0 |m8? C,
.

’’ " ^ C p o n - paa” " q'm,r° W “ '*' . . temps »’C«t rafraîchi ot il fait froid ce B0ic 8- " y ()lia no trouver, pas?

l*erC,C

,, dans ces conditions » permet de présenter un» ,1/ ■• „ce de fai« T » précèdent. P Unc que

prend

‘» COÆ o g “ c’ Lc:,0 ir (,it = “ P “" 8, “ 8 COndition8' i« me demande ce que je fai« iri D“Î ,! » g i " « 'lc8 <' i‘,l0K" C6 qUC U" personnages conclut par d a c u S ^

aonnéca-

comlitions, je vais prendre un taxi.

Exefflple;

Vxmf e (l * nne8 attendent à un arrêt d’autobus. M. Dubois arrive : plusicur 1 g gt_ce c voug savcz si l’autobus viendra bientôt? jlf. Dubois . n quart d’heure que j ’attends, monsieur, et il n’en est pas encore Un monsieur : y ^ très rares à cette heure-ci. : Le dernier est é il y a vingt minutes. D’ailleurs, il était complet et personne n’a pu monter. M. Dubois :Dans ces conditions, je vais prendre un taxi.

Tkm es proposées :

1. « Dans ces conditions, il ^ aut m 2.

«

Dans

CCS

f airc

q

J

mes achats cematin. ttrc cette

conditions, il ne nous reste plus qu remettre

v is it e

à u n autre

a

d im anche. »

Imaginez vous-mêmes des c o n v e r sa tio n s o ù u n p erso n n sion : « d a n s c e s c o n d i t i o n s ».


conclura en utilisant Vexpres-


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